Jean MENG1874 - 1918
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 2431
Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Corée
- Région missionnaire :
- 1899 - 1914
Biographie
[2431] MENG Jean, Marie, Georges, est né le 21 mars 1874 à Saint-Germain-sur-Ille, dans l'Ille et Vilaine, diocèse de Rennes, fils de Georges Meng et de Jeanne Marie Bouthemy. À la fin de ses études primaires, il demande à entrer à la Société des Chemins de Fer, où travaille déjà son père. En attendant son admission, il fait l'apprentissage du métier d'ébéniste à Rennes et y trouve... sa vocation missionnaire. Il va étudier le latin à Montfort et, en 4 ans, parcourt tout le cycle des études classiques. Il entre alors laïque au Séminaire des Missions Étrangères de Paris le 10 septembre 1894, y est ordonné prêtre le 25 juin 1899 et destiné à la Corée. Parti de Paris le 26 juillet suivant, il arrive à Séoul le 14 septembre 1899.
Après avoir commencé l'étude de la langue à Séoul, il est envoyé au printemps de l'année 1900 succéder au Père Chapelain dans le nord-ouest du pays. Il réside dans la province du Pyong-An méridional, arrondissement de Pyong-won, canton de Kom-san, au lieu-dit Sop-ka-ji, à une cinquantaine de kilomètres au nord de Pyong-yang. En 1902, pour se trouver davantage au centre géographique de son district, plus à la portée de ses chrétiens, et aussi un peu plus à proximité de son confrère le plus proche", il déplace le siège de la paroisse à Yeng-you, le chef-lieu de l'arrondissement de Pyong-won, tandis que son ancienne résidence de Sop-ka-ji devient une desserte. À Yeng-you, le Père Meng fait construire une petite église et un presbytère qui serviront jusqu'en 1925, ouvre une école en 1908, travaille à l'accroissement et à la formation des chrétiens. Et, profitant de son ancienne expérience d'apprenti-menuisier, il améliore sa chapelle et son presbytère en fabriquant lui-même portes et fenêtres.
En 1910, le Père Meng est envoyé à Eui-jon, sur les bords du fleuve Ya-lou, à la frontière de Chine. Dans cette ville, il y a une petite chrétienté depuis 1899 et un bon mouvement de conversions. Mais le Père Meng n'y reste qu'un an, et c'est un prêtre coréen qui lui succède.
En effet, au printemps de 1911, le Père Meng est rappelé à Séoul pour succéder au Père Demange, devenu vicaire apostolique de Taegu, à la direction du journal que publie le vicariat de Séoul. Son travail a beau l'absorber, le Père Meng ne cesse de regretter la vie en district et le ministère direct.
Aussi, quand, au printemps de 1914, Mgr. Mutel se propose de fonder un nouveau poste dans l'arrondissement de Chang-song à 80 km au nord-est de Eui-jon, et également sur les bords du Ya-lou, le Père Meng s'empresse de se déclarer volontaire, ce qu'accepte Mgr. Mutel. Dès le mois de mai 1914, le Père Meng va s'établir à la mine d'or de Tai-you-dong, située dans le canton de Tai-chang. Tout est à faire dans cette région et, en réalité, le Père Meng n'y trouve qu'épreuves et difficultés qu'il supporte vaillamment. Mais ce poste de Chang-song ne prendra jamais forme. Car, quand le Père Meng se rend à Séoul pour affaires au début du mois d'août 1914, il ne se rend pas compte qu'il y va aussi pour répondre à un appel de mobilisation et qu'il ne reverra plus la Corée qu'il quitte le 9 août 1914 pour aller à Kobé prendre le bateau qui va le conduire en France.
En octobre 1914, le Père Meng est à Rennes. Il est devenu le "soldat-infirmier Meng", et affecté à l'hôpital St Vincent. Quelques mois plus tard, il reçoit son affectation à une unité qui doit partir au combat sur le front des Dardanelles, mais quelques heures plus tard, il est affecté à une autre section d'infirmiers. En octobre 1916, le Père Meng est envoyé au contrôle postal à Marseille. Il peut se rendre fréquemment à la procure MEP de cette ville et avoir le plaisir de rencontrer plusieurs confrères. Au début de l'année 1918, il a même la surprise de retrouver à Marseille deux de ses confrères du vicariat de Séoul, les Pères Devred et Gombert, eux aussi mobilisés. Mais le 7 mars 1918, le Père Meng doit entrer à l'hôpital militaire pour être mis en observation. Le 10 mars, le verdict tombe : le Père Meng a contracté une forme grave de fièvre typhoïde et doit être transféré au pavillon des contagieux, où il décède une semaine plus tard, le dimanche 17 mars 1918 vers 18 heures. Mais ses confrères n'apprennent la nouvelle que le lendemain. Ses funérailles sont célébrées le 21 mars et ses restes déposés dans le caveau des MEP du cimetière St Pierre de Marseille.
Nécrologie
M. MENG
MISSIONNAIRE APOSTOLIQUE DE SÉOUL
M. MENG (Jean-Marie-Georges), né à Saint-Germain-sur-Ille (Rennes, Ille-et-Vilaine), le 21 mars 1874. Entré laïque au séminaire des Missions-Etrangères le 11 septembre 1894. Prêtre le 25 juin 1899. Parti pour la Corée le 26 juillet 1899. Mort à Marseille le 17 mars 1918.
Le 21 mars 1918 parvenait à Séoul une dépêche annonçant le décès de M. Meng emporté à Marseille par une fièvre typhoïde. Alors que toutes nos inquiétudes, aggravées par la reprise plus violente que jamais de l’offensive allemande, se portaient uniquement sur le front de bataille, où nous savions deux ou trois de nos confrères plus directement exposés, c’est à l’autre bout de la France, dans une région en apparence de tout repos, que la mort frappait à l’improviste celui de nos mobilisés que sa forte constitution semblait mettre plus que tout autre à l’abri du danger, et se choisissait une troisième victime dans les rangs de nos missionnaires.
M. Jean-Marie-Georges Meng tenait à l’Alsace par son père, vétéran des guerres d’Afrique et de Crimée, par sa mère à la Bretagne, où pour rester Français le retraité de 1870 était venu se fixer et fonder une famille. Avec le sang de ces deux races notre confrère avait hérité de leur foi, de leur fermeté d’âme, de leur dévouement, et d’un esprit pondéré, réfléchi, voilé parfois d’une légère teinte de pessimisme.
Tout ce que nous savons de ses premières années, c’est que, vu la situation modeste de la famille, M.Meng à la fin de ses études primaires se préparait à entrer dans le service des chemins de fer de l’Ouest, où son père avait obtenu une position assurée. Il passa même des examens dans ce but, mais en attendant son rang d’admission qui pouvait tarder à venir, il alla à Rennes faire l’apprentissage du métier d’ébéniste, et la divine Providence usa de ce détour pour aiguiller son avenir sur des voies nouvelles et plus hautes que celles de ses premiers désirs.
Dans la maison de son patron, il eut le bonheur de rencontrer une pieuse demoiselle qui, remarquant les bonnes dispositions du jeune homme, le fit admettre au patronage de Notre-Dame de Toutes-Grâces, et c’est dans la fréquentation de ce milieu chrétien que Jean-Marie trouva sa vocation de prêtre et de missionnaire. Après deux ans d’apprentissage il laissa scie et marteau, pour commencer ses études de latin dans une maison de vocations tardives, à Montfort, près de Rennes, et grâce à son ouverture d’esprit jointe à une application soutenue, il put parcourir en quatre ans le cycle de ses études classiques, et entrer au séminaire de la rue du Bac le 10 septembre 1894.
Mûri par l’expérience de la vie, par des habitudes d’ordre, de piété et de travail il s’y montra homme de règle, d’étude, de devoir, de bon exemple. La modestie du maintien, une grande réserve de parole, où il entrait plus de timidité que de froideur, car il savait se montrer gai et expansif dans l’intimité, une taille superbe, relevée par une tenue irréprochable autant que digne, donnaient déjà de notre confrère l’impression d’une haute valeur morale et d’une solide vertu.
Tel était le bon ouvrier destiné à la Corée. Ordonné prêtre au mois de juin 1899, il arriva à Séoul le 18 septembre de la même année.
Dès les premiers jours, il se mit avec ardeur à l’étude de la langue, et après un séjour de sept mois à la capitale, il fut envoyé au printemps de 1900 remplacer le P.Chapelain à Syepkatji au district de Syouktchyen, dans la province de Hpyengan. C’est dans cette région peu évangélisée jusqu’alors, qu’il devait passer la majeure partie de son existence apostolique. La présence de nombreux protestants, qui s’agitaient dans ces quartiers et ne se faisaient pas faute de chercher à troubler la foi des catholiques, porta M. Meng, dès qu’il fut un peu maître de la langue, à creuser spécialement les questions de controverse, pour préserver la pureté de la doctrine chez ses néophytes, et éclairer les païens qui venaient à notre sainte religion. Afin de se tenir plus au courant des doctrines protestantes, il ne se contenta pas de suivre les publications coréennes des ministres, il apprit l’anglais pour trouver dans les ouvrages de cette langue les réponses les plus appropriées aux objections courantes.
En 1902, désireux de se mettre plus à portée des chrétiens de son district et de se rapprocher d’un confrère, il transporta sa résidence à la ville de Yengyou d’où pendant huit ans il rayonnera dans le nord de la province du Hpyengan méridional. Les loisirs que lui laissaient l’administration d’un district étendu, il les employa à l’organisation matérielle du poste, à l’embellissement de sa chapelle et de sa maison. Reprenant ses instruments de menuisier, il fabriqua portes et fenêtres et tout un mobilier qui donnèrent au visiteur l’impression d’une demeure confortable et gaie, où régnaient la tenue et l’ordre. Mais, comme il arrive souvent en mission, M. Meng travaillait surtout pour ses successeurs, car en 1910 un mouvement de conversions s’étant produit sur la frontière chinoise, il dût quitter Yeng-you pour aller porter à Euitgyou, sur les rives du Yalou, ses talents d’organisateur. Il eut à peine le temps d’y donner sa mesure.
Au printemps de 1911, le départ de Mgr Demange le faisait appeler par son évêque à la rédaction du journal coréen de la mission ; il sut faire profiter ses nombreux lecteurs des fruits de ses travaux antérieurs sur la controverse religieuse. Ce travail de bureau assez absorbant, qui allait bien à son esprit studieux et ouvert à toutes les questions de doctrine, n’empêchait pas notre confrère de regretter le ministère actif. Aussi, quand au printemps de 1914, Mgr Mutel dut chercher un ouvrier de bonne volonté pour ouvrir un nouveau centre d’évangélisation dans la région minière de Tchyangsyeng, M. Meng s’offrit de si bon cœur pour cette œuvre difficile, que son évêque accepta son dévouement, et notre confrère alla s’installer au mois de mai à la mine française de Tayoutong. Tout était à créer dans ce pays nouveau : chapelle, résidence, écoles etc. Mais pendant les trois mois qu’il y passa, il n’eut que le temps d’y récolter une assez riche moisson de difficultés et d’épreuves vaillamment supportées.
La grande guerre éclata, M. Meng arrivait à Séoul pour affaires personnelles, le 5 août 1914, sans se douter qu’il venait répondre avant la lettre, à son appel de mobilisation. Pris ainsi au dépourvu, et sans même pouvoir retourner chez lui, il dut tout laisser à l’abandon et partir pour I’inconnu. Quatre jours après, le dimanche 9 août, il s’embarquait avec les mobilisés de la première heure, pour aller attendre à Kobé le bateau qui devait les conduire en France. Tous partaient avec l’illusion d’un voyage inutile et l’idée qu’ils arriveraient trop tard. Ce n’est ni le temps ni le lieu de raconter les péripéties de cette longue traversée faite sur l’Amazone ; elles ont été dites ailleurs. Le 3 octobre M. Meng était à Rennes.
« En arrivant ici, écrivait-il, j’ai été envoyé à l’hôpital Saint-Vincent, où j’ai un travail extrêmement dur. Je suis affecté à la salle d’opérations, et je dois préparer tout ce qu’il faut pour les grands pansements. Je suis pris tous les jours de 6 h. ½ du matin à 7 h. ½ ou 8 heures du soir, et je suis alors tellement fatigué que je vais me coucher immédiatement. Pour me consoler, le médecin chef me dit que j’ai un service d’exceptionnelle confiance. C’est peut-être vrai, mais quelque loisir pour prendre l’air un instant ferait aussi bien mon affaire. Si je reste dans ma salle d’opérations jusqu’à la fin de la guerre, j’aurai fait un fameux cours de chirurgie, et je serai de taille à couper des bras et des jambes. En attendant les miennes sont rompues, et l’atmosphère de sang et de pourriture que je respire du matin au soir me donne des nausées et de grands maux de tête.
« Je n’ai pu encore aller voir mon vieux père à quelques heures d’ici, mais cette permission d’un jour est impossible à obtenir, n’ayant personne pour me remplacer. »
Quelques mois après, M. Meng, déclaré bon pour le service armé, se tenait prêt à patir comme infirmier sur la ligne de feu. « La semaine dernière, lisons-nous dans une de ses lettres en date du 31 mars 1915, j’ai eu une aventure pas banale du tout. Un beau matin, après la messe, un caporal de service m’avertit que je suis demandé d’urgence par le commandant de la section. Je me rends de suite à l’appel, devinant que c’était un ordre de départ. On me dit : « Vous êtes nommé brigadier brancardier à la 61e batterie du 50e d’artillerie ; vous partez demain matin à cheval avec votre batterie pour les Dardanelles ; vous embarquez le 30 ; allez vous faire habiller. » Je saute en l’air à cette nouvelle. Mais à midi désillusion ! le médecin chef avait obtenu qu’on me remplaçât, de sorte que le soir j’étais réaffecté à la 10e section d’infirmiers. C’est navrant. »
L’été lui ménageait une autre surprise. Il écrivait le 26 août : « Je suis en train de jouir de ma deuxième permission de quinze jours, comme ouvrier agricole, à 6 kilomètres de Rennes. Mon employeur, ayant été satisfait de mon travail, a demandé une prolongation qui lui a été accordée. J’en ai donc jusqu’au 1er septembre, à moins d’un départ au front avant cette époque. »
Le départ arriva en effet, mais pas pour le front. Le 10 octobre 1916 M. Meng quittait Rennes et entrait au contrôle postal à Marseille, pour la lecture des correspondances et des journaux en coréen et en anglais. Il se félicitait d’un changement qui, à deux pas de notre procure où il avait sa chambre et prenait ses repas, lui offrait en dehors des heures de service, l’avantage d’une vie plus ecclésiastique et l’agrément de la société de plusieurs confrères, en compagnie desquels il faisait si bon se retremper dans le souvenir et l’esprit de l’existence apostolique.
Pourtant cette vie brisée, objet de tant de désirs, pouvait-on encore espérer de la retrouver jamais ? Cette guerre interminable, dont la fin semblait s’éloigner davantage d’année en année, pouvait-elle ne pas agir sur le cœur du missionnaire, et ne pas entamer son espérance de revoir son district ? M. Meng dut éprouver cette pénible impression, car avec le temps ses lettres se firent plus inquiètes de l’avenir. Heureusement ; au printemps de 1918, deux confrères de la Corée venaient le retrouver à Marseille, et ce commerce d’amitié releva la joie et la confiance de tous. Ce bonheur ne devait pas avoir de lendemain.
Dans une lettre du 15 mars, M. Devred écrivait écrivait à Séoul : « Je me réjouissais de me retrouver ici avec le P. Meng et le P. Gombert. Et voilà qu’à peine arrivé je trouve le P. Meng fatigué. Depuis quinze jours il avait beaucoup de besogne. Est-ce à cause de ce surmenage ? Toujours est-il que jeudi, 7 mars, il entrait à l’hôpital militaire où il était mis en observation. Le dimanche suivant, le major diagnostiquait une fièvre typhoïde à forme grave, et ordonnait de faire transporter immédiatement le malade dans le service des contagieux. J’eus encore la joie de le voir avant son transfert. Depuis lors, impossible de le visiter. Quand je me suis présenté, on m’a tout juste permis de le regarder par une petite ouverture pratiquée dans la porte. L’infirmière m’a d’ailleurs assurée qu’il serait très bien soigné. Hier, nous avons pu avoir de ses nouvelles par l’aumônier. Le cher Père est maintenant dans le coma. Il s’était confessé dimanche dernier en pleine connaissance. Quand je le visitai le soir avec le P. Blanc, il répétait à chaque instant qu’il était perdu. »
Une seconde lettre du même missionnaire nous annonça, quelques jours plus tard, la fatale nouvelle :
« Notre cher Père Meng nous a quittés. C’est dimanche dernier 17 mars, à 6 heures du soir, qu’il est mort, et nous ne l’avons su que le lundi à midi. Il est mort sans avoir repris connaissance. Sa fin fut très douce et sans agonie. Sa sœur était venue vendredi dernier avec son mari, mais on ne leur avait pas permis de s’approcher du malade. Ils n’avaient pu le voir que par la porte. Ce matin 21 mars, la levée du corps a eu lieu à 8 h. ½ . C’est l’aumônier de l’hôpital militaire qui l’a faite. J’ai chanté la messe des morts à l’église Saint-Jean-Baptiste où le corps fut amené. Le P. Gombert remplissait les fonctions de diacre et le P. Chambon (du Japon) celles de sous-diacre. Une douzaine de missionnaires ont pu assister aux funérailles et suivre le corps jusqu’au cimetière. Le commandant des travailleurs chinois avait tenu à être présent à la cérémonie avec les officiers et sous-officiers du cadre. Ils avaient fait déposer sur le cercueil une superbe couronne. Il y avait aussi une délégation d’infirmiers et de Chinois. Autour cercueil se tenait un piquet d’honneur de dix soldats. Comme le P. Blanc avait obtenu l’autorisation de faire enterrer notre pauvre confrère au caveau des Missions-Etrangères, c’est au cimetière Saint-Pierre que nous sommes allés lui rendre les derniers devoirs. C’est là qu’il repose à côté du P. Beauté. Pauvre mission de Séoul ! Voilà déjà trois de tes ouvriers qui disparaissent et ne te reverront plus. »
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Références
[2431] MENG Jean (1874-1918)
Références bio-bibliographiques
AME 1899 p. 231. 1903 p. 47. 1915-16 p. 78. 1917-18 p. 346. 1938 p. 104. CR 1899 p. 294. 1905 p. 33. 1907 p. 66. 1908 p. 46. 1909 p. 54. 1910 p. 55. 1911 p. 49. 1914 p. 181. 1918 p. VI. 163. 1919 p. 19. BME 1924 p. 406. 528. 1931 p. 282.
Société des Missions-Etrangères, Compte rendu des travaux de 1918, Paris 1919, p.163-167 . La Semaine religieuse du diocèse de Rennes, n° 12, 23 mars 1918, p.178-179 . Abbé A. Julliot, Livre de paroisse de la paroisse de Bonnemain, T. II, p.305-306 . La preuve du sang, Paris, Bonne Presse, 1925, T.II, p.296 . Paul Christophe, Des missionnaires plongés dans la guerre, Paris, Cerf, 2012, p.291 . Inscrit sur le monument aux morts communal de Bonnemain (35) et la plaque de la chapelle du Séminaire de la rue du Bac à Paris (75)