Gabriel BRICE1921 - 1997
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 3766
Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Biographie
[3766] BRICE Gabriel est né le 5 décembre 1921 au Val-d'Ajol (Vosges).
Après ses études primaires dans son village ,et ses études secondaires aux petits séminaires de Sauley, Droiteval et Beaupréau, il entre aux MEP en 1942. Ordonné prêtre le 21 décembre 1946, il part le 20 avril suivant pour la mission de Kontum (Vietnam).
Après l’étude du vietnamien à Kontum et Vo-dinh, et du bahnar à Mangla (1947-1949), il est nommé curé de Kon Ho’ring (1949-1972). Il administre ensuite les Se-dang réfugiés à Chu Pao, près de Kontum (1972-1975).
Expulsé du Vietnam en août 1975, il part pour Maurice.
Il est alors curé de la paroisse Notre-Dame-de-Mont-Roches sur l’île Maurice (1976-1981), curé de Cassis, dans les paroisses du Saint-Sacrement et de l’Immaculée-Conception (1981-1983), puis aumônier de l'hôpital civil de Port-Louis (1983-1997).
En 1997, il se retire au sanatorium de Montbeton, où il meurt le 25 novembre de la même année. Il est inhumé dans le cimetière des MEP de Montbeton.
Nécrologie
[3766] BRICE Gabriel (1921-1997)
Notice nécrologique
Le Père Gabriel, Paul, Nicolas BRICE, doté d'un prénom d'archange et d'un nom familial de saint, est né le 5 décembre 1921, à Le Val d'Ajol, commune vosgienne du diocèse de Saint Dié. Son père, Paul, Eugène Brice travaillait, comme menuisier dans une usine de tissage ; sa mère, Marthe, Aimée Schirlin était mère au foyer de six enfants : 4 filles et 2 garçons dont Gabriel était le quatrième. Ce foyer vosgien avait la "foi chevillée au corps", ce qui parait justifier que deux vocations religieuses y aient fleuri : celle de Gabriel et celle de la seconde des filles, future religieuse de la Congrégation des Soeurs de Saint Charles de Nancy.
Gabriel fut baptisé le 18 décembre 1921, sur les fonts baptismaux de l'église de Le Val d'Ajol, où il sera confirmé le 5 juillet 1934. Très tôt, lorsqu'il s'est agi des études du jeune Gabriel ses dispositions spirituelles orientèrent ses parents vers les petits séminaires diocésains de Sauley, où il resta de 1932 à 1935 et de Droiteval, de 1935 à 1938.
Or, avant même d'entrer à Sauley, à l'âge de 11 ans, Gabriel avait rencontré, chez sa tante paternelle, un Père Oblat de Marie Immaculée qui lui avait posé, à tout hasard la question de devenir prêtre, ce à quoi l'enfant avait répondu positivement, en ajoutant pourtant : "..pas dans ce pays". Plus tard, à Droiteval, la rencontre de deux aspirants des Missions Etrangères de Paris, venus en stage de formation, permettra à Gabriel de se renseigner sur cette Société Missionnaire et de faire sa demande d'admission au petit séminaire de Beaupréau où se termineront ses études secondaires.
En ce 1er octobre 1940, la France était en pleine débacle militaire et civile. Le tragique exode des réfugiés empêcha le nouvel aspirant d'entrer à la maison MEP de Bièvres pour y commencer le cycle d'études philosophiques ; c'est donc au grand séminaire du 128, rue du Bac qu'il commencera et poursuivra sa formation sacerdotale. Celle-ci sera précédée de ce qui tenait lieu de service militaire dans les "Camps de Jeunesse", en 1941 jusqu'au 19 décembre 1942, date de son entrée définitive à la rue du Bac.
Epoque mémorable et quelque peu héroïque, vécue par tant d'aspirants missionnaires dans les camps d'internement ou le S.T.O. Il n'est pas exagéré de penser que le futur Père Gabriel Brice sortira "aguerri" de ce temps de formation et mieux préparé à affronter plus tard, bien d'autres épreuves de ce genre. En attendant, le séminariste allait être ordonné sous-diacre le 16 mars 1946, puis diacre le 29 juin 1946, avant d'être ordonné prêtre le 21 décembre 1946, des mains de Mgr.Lemaire, Supérieur Général de la Société des Missions Etrangères.
Le Père Gabriel Brice fut désigné pour la mission du Vicariat Apostolique de Kontum, au Centre-Viêtnam, alors dirigé par Mgr. Sion. Il s'embarqua à Marseille, le 29 avril 1947. Comme tous les "Partants" MEP, il avait laissé prendre de lui, une photographie que les Archives ont conservée. Les traits de sa physionomie qui s'y révèlent ne changeront guère par la suite, reflétant ses origines vosgiennes, avec des qualités humaines appréciables pour un missionnaire : la maitrise de soi, le calme, l'endurance au travail et une gaieté naturelle, teintée de flegme et d'humour.
Nous transcrivons ici l'excellente homélie du R.P. Claude Lange, prononcée à l'église de Le-Val d'Ajol pour une messe du souvenir du samedi 29 novembre 1997.
Au Viêtnam et à Kontum, c'était alors la Première Guerre d'Indochine, c'est-à-dire le conflit qui sévissait entre le Viêt-Minh et la France ; la France préconisait une Union des Etats Associés d'Indochine –Viêtnam, Cambodge, Laos- dans le cadre de l'Union Française, tandis que le Viêt-Minh, avec Hô-chi-Minh, exigeait l'indépendance totale.
C'est dans un pays déjà touché durement par la guerre qu'arrive le jeune Père Brice.
Kontum est situé, à vol d'oiseau, à plus de 600 kms au nord de Saïgon, mais, par les mauvaises routes, et avec les convois civils et militaires, la distance était beaucoup plus longue et les voyages étaient dangereux, à cause des embuscades et des routes et pistes souvent minées.
Mais, provisoirement, le vicariat de Kontum, dirigé par Mgr. Seitz, connait une période de calme relatif, les combats les plus violents ayant lieu au Nord, à la frontière de Chine et en Haute Région au Centre Nord.
Le Pèrer Brice est nommé d'abord professeur au petit séminaire de Kontum, appelé alors "Probatorium". Ce séminaire regroupe des séminaristes viêtnamiens, venus de la côte centrale du Viêtnam ou du Vicariat de Kontum, se destinant, devenus prêtres, à l'apostolat auprès des grandes ethnies montagnardes : Bahnars, Sedang, Jo'rai et Rhadés. Le Vicariat de Kontum s'étendait sur tous les Hauts-Plateaux du Centre Sud du Viêtnam. On estimait le nombre des Montagnards à environ 500.000. Il y avait encore peu de viêtnamiens, sauf dans quelques gros centres et marchés.
Au Séminaire, le Père Brice donne des cours de philosophie, mais surtout étudie la langue viêtnamienne avec les séminaristes et les catéchistes. En 1948 et 1949, il se trouve dans un village viêtnamien à Vô Dinh, à proximité des villages montagnards Bahnars de Kontum et il y améliore sa pratique de la langue viêtnamienne. En 1949, il séjourne à Mangla, où il étudie la langue Bahnar, langue de la principale ethnie convertie au christianisme dès la fin du XIXème siècle.
Mais c'est à Kon Ho'ring, le premier gros village converti des Montagnards Sedang, qu'il passera de longues années, avant d'être, plus tard, expulsé du Viêtnam, en août 1975.
À Kon Ho'ring, c'est encore une nouvelle langue montagnarde qu'il doit apprendre, la langue Sedang, différente du Bahnar. Il faut encore ajouter que ces langues, non écrites avant l'arrivée des missionnaires catholiques, comportent un grand nombre de variantes et de dialectes, différents d'un village à l'autre, ce qui multiplie les difficultés de compréhension.
Kon Ho'ring est, en fait, un très gros village de Montagnards catholiques convertis dans la première partie du XXème siècle. C'est un centre de district, avec son église en bois, sur pilotis, en style montagnard, une maison-presbytère, sur pilotis, toute en bois, mais recouverte de tuiles. Il y a aussi l'école de la Mission, un dispensaire avec les Soeurs de Saint Vincent de Paul et des Soeurs Montagnardes de la Médaille Miraculeuse.
Ce Centre chrétien rayonne auprès d'un grand nombre de villages du pays Sedang dont beaucoup se convertissent au christianisme dans les années 50.
Parmi les missionnaires qui évangélisent ces villages, certains, comme le P. Minh, viêtnamien, et le Père Théophile Bonnet, des Missions Etrangères, mourront courageusement, à leur poste, à Kon Kola, au nord de Kon Ho'ring, abattus au détour d'une piste, par des éléments Viêt-Công du F.L.N., respectivement le 28 septembre 1960 et le 13 décembre 1961.
À mesure que la guerre s'intensifie, la Deuxième Guerre d'Indochine, les difficultés s'accroissent. La route unique d'accès de Kontum à Kon Ho'ring est régulièrement minée. Elle doit être déminée tous les matins.
En dépit de tout cela, le Père Brice anime sa chrétienté, continue à former ses catéchistes, enseigne, catéchise et visite les villages. En 1965, on dénombre dans le district de Kon Ho'ring, 3.016 catholiques et 327 catéchumènes. Son plus proche voisin est alors le Père Christian Léoni, curé de, mais résidant à proximité de Kon Ho'ring. Il sera grièvement blessé lors de l'offensive nord-viêtnamienne, en 1972. Parmi ses voisins du pays Sedang, citons le Père Léon Dujon, Savoyard, du district de Dak Kola, qui sautera plusieurs fois sur des mines, et le rejoindra plus tard à l'île Maurice. Le Père Paul Carat, curé du village de réimplantation de Viênamiens, à Diên Binh, et les Pères Paul Beysselance et Pierre Chastanet, à Dak Mot, en pays Sedang.
Toujours en 1965, le diocèse de Kontum, érigé en 1960, comptait 114.000 catholiques, environ 12,6 % de la population. Mgr. Paul Seitz en était l'évêque depuis 1952. Le diocèse comptait 109 prêtres dont 1 prêtre diocésain Bahnar, 69 prêtres viêtnamiens et 35 prêtres des Missions Etrangères.
Mais déjà beaucoup de villages chrétiens étaient inaccessibles, dans des zones entièrement contrôlées par les troupes du F.L.N., ou dans des zones intermédiaires, très risquées de nuit et même de jour. Dès 1966, le Père Léoni et ses chrétiens de Kon Kola ont dû se replier à proximité de Kon Ho'ring, dans des installations provisoires. Les chrétiens des districts Sedang de Kon Honong, Dakcho et Daksut se sont regroupés à Dak To, avec le Père Marcel Arnould, un autre vosgien, originaire de La Bresse.
En 1967, fin mai, un groupe de villages, à proximité de Kon Ho'ring a été attaqué : 27 paroissiens ont été tués.
En février 1968, lors de la fameuse offensive du "Têt Mâu Thân", le diocèse de Kontum fut le théâtre de nombreux combats à Dak Sut, Dak To, région de Kontum et Pleiku. Heureusement, il n'y eut pas de victimes parmi les Pères de la Mission. Beaucoup d'entre eux avaient pu se réfugier à Kontum. Mais à la suite de cette offensive Viêt Công, environ 50.000 réfugiés, surtout Montagnards, furent regroupés dans les environs de Kontum.
En 1969 et 1970, le Père Brice et son village de Kon Ho'ring retrouvent une paix relative, bien qu'ils soient sur la zone frontière. Il y eut quand même 7 attaques, en 4 mois, en 1969. Mais les écoles ont pu rouvrir, avec d'abord 600 élèves, puis, 750, en février 1969. Mais le meilleur catéchiste du district, le Thây Bom, a été enlevé par les Viêt Công, le 1ermars 1970, à l'âge de 75 ans.
Le Père Brice écrit à cette époque : "ceux qui ont la plume facile pourraient raconter des tas de choses émouvantes, mais ce n'est pas du tout mon cas."
C'est en 1972, le 22 avril, que devait survenir brusquement une nouvelle épreuve. Kon Ho'ring est pris par l'armée Viêt Công, ainsi que toute la région Sedang. Les Pères Brice, Carat, Dujon et Arnould se retrouvent captifs dans la jungle des montagnes, pous plusieurs mois, jusqu'à la fin août. La ville de Kontum, elle même, est encerclée, et en partie occupée, en mai. Ce n'est que le 5 juin que les Viêt Công quittent Kontum.
Libéré enfin, ainsi que les autres Pères, le Père Brice devient responsable d'un important centre de réfugiés Sedang, à Chu Pao, à 12 kms au sud de Kontum, avec 2.800 chrétiens, regroupés de plusieurs districts. Trois religieuses montagnardes de Kontum viennent l'aider dans son action religieuse, humanitaire et caritative.
Puis ce sera la grande offensive nord viêtnamienne et F.L.N. sur tout le Sud Viêtnam, en mars et avril 1975. Les 17 et 18 mars 1975, les Nord-Viêtnamiens et F.L.N prennent possession de Kontum.
Le Père Brice, comme son évêque Mgr. Paul Seitz et tous les missionnaires et religieuses étrangers restant encore à Kontum, sera expulsé de Kontum et du Viêtnam, le 12 août 1975.
Il séjournera alors en France, près d'une année, à la cure de Le Val d'Ajol, avec le Père Toyon. Mais il s'était porté volontaire pour repartir en mission, avec un groupe de missionnaires revenus du Viêtnam et du Cambodge vers l'île Maurice. Il quitte de nouveau la France, le 25 octobre 1976, pour se mettre au service d'une Eglise et d'un peuple situés dans l'hémisphère sud, dans l'Océan Indien, à l'est de Madagascar et au nord de l'île de la Réunion.
C'était un nouveau départ pour une nouvelle mission.
Arrivé à l'île Maurice, le Père Brice est nommé curé de la paroisse de Notre Dame de Mont-Roches, commune située à proximité de deux villes plus importantes : Beau-Bassin et Rose Hill. Cette commune de Mont-Roches regroupe principalement des cultivateurs travaillant dans les champs de canne à sucre. La population parle le créole, mais aussi le français, langue de l'ancienne "île de France". Depuis la conquête anglaise, en 1810, l'anglais est devenu langue officielle, mais la majorité des chrétiens parlent le créole et le français, l'île Maurice faisant partie de la francophonie. Le P. Brice, tout en organisant sa pastorale en français étudie le créole. Dans sa paroisse une cité nouvelle a été créée avec l'arrivée de familles d'instituteurs, de retraités, ou d'un niveau plus bourgeois.
Le Père Brice s'est soucié de réaménager une église nouvelle dont le plan avait été mal conçu. Il se préoccupe aussi de l'apostolat, car un conseil paroissial s'était constitué de lui-même. Il n'y avait aucun mouvement d'apostolat chrétien.
Le Père Brice reprend les choses en main avec calme et patience, selon son habitude. Les jeunes viennent facilement le voir et sont bien reçus. Cependant, il avoue : " Pourtant, ils sont des durs, plus durs que les Montagnards de Kontum." Il cherche à faire vivre en eux la foi et l'amour. Il dit encore, en parlant de ses paroissiens : " Pour soulever des meubles lourds, il faut des leviers puissants : je vois surtout la prière", écrit-il .
De juin 1981 à 1983, il est nommé curé de la paroisse du Saint Sacrement, de Cassis, tout en logeant à la cure de la paroisse de l'Immaculée-Conception, à Port-Louis, la capitale. À partir de 1983, il prend en charge cette paroisse. Il consacre beaucoup de temps à la visite des malades. C'est ainsi qu'il va être nommé aumônier de l'hôpital civil de Port-Louis, proche de l'église. Ce poste avait été occupé par le regretté Père Pierre Levrey, ancien missionnaire du Viêtnam, qui avait dû retourner en France, pour raison de santé. Il consacre tous ses après-midi à ce ministère. Le personnel et les malades sont à l'image de la population de l'île Maurice : créoles, Indo-Mauriciens, de religion hindoue ou musulmane, originaires de l'Inde, et des communautés chinoises. Le Père Brice entretient de bonnes relations avec tous : chrétiens, hindous et musulmans.
Au cours de ses longues années de service, comme aumônier de l'hôpital de Port-Louis, le Père Brice a pu constater une nette amélioration de l'administration et des services de l'hôpital, grâce aux réformes engagées par le Ministère de la Santé, à la suite de nombreuses réclamations des infirmiers et du personnel de service.
Les catholiques de l'île Maurice sont devenus minoritaires. Au début des années 1980, on comptait 290.000 chrétiens dont 247.000 catholiques sur une population d'environ 900.000 habitants. Maintenant, la population a dépassé le million.
L'évêque de Port-Louis, Mgr. Jean Margeot, nommé cardinal en 1988, avait beaucoup oeuvré pour préparer les chrétiens de l'île à faire face aux problèmes actuels, dans ses Lettres de Carême : "Lettre sur la drogue (1987), sur l'avortement (1988), sur la famille (1989), l'éducation (1990), le tourisme (1991)".
La visite pastorale du Pape Jean-Paul II, du 14 au 16 octobre 1989, a contribué à renforcer en profondeur l'évangélisation de l'île.
C'est dans ce cadre que le Père Brice poursuivra sa mission dans l'île Maurice jusqu'à son retour en France, à la fin du printemps 1997. Il commençait une retraite bien méritée à la Maison de Retraite des Pères des Missions Etrangères de Paris, à Montbeton. Mais le Seigneur a rappelé son bon et fidèle serviteur le 25 novembre 1997.
À l'annonce de son décès, Mgr Maurice Piat, évêque de Port-Louis depuis 1993, a envoyé au Père Raymond Rossignol, Supérieur Général de la Société des Missions Etrangères de Paris, le fax suivant, daté du 26 novembre 1997 .
" Je reçois votre fax à l'instant et vous remercie de nous faire part de la mort du cher Père Brice. Il s'en est allé simplement et discrètement, semble-t-il, comme il avait vécu. Je me souviens qu'il avait refusé "mordicus" qu'on fasse quoi que ce soit ici, pour célébrer ses 50 ans de sacerdoce.
Il laisse parmi nous un souvenir très attachant, d'un confrère accueillant et plein d'humour, d'une figure de bon papa pour les malades et les braves gens de la paroisse de l'Immaculée-Conception.
En vous assurant de notre sympathie et de notre prière pour le Père Brice, je voudrais vous redire toute la reconnaissance du Diocèse de Port-Louis qui a bénéficié de la présence de missionnaires de cette trempe."
Références
[3766] BRICE Gabriel (1921-1997)
Références bio-bibliographiques
Références biographiques.
CR 1947 p. 128. 1948 p. 104. 1949 p. 110. 1950 p. 88. 1955 p. 43. 1957 p. 49. 1960 p. 54. 1961 p. 50. 1962 p. 61. 1963 p. 75. 1964 p. 38. 1965 p. 71-2. 1966 p. 82-4. 1967 p. 65-6. 1969 p. 73. 1974-6 p. 224. 1980-1 p. 234.
BME 1948 p. 110. 1949 p. 55, 248 ph 681. 1951 p. 700. 1954 p. 380, 490, 702-91. 1955 p. 49. 1956 p. 813. 1957 p. 382, 635.
EPI 1962 p. 402. 1966 p. 132, 271.
EC1 n° 426-51-2-3, 553-8, 602-15, 767-73.
EC2 n° 4 p. 118. 10 p. 295. 16 p. 55. 20 p. 174. 23 p. 269. 28 p. 81-2. 29 p. 114-5. 43 p. 203. 53 p. 177. 54 p. 207. 55 p. 249. 56 p. 266-78. 57 p. 303. 58C2. 60 p. 51-6. 63C2. 64 p. 188. 67 p. 278. 79 p. 307. 85 p. 131-2-3. 86 p. 180. 87 p. 219. 89C2. p. 276-7. 102C2 p. 341. 119 p. 172. 130C2. 138 p. 81. 187/252. 198/C2. 200/C2. 241/C2. 243/C2.
PdM 1968 n° 2 p. 2 à 16, 55.
RMEP 1961 n° 118 p. 28.