Jean-Baptiste MARTINET1844 - 1905
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 1060
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Identité
Naissance
Décès
Charges
Autres informations
Missions
- Pays :
- Chine
- Région missionnaire :
- 1870 - 1872 (Hong Kong)
- 1891 - 1903 (Hong Kong)
- 1903 - 1905 (Hong Kong)
- 1876 - 1891 (Shanghai)
- Pays :
- Malaisie - Singapour
- Région missionnaire :
- 1872 - 1876 (Malacca)
Biographie
[1060]. MARTINET, Jean-Baptiste, né le 6 septembre 1844 à Pouilly (Meuse), fut pendant quelque temps employé à la comptabilité dans une usine, puis fit ses études au petit séminaire de Verdun. Il entra minoré au Séminaire des M.-E. le 16 mai 1868, et reçut le sacerdoce le 11 juin 1870. Le 6 juillet suivant, il partait pour Hong-kong à titre de sous-procureur. En 1872, il passait à Singapore avec la même qualité, et y devenait procureur en 1874.
De 1876 à 1891, il dirigea la procure de Chang-haï. En 1891, il fut appelé à Hong-kong comme procureur général. Il remplit ces fonctions avec modestie et prudence. Atteint d'une maladie incurable, il donna sa démission en 1903, et eut le titre de procureur général honoraire. Il mourut au sanatorium de Béthanie à Hong-kong, le 7 février 1905.
Nécrologie
M. MARTINET
PROCUREUR GÉNÉRAL DES MISSIONS-ÉTRANGÈRES À HONG-KONG
Né le 6 septembre 1844
Parti le 6 juillet 1870
Mort le 7 février 1905
M. Jean-Baptiste Martinet naquit le 6 septembre 1844 à Pouilly (Verdun, Meuse). Son père, Nicolas Martinet, et sa mère, Catherine Admesse, n’étaient pas riches des biens du monde, mais ils avaient reçu en partage les biens inappréciables de la foi chrétienne. Vivant de leur travail dans une usine de drap, ils jouissaient de la confiance du propriétaire, qui les établit gardiens de l’immeuble. M. Martinet aimait à rappeler que le patron traitait ses parents en amis et tutoyait leurs enfants, surtout le petit Jean-Baptiste. Toutefois, cette marque de familiarité cessa, à partir du jour où le jeune Martinet revêtit la soutane. Famille très chrétienne, usine dont le maître et les ouvriers étaient chrétiens ; tout était donc réuni pour mettre l’enfance du futur missionnaire à l’abri des dangers.
Venu au monde avec une sœur, qui a toujours eu la plus grande affection pour son frère, Jean-Baptiste fréquenta de bonne heure l’école maternelle des Sœurs de la Providence de Portieux ; puis, l’école du village, dirigée par un instituteur vraiment chrétien, comme l’étaient les instituteurs de cette époque. Prière, étude et jeux, telles furent les occupations de l’enfant.
Jean-Baptiste se fit remarquer par une vertu, aimable dans les enfants et consolante pour le cœur des parents, l’obéissance. Plein de vénération pour ses père et mère, il se montrait à leur égard d’une docilité qui ne se démentait jamais en rien. Quelle que fût la commission à faire au dehors, ou la besogne à exécuter à la maison, il était prêt. Son affection filiale lui rendait facile cette obéissance de tous les instants.
La piété se développait en même temps dans le cœur de l’enfant. Sa bonne mère allait partir un jour pour Nancy. « Que vous rapporterai-je ? » demanda-t-elle à ses deux jumeaux. — Une poupée, maman, répond aussitôt la petite fille. — Et toi, Jean-Baptiste, que désires-tu ? — Ah ! maman, s’écrie-t-il, ce que je voudrais, moi, c’est « un petit mouton et un bon Dieu ». Les Sœurs de Saint-Charles, que Mme Martinet se proposait de voir, confectionnaient, dans leurs moments de loisir, de petits agneaux pour les enfants, et elles joignaient à chaque agneau un petit crucifix. Jean-Baptiste eut donc « son petit mouton et son petit bon Dieu ». On les vit longtemps sur la cheminée de sa chambre, à la place d’honneur que Jean-Baptiste leur avait assignée. Il les emporta avec lui à Paris, et jusqu’en Extrême-Orient.
Nous devons ces détails et ceux qui suivent à M. le curé de Pouilly, qui vit M. Martinet enfant, séminariste, prêtre, missionnaire, et qui eut la joie de le revoir trente-deux ans plus tard, quand il vint, sur l’ordre de ses supérieurs, demander au pays natal le rétablissement d’une santé usée au service des missions.
La piété si précoce de Jean-Baptiste ne fit que s’épanouir et se développer avec le temps. Enfant de chœur, il comprit de suite la grandeur de l’emploi qu’il avait à remplir ; il aimait à chanter au lutrin et à servir la messe. Il était fier de porter la croix ou la bannière, en tête des processions. Le jour de sa première communion fut pour lui une date dont il garda toujours le plus doux souvenir.
La famille Martinet, nous l’avons déjà dit, était très estimée du propriétaire de l’usine. Or, ce dernier avait besoin de quelqu’un pour remplir l’office de comptable. On proposa la place à Jean-Baptiste, qui avait quatorze ans. C’était une carrière honorable et lucrative qui s’ouvrait devant lui. En même temps qu’il tenait les comptes, il devait apprendre le maniement des divers métiers de tissage. M. Martinet aimait à rappeler combien il fut heureux, lorsque, après le premier mois de travail, il vint remettre à sa bonne mère le fruit de son labeur.
Mais hélas ! le jeune comptable se sentit bientôt atteint de la fièvre typhoïde. La maladie s’aggrava rapidement, et le bon curé de Pouilly crut devoir lui administrer les derniers sacrements. On était à la veille de l’Assomption 1859.
« Cher ami, lui dit le prêtre, tes camarades se confessent aujourd’hui et communieront « demain ; ils seront heureux de recevoir le bon Dieu. Ne voudrais-tu pas te confesser comme « eux ? » La réponse ne se fit pas attendre. « Mais oui, Monsieur le curé, je veux me confesser « tout de suite. Est-ce que vous ne pourriez pas me donner, demain, comme aux autres, la « sainte communion ? »
Après quarante jours d’angoisse, on se prit à espérer la guérison du cher malade. La convalescence suivit son cours, et Jean-Baptiste put se remettre au travail.
Mais Dieu avait sur lui d’autres desseins. Un soir, le jeune homme dit à son père : « Papa, je crois que Dieu demande autre chose de moi, je ne suis pas dans ma vocation. — Mais, mon enfant, que désires-tu donc ? — Je voudrais être prêtre. — Prêtre ! ce n’est pas possible ? Tu es déjà trop âgé... Et puis, tu le sais, nous ne sommes pas riches ; nous ne pourrions jamais supporter les dépenses qu’exigerait la réalisation de ton projet. » Sur les instances réitérées de son fils, M. Martinet finit par dire : « Eh bien ! va voir M. le curé ; peut-être consentira-t-il à te donner des leçons de latin. »
A cette époque, la guerre d’Italie battait son plein, et Napoléon III laissait déjà voir les projets qu’il nourrissait contre l’Église et la papauté. En face de la persécution qui s’annonçait, il était nécessaire que les rangs du sacerdoce ne s’ouvrissent qu’à des sujets d’élite, capables de repousser les attaques de l’impiété triomphante. Certes, Jean-Baptiste avait du caractère, mais avait-il l’intelligence que son curé désirait chez ses élèves ? N’était-il pas déjà trop âgé, pour être prêt au moment de la crise.
La réponse du curé ne fut pas celle que Jean-Baptiste attendait ; mais la nuit porte conseil, et le lendemain, le bon prêtre faisait dire à son jeune paroissien qu’il lui permettait de suivre les leçons que recevait, depuis six mois, un de ses camarades.
Au bout de dix-huit mois d’étude, il entrait en quatrième au petit séminaire de Verdun, où il fut aimé de ses professeurs et de ses condisciples, à cause de son application au travail, de sa bonne tenue et de son caractère enjoué. Pendant les vacances, il faisait l’édification de sa paroisse et la consolation de son curé.
A la fin de ses humanités, il entra au grand séminaire, où il se montra tel qu’il avait été au petit séminaire.
A la fin de l’année 1867, comme sa sœur se réjouissait devant lui, à la pensée de suivre bientôt son frère dans une cure, il lui fit cette confidence : « Je ne veux pas être curé ; religieux, oui ; ou bien... » L’abbé n’acheva pas d’exprimer sa pensée.
Il avait lu la vie de Théophane Vénard. Il lui en était resté un grand désir de se consacrer, comme ce martyr, à l’évangélisation des nations infidèles. Travailler, peiner toute sa vie, puis, mourir, dénué des biens de ce monde ou sous la hache d’un bourreau, pour l’amour de Dieu, tel était son idéal. Il oubliait qu’il y a un autre moyen de montrer son amour pour le bon Dieu : celui de se renoncer soi-même, et cela, toute sa vie.
Bien que faible de santé, le séminariste demanda à son évêque la permission d’aller aux Missions-Etrangères Elle lui fut accordée, et il se rendit à Paris, où il acheva ses études théologiques.
Ordonné prêtre le 11 juin 1870, il retourna à Pouilly pour dire adieu à sa famille.
Les parents de M. Martinet avaient accepté le sacrifice que Dieu leur imposait. La dernière séparation se fit au pied de la croix de Notre-Seigneur, et c’est là que le missionnaire donna rendez-vous à tous ceux qui lui étaient chers.
Le 6 juillet, M. Martinet quittait le séminaire de Paris et partait pour Hong-kong, où ses supérieurs l’envoyaient en qualité de sous-procureur. Cette charge n’avait jamais été l’objet de ses rêves. Qui donc, si ce n’est l’homme d’une foi éprouvée et d’un dévouement absolu, ne ressentirait pas une sorte de découragement, lorsque, nourri dans l’idée d’être apôtre, il apprend qu’il faut faire le sacrifice de ses aspirations ? Mais M. Martinet avait reconnu la volonté de Dieu dans celle de ses supérieurs, et il partit pour Hong-kong, avec autant de joie que s’il eût été destiné à la Corée ou au Japon.
Une procure n’offre rien qui frappe l’imagination, et le travail du missionnaire qui y est envoyé, n’a pas cette poésie qui soutient l’âme par la perception immédiate du bien que l’on fait. L’ouvrage qui incombe à tout jeune sous-procureur consiste à apprendre des langues, à faire des commissions, à écrire des lettres, d’un bout de la journée à l’autre
Les débuts de M. Martinet se firent sous la direction expérimentée de Mgr Osouf, qui était alors procureur général et qu’on appelait « la bonne maman Osouf ». Le jeune missionnaire ne se doutait guère alors que, vingt ans plus tard, il serait nommé lui-même procureur général.
Après quelques mois de stage, il fut envoyé à Shanghaï, où M. Lemonnier devait achever sa formation. Le 12 octobre 1872, il arrivait à Singapore pour seconder M. Patriat, qu’il devait remplacer dans l’office de procureur en 1873. Il conserva cette charge de 1873 à 1876. Pendant ces trois ans, il sut se faire aimer et estimer de Mgr Leturdu et des confrères de Malacca, et il garda lui-même le meilleur souvenir de son passage à Singapore.
Il sut aussi aider plusieurs chrétiens chinois de ses bons conseils, et vingt ans plus tard, quand ces Chinois, devenus riches commerçants, passaient par Hong-kong, ils ne manquaient point de témoigner leur reconnaissnnce à M. Martinet. Lui-même était heureux de les revoir, et les larmes lui venaient facilement aux yeux, dans ces circonstances.
Au mois de juin 1876, M. Martinet quittait la procure de Singapore pour prendre la direction de celle de Shanghaï. Il allait occuper ce poste jusqu’en 1890. Le mode de travail et le travail lui-même ne changeaient point, mais le nouveau procureur devait apprendre un autre idiome chinois. Il y réussit sans trop de peine. De plus, il se concilia l’estime de tous ceux avec lesquels il eut des relations : religieux de divers ordres, Européens de toute nationalité, Chinois de la ville, etc. C’est qu’il ne craignait pas de se gêner pour rendre tous les services qu’on lui demandait. Il se faisait vraiment tout à tous. En rapports suivis avec les Français et les Anglais les plus haut placés, il ne dédaigna jamais la société des humbles et des faibles.
Pendant le temps qu’il passa à Shanghaï, il ne cessa de faire du bien aux familles françaises pauvres. Il ne tarda pas à devenir l’ami des agents de police ; beaucoup d’entre eux avaient pour lui un respect presque filial, et la vénération dont sa mémoire est entourée s’est manifestée au moment de sa mort. Tous ceux qu’il avait connus à Shanghaï, ont apporté à son successeur le témoignage des regrets que leur causait la nouvelle de son décès.
Les quatorze années de son séjour à Shanghaï, « ses belles années », comme il les appelait, s’écoulèrent rapidement. En 1890, la maladie de M. Lemonnier obligea M. Martinet à se rendre à Hong-kong, où il devint bientôt procureur général.
Ce qu’il avait été à Singapore et à Shanghaï, il le fut à Hong-kong. Sa responsabilité s’était accrue ; il s’appliqua davantage encore au travail pour que rien ne lui échappât. Il notait tout, se rendait compte de tout, suivait avec toute l’attention possible les événements de l’Extrême-Orient, et la volumineuse correspondance qu’il entretenait avec les supérieurs des missions et le Séminaire de Paris est la preuve évidente du désir qu’il avait d’être utile à tous dans la mesure du possible. Travailleur infatigable, il n’avait pas une grande facilité de travail, aussi était-il constamment occupé. Toutefois, il trouvait le temps de recevoir les missionnaires malades ou de passage à Hong-kong, et les nombreux visiteurs qui désiraient l’entretenir, car il avait pour principe de ne pas perdre un instant. Debout à 4 h. ½ du matin, il consacrait le temps voulu, toujours le même, à l’oraison, à la messe, à ses exercices de piété.
Au milieu du tracas des affaires, il savait s’entretenir avec Dieu. Dans ses ennuis, et qui donc n’a pas les siens ? il allait chercher consolation, lumière, force et courage aux pieds de Notre-Seigneur, à la chapelle de la procure.
Toutes les procures des Missions-Étrangères ont une chapelle, où l’on conserve le Saint-Sacrement. C’est une grande consolation pour ceux qui, comme M. Martinet, passent toute leur vie au service de la Société dans ces établissements communs. Ils ont la joie de travailler sous l’œil du Maître. C’est en même temps une sauvegarde pour eux, qui doivent unir la vie active de Marthe à la vie intime de Marie.
A ce travail continuel, qui est imposé à tout procureur, la santé la plus robuste s’use bien vite. Il n’est donc pas étonnant que M. Martinet ait souffert, à plusieurs reprises, de ce véritable surme¬nage.
Lorsqu’il se sentait fatigué, il prenait un mois de vacances pour changer d’air et se donner du mouvement. On le vit ainsi aller successivement au Japon, à Singapore, en Corée. Il aimait parfois à se reposer chez des confrères, dans une des missions voisines de Hong-kong, à voir leurs œuvres, à partager leur dénuement, et autant que sa bourse le permettait, au retour, il envoyait à celui-ci, à celui-là, un petit secours, accompagné d’une lettre qui disait sa joie de pouvoir faire quelque chose pour l’évangélisation. Il racontait à ses confrères de la procure générale ce qu’il avait vu et ce qui l’avait édifié. On voyait que, chez lui, l’homme d’affaires n’avait pas tué le missionnaire, loin de là. Le regret de n’avoir pu se consacrer à l’évangélisation des païens, restait au fond de son cœur, vif comme au premier jour. Mais aussitôt une pensée, toute de foi, remettait les choses au point : « Qui sait si j’aurais pu faire aussi bien que mes confrères ? » L’humilité lui rendait ainsi l’obéissance et la résignation faciles.
Cependant les forces du procureur général ne répondaient plus à sa bonne volonté. De violents maux de tête survinrent, qui le faisaient souffrir plus ou moins longtemps. D’année en année, cette affection se manifestait plus tôt et durait davantage. En 1901, elle atteignit un tel degré de violence, qu’elle lui rendit tout travail impossible. Dès le commencement de 1902, se soumettant à la volonté de ses supérieurs, le cher malade retourna en France pour y refaire ses forces.
Le bonheur de revoir sa sœur bien-aimée, son frère, ses neveux et nièces et le vénérable prêtre qui avait dirigé ses premiers pas dans la vie spirituelle, ne fut pas suffisant pour lui faire oublier la Chine, et les soins les plus dévoués ne purent enrayer la maladie. C’est en France qu’il subit une légère attaque d’hémiplégie. Il fit un pèlerinage à Lourdes pour demander sa guérison, si elle devait être utile à son âme. Le mieux espéré ne vint pas ; ce que voyant, M. Martinet donna sa démission de procureur général, qui fut acceptée. Il en éprouva un véritable soulagement, et son unique désir fut alors de retourner en mission. Il voulait mourir à son poste. Il partit donc au commencement de 1903, disant adieu à tout ce qu’il aimait le plus en France : à sa famille, à son cher curé, à son pays natal.
On peut dire en quelques lignes ce que furent les deux années qui lui restaient à passer sur la terre.
Comme il avait perdu la mémoire, il ne pouvait s’occuper sérieusement de quoi que ce fût. Il continuait néanmoins à faire tous ses exercices de piété, avec une exactitude encore plus grande qu’autrefois. Il priait : « Mais, disait-il en souriant, je ne sais ce que je dis ; heureusement que le bon Dieu tient compte de la bonne volonté. » C’est ainsi qu’il se préparait à la mort.
A la fin de 1904, se sentant faiblir de plus en plus, il crut que le climat froid de Shanghaï lui redonnerait quelques forces. Il fut déçu. Parti pour Shanghaï au mois d’octobre, il revenait en janvier au sanatorium de Hong-kong. La maladie avait fait des progrès. Au bout de quelques jours, il subit une dernière attaque qui l’emporta.
Saint prêtre et zélé missionnaire, M. Martinet est allé recevoir au ciel la récompense qu’il avait si bien méritée par trente-cinq ans d’une vie toute consacrée à Dieu, au bien des âmes et au service des mis¬sions.
Il repose maintenant dans le petit cimetière de Béthanie, où il allait si souvent prier et réciter son bréviaire, auprès des chers défunts qu’il avait connus et aimés.
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Références
[1060] MARTINET Jean-Baptiste (1844-1905)
Bibliographie. - Aux Bienfaiteurs de la Mission du Kouy-tcheou. - Imp. Victor Crespy, 18 et 20, rue Gouvion, Bordeaux, 1885, in-8, pp. 12.
[Lettre datée de Chang-Hay, Procure des M.-E., 26 août 1884, adressée à M. Cardez, 41, cours Portal, Bordeaux.]
Notes bio-bibliographiques. - C.-R., 1874 (déc.), p. 36 ; 1876, p. 42 ; 1879, p. 70 ; 1890, p. 207 ; 1891, pp. 233, 310 ; 1898, p. 34 ; 1899, p. 355 ; 1905, p. 283. - M. C., xvi, 1884, Persécution en Chine, pp. 589, 615 ; xvii, 1885, p. 37 ; Ib., Persécution en Chine, p. 61 ; Ib., p. 373 ; xviii, 1886, pp. 421, 437, 457 ; xxi, 1889, p. 207. - A. M.-E., 1898, p. 231 ; 1901, p. 311.
Hist. miss. Kouang-si, Tab. alph. - M. l'abbé Rebaud, p. 11. - An anecd. hist., Tab. alph.
Notice nécrologique. - C.-R., 1905, p. 299.