Marc ROTZ (de)1840 - 1914
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 0981
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Identité
Naissance
Décès
Missions
- Pays :
- Japon
- Région missionnaire :
- 1868 - 1871 (Nagasaki)
- 1873 - 1914 (Nagasaki)
- 1871 - 1873 (Tokyo)
Biographie
[0981] ROTZ Marc (de) est né le 27 mars 1840 à Vaux-sur-Aure (Calvados).
Il entre aux MEP le 23 septembre 1862. Ordonné prêtre le 29 juin 1865, il part le 15 avril 1868 pour la mission de Nagasaki (Japon).
De 1871 à 1873, il est aumônier des Européens de l'arsenal de Yokosuka. En 1873, dès l'abolition des édits de persécutions, il rejoint Nagasaki, où il construit le séminaire et installe un atelier d'imprimerie. En 1879, il est nommé au district de Sotome. Il établit sa résidence à Shittsu, où il bâtit une église, un presbytère et démarre diverses activités (ouvroir, tissage, confection de vêtements).
En 1911, il tombe gravement malade, puis il peut se remettre pour un temps à ses activités avant de revenir à Nagasaki, où il dirigea les travaux de la résidence de l'évêque.
Il meurt le 7 novembre 1914 à Nagasaki. Son corps est transféré à Shittsu au cimetière du village.
Nécrologie
M. DE ROTZ
MISSIONNAIRE APOSTOLIQUE DE NAGASAKI
Né le 27 mars 1840
Parti le 15 avril 1868
Mort le 7 novembre 1914
Marc-Marie de Rotz naquit le 27 mars 1840, au château de Vaux, près de Bayeux (Calvados). Sa famille était la providence de tous les en¬virons. M. et Mme de Rotz élevèrent leurs enfants dans les principes d’une vie toute chrétienne, faite de simplicité, et de charité, loin du monde et de ses agitations. Le père dirigeait lui-même la culture des terres de son vaste domaine, dont il voulait laisser l’administration à son fils aîné. Il comprenait ses devoirs paternels et veillait avec sollicitude sur l’éduca¬tion de ses enfants. Quand le précepteur, à l’époque des vacances, n’était pas satisfait de la conduite ou du travail de ses élèves, il savait qu’il serait soutenu par le père et la mère ; et, plus d’une fois, le jeune Marc, qui était d’une nature exubérante, eut l’occasion de s’apercevoir que l’autorité, pour être confiée aux mains d’un intermédiaire, n’en était pas moins réelle et avait toujours le dernier mot.
Marc quitta de bonne heure le foyer paternel ; il n’y revenait guère que pendant les vacances. Dès son enfance, il fut confié aux soins de l’abbé Dupanloup, chez qui il passait souvent les jours de congé, et dont il garda toute sa vie le plus reconnaissant souvenir.
Il était tonsuré, quand il entra au Séminaire des Missions-Etrangères le 23 septembre 1862. La maladie l’obligea à rentrer dans son diocèse, au bout d’un an et demi de séjour à la rue du Bac, où il avait fait preuve d’une tendre dévotion envers la très sainte Vierge et de grandes apti¬tudes pour les travaux matériels. C’est lui qui dirigea la construction du premier oratoire de Notre-Dame des Partants, dans le jardin du Sémi¬naire.
Ordonné prêtre à Bayeux le 29 juin 1865, il fut nommé vicaire à Saint-Julien de Caen. Pendant les deux années qu’il demeura dans cette paroisse, le curé lui confia la direction des domestiques et des pauvres, dont il sut se concilier la respectueuse affection. Lorsqu’il partit pour les missions en 1868, une servante lui remit toutes ses économies, 500 francs, pour les œuvres du Japon. Et comme le jeune missionnaire la priait de garder cette somme pour ses vieux jours : « Mais, dit-elle, est-ce que l’hôpital est fait pour les chiens ? » Vaincu par ce raisonnement et l’accent de charité qui l’accompagnait, M. de Rotz accepta l’aumône et n’oublia jamais la généreuse bienfaitrice.
Mgr Petitjean, vicaire apostolique du Japon, était venu en France pour les besoins de sa mission et désirait emmener avec lui un litho¬graphe, qui pût l’aider à publier les livres dont ses néophytes ne pou¬vaient pas rester plus longtemps privés. On lui indiqua M. de Rotz, qui reçut sa destination pour le Japon et s’embarque avec son évêque le 15 avril 1868 sur l’Impératrice, paquebot des Messageries Maritimes.
A peine arrivé à Nagasaki, le missionnaire organise ses presses litho¬graphiques, forme les aides dont il a besoin et se met avec ardeur au travail. Mais, à cette époque, les missionnaires, pour éviter la persécu¬tion, étaient obligés d’user d’une grande prudence dans leurs rapports avec les chrétiens. Ces derniers ne venaient à la résidence de l’évêque qu’à la nuit tombante, et s’en retournaient chez eux avant les pre¬mières clartés du jour. Même la nuit, il allait à tout prix éviter les regards indiscrets. C’est pourquoi M. de Rotz transforma les combles de la maison en chapelle provisoire, et les hommes purent assister à la messe et recevoir les sacrements sans être inquiété pendant un certain temps. Mais malgré toutes les précautions, la persécution éclata, et les chrétiens furent envoyés en exil.
En 1871, Mgr Petitjean crut avantageux, pour le bien de la mission, de fixer sa résidence à Yokohama. Sa Grandeur emmena avec Elle M. de Rotz et le chargea d’aménager un dortoir dans les combles de la maison, pour les séminaristes récemment revenus du collège de Pinang.
Les chrétiens étaient toujours en exil ; mais, sous la pression des gou¬vernements européens, le Japon allait se voir obligé de se relâcher de son extrême rigueur. Le vicaire apostolique fit alors venir de Singapore les dames de Saint-Maur, pour l’instruction des jeunes filles euro¬péennes. Logées d’abord d’une façon très précaire, dans les dépendances du terrain qu’elles avaient acheté, les religieuses songeaient à construire une maison un peu plus confortable pour elles-mêmes, et assez grande pour contenir les œuvres qu’elles désiraient établir plus tard. Mais, il eût été imprudent d’employer la main-d’œuvre japonaise, et il fut décidé de confier l’entreprise à ses chinois, que dirigeait M. de Rotz. Ce dernier prépara les plans du nouvel établissement avec l’aide des ingénieurs français de l’arsenal de Yokosuka, et se chargea d’amener sur le chantier tous les matériaux nécessaires. A cet effet, il fit fabriquer un énorme camion, se procura un attelage de quatre chevaux harnachés à la normande, auxquels lui-même, vêtu d’une blouse bleue et le fouet à la main, faisait gravir la colline de Yokohama. Son atte¬lage en flèche, avec les hauts colliers de ses chevaux, fit sensation en ville. Le jour où la femme du consul d’Angleterre dut arrêter sa belle calèche, pour laisser passer le lourd camion de M. de Rotz, le Punch, journal anglais, raconta l’incident et le critiqua avec quelque amertume ; mais M. de Rotz était connu ; on lui pardonnait tout, et l’affaire en resta là. Après avoir été charretier, le missionnaire se fit charpentier, maçon et exerça tous les métiers, selon les besoins de la construction, qu’il mena à bonne fin.
Tout en s’occupant de ces travaux matériels, M. de Rotz devait assu¬rer le service divin dans la chapelle de l’arsenal de Yokosuka. Chaque samedi, la chaloupe de l’arsenal venait le prendre à Yokohama et 1’y ramenait le dimanche soir ou le lundi matin. Les ingénieurs et ouvriers français l’estimaient beaucoup, et plusieurs de ces Messieurs, après leur retour en France voulurent conserver des relations avec leur ancien aumônier.
En 1873, les édits de persécution furent abolis et les chrétiens revin¬rent de l’exil. C’est alors que M. de Rotz revint lui-même à Nagasaki pour lithographier des livres de prières, devenus de plus en plus nécessaires. Il publia aussi, chaque année, le calendrier à l’usage des néo¬phytes.
A peine rentrés dans leurs foyers, les chrétiens minés par les souf¬frances de l’exil, réduits pour la plupart à une extrême misère, sont atteints de maladies de toute sorte, et en 1874, une épidémie de dysenterie se déclare parmi eux. M. de Rotz, en face de cette nouvelle infortune, demande à son évêque et en obtient la permission de se constituer le garde-malade, le médecin de ces malheureux. Il se procure des remèdes et s’adjoint comme infirmières les religieuses indigènes de Motobari, que Mgr Laucaigne, auxiliaire de Mgr Petitjean, commençait à diriger dès cette époque, et qui allaient devenir les « Amantes de la Croix ». Il leur apprend à connaître les maladies, à soigner les malades et à leur administrer les remèdes voulus. Chaque jour, après son frugal déjeuner, il va retrouver ses dévouées auxiliaires à Urakami au chevet des malades, et y reste lui-même jusqu’au soir, prodiguant à tous ces pauvres malheureux ses soins et ses encouragements. A la suite de cette terrible épidémie, il fit venir de France une pharmacie complète, pour être en mesure de rendre de plus grands services encore aux malades, qui auraient besoin de son assistance.
Mais il devait alors reprendre les travaux de construction du sémi¬naire, qu’il avait commencés vers la fin de 1873. C’est en octobre 1875 qu’il termina cet établissement, pour lequel, disait-il, il n’avait employé que des matériaux de choix et dont il garantissait la solidité. Dans toutes ses entreprises, notre confrère a toujours voulu faire œuvre durable ; et l’expérience prouve qu’il réalisait ainsi une véritable économie.
En 1875 le séminaire ne comptait que cinq élèves, et ils avaient seu¬lement une classe le soir. Les cours proprement dits ne recommencèrent qu’à la rentrée d’octobre 1877. Pendant ce laps de deux années, M. de Rotz installa ses presses dans l’une des salles du nouvel établissement. Il publia des livres, de grandes images de la sainte Vierge, de saint Joseph, et les stations du chemin de la croix.
Tout entier à ses publications, il visait à faire de mieux en mieux et, pour y arriver, il acheta un matériel complet d’imprimerie. Il devint bientôt un homme très entendu dans le maniement des machines, qu’il fai¬sait manœuvrer avec une activité fébrile, persuadé qu’il était enfin dans sa voie et que la mission ne lui demanderait pas d’autres services. Mais, entre temps, les imprimeries s’étaient multipliées au Japon ; elles avaient d’habiles typographes et travaillaient à des prix très modérés. Le vicaire apostolique jugea dès lors inutile de laisser M. de Rotz à son impri¬merie, et le mit à la tête du district de Sotome en 1879. Ce changement inattendu déconcerta quelque peu le missionnaire, mais il se ressaisit vite et fixa sa résidence à Shittsu. Une famille chrétienne lui donna l’hospitalité, jusqu’au jour où il put construire une église et un pres¬bytère. Mais le curé de Shittsu voulait avoir des offices liturgiques dans son église ; il donna des leçons de chant à ses chrétiens et se fatigua, dans cette circonstance, jusqu’à en cracher le sang. « Au lieu de donner de la voix, écrivait-il, je suis réduit à siffler le « Kyrie et le Gloria. » Il n’en continua pas moins ses leçons, et il eut les offices liturgiques qu’il désirait.
En 1880, M. de Rotz reçut un aide et un conseiller précieux dans la personne de M. Salmon, son ami intime, qui resta avec lui pendant sept années. En acceptant la charge d’une paroisse, il avait redouté les responsabilités du saint ministère ; l’arrivée de M. Salmon fit cesser toutes ses inquiétudes, car il ne garda guère pour lui que l’administration extérieure et la visite des malades, abandonnant en grande partie le con¬fessionnal à son assistant. Afin de soulager les pauvres dont il était le père, il établit des œuvres de jeunesse. Il enseigna divers métiers aux garçons, mais n’obtint pas de ce côté les heureux résultats qu’il espé¬rait.
Dans l’intérêt des femmes pauvres et des orphelines du district, il construisit pour elles deux bâtiments et leur en ouvrit les portes. Elles étaient placées sous la direction de personnes dévouées, qui voulaient se consacrer à Dieu. Le missionnaire leur installa des métiers à tisser dans l’un des deux bâtiments, et, du matin au soir, le bruit des métiers portait au loin l’écho de cette ruche nouvelle.
Il leur fit défricher des terres et leur procura tous les instruments nécessaires à la culture européenne. Il n’est pas, du reste, de métier rele¬vant du travail d’une femme, qu’il ne leur ait enseigné et pour lequel il n’ait fait de grosses dépenses,
L’ouvroir était fondé ; il ne restait plus qu’à lui donner un règlement. Dans ce but, M. de Rotz met l’œuvre sous la protection de saint Joseph. Les personnes qui en font partie doivent se considérer comme spéciale¬ment obligées d’honorer l’Enfant Jésus, qui s’est fait ouvrier sous la conduite de son père nourricier, et s’efforcer d’imiter son amour du tra¬vail, sa pauvreté et sa compassion pour les malheureux. Elles ne font pas de vœux et peuvent quitter l’établissement quand elles veulent ; mais toutes sont tenues au travail manuel selon leurs forces et leurs aptitudes. Pour assurer l’avenir de l’ouvroir, le missionnaire fit une fondation, dont le vicaire apostolique est seul à connaître le montant.
Tout en s’occupant de son ouvroir, le curé de Shittsu ne négligea pas les intérêts de sa paroisse. Il refit l’église en briques, la dota d’une belle cloche et plaça au sommet de la tour une grande statue de Notre-Dame de Lourdes.
En 1887, M. Salmon, sur qui M. de Rotz se reposait pour l’adminis¬tration des sacrements, fut nommé vicaire général et rappelé à Nagasaki. Le coup était dur pour le curé de Shittsu, mais l’évêque lui enleva une partie de sa paroisse et la confia à un prêtre Japonais. Peu après, il lui donna un autre prêtre japonais comme auxiliaire.
Depuis son arrivée en mission, M. de Rotz, par obéissance, plus en¬core que par attrait, avait dû s’occuper de travaux matériels, et, pour lui, l’étude de la langue avait été forcément reléguée au second plan. Se voyant seul avec un prêtre indigène, il comprit qu’il devait à tout prix combler cette lacune de sa formation apostolique. On le vit alors préparer avec soin ses instructions et ses catéchismes, y consacrer des journées entières et profiter de toutes les occasions pour faire corriger ce qu’il avait écrit. Il a laissé des cahiers d’instructions et de retraites de pre¬mière communion, qui représentent une somme énorme de travail. Quand il le pouvait, il priait un missionnaire voisin de le seconder pour la prédication, et il avait en outre à son service des catéchistes dévoués.
La figure originale de M. de Rotz ne s’effacera pas de sitôt du sou¬venir de ceux qui l’ont connu. Il était un conteur délicieux, et parlait un langage imagé, tout personnel et inimitable. Bourru à ses heures, il ne reculait pas devant le mot propre, un peu cru parfois. Quand il se plai¬gnait de ses chrétiens devant de jeunes confrères, et que ceux-ci abon¬daient malignement dans son sens, on le voyait faire machine en arrière, et ses plaintes se changeaient tout à coup en éloges dithyrambiques.
Par amour de la pauvreté, il couchait à la japonaise, sans draps de lit ; mais il avait toujours des draps pour ses hôtes, qui étaient bien accueillis et traités avec égards. Lorsqu’il était seul, il se contentait d’une nourriture très frugale, et il mangeait rarement à heure fixe.
Animé d’un grand esprit de foi, il aimait tendrement l’Eglise et le Souverain Pontife. Il aimait ses chrétiens et ses confrères. Apprenait-il qu’un missionnaire était dans le besoin, il volait à son secours, mais avec tant de délicatesse, que souvent celui auquel il venait en aide, ne connut jamais la main qui s’était ouverte pour le tirer d’embarras.
En janvier 1911, M. de Rotz tomba dangereusement malade à Shittsu. Il écrivait alors sur son carnet intime : « Mon Dieu, je vous abandonne ma vie, ma santé, mon honneur : faites de « moi et en moi tout ce qu’il vous plaira. Puissé-je un jour laver dans mon sang toutes les « fautes de ma vie ! » Trois jours après, il écrivait à un vieil ami : « Nous reverrons-nous en « ce monde ? Dieu le sait ; mais il faut que nous nous revoyions au ciel et en bonne place ; je « me recommande donc à vos prières et à celles de toutes les bonnes âmes que vous « connaissez. Quand on a été un pauvre serviteur de Dieu comme moi, il y a bien des choses « pour lesquelles il faut implorer la miséricorde de Notre-Seigneur par les mérites de son sang « divin. Personne ne sait quand il mourra, ni ce qu’il aura à souffrir avant la mort. J’offre tout « pour le pardon de mes fautes à Notre-Seigneur, par l’intermédiaire de notre bonne Mère. » Le 25 janvier il reçut l’extrême-onction, mais il éprouva bientôt un mieux très sensible, et, au printemps, il put se lever et vaquer à une partie de ses occupations. Il redevint même assez fort pour soigner Mgr Cousin dans sa dernière maladie, au mois de septem¬bre.
Cependant sa santé demeurait chancelante. D’après le conseil de l’évêque, il se déchargea du ministère actif sur son vicaire et vint habiter Nagasaki. Malgré ses infirmités, il conçut le généreux dessein de doter la mission d’une résidence plus convenable pour l’évêque de Nagasaki et les confrères de passage dans cette ville. La Providence lui laissa le temps de réaliser son plan, mais notre bon confrère ne put jouir lui-même de son œuvre. Le 7 novembre 1914, il nous quittait, après une nuit de souffrances atroces, pour aller recevoir au ciel la récompense de ses travaux et de ses libéralités.
Avant de mouir, il reçut de nouveau l’extrême-onction, le saint via¬tique et l’indulgence plénière. Il rendit le dernier soupir pendant qu’on récitait près de lui les prières des agonisants. Son corps fut transporté à Shittsu, où il repose dans le tombeau qu’il s’était préparé lui-même auprès de la croix du cimetière.
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Références
[0981] ROTZ Marc (de) (1840-1914)
Références biographiques
AME 1926-27 p. 327. 1938 p. 31. 34. CR 1885 p. 187. 1886 p. 24. 1887 p. 41. 1888 p. 24. 1891 p. 60. 1893 p. 62. 63. 1894 p. 66. 1895 p. 70 sq. 1896 p. 61. 1899 p. 27. 1900 p. 24. 1909 p. 24. 1913 p. 32. 1914 p. 2. 1915 p. 209. 1916 p. 14. 1918 p. 160. 1919 p. 207. 1924 p. 2. 6. 1930 p. 315. BME 1952 p. 384. Hir. N° 126. EC2 N° 122P275. 276. 277. 178P650. 653.
Bibliographie
Un pionnier formidable - Marc de Rotz. MEP". par Yakichi Kataoka.
Seibô no Kishi (Plaquette non datée).
"Aru Meiji no Fukushizô - Do. Ro Shinpu no Shôgai (Une certaine image de l'assistance sociale à l'ère Meiji - La vie du Père de Rotz)." par Yakichi Kataoka. Tokyo, NHK. 1977.
"l'Histoire de Sotome". Sotome (Nagasaki-Ken). 1983.