Jean-François GÉNIBREL1851 - 1914
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 1249
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Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Vietnam
- Région missionnaire :
- 1875 - 1914 (Saigon)
Biographie
Jean-François-Marie GÉNIBREL naquit le 21 avril 1851, à Castres, paroisse St.Jacques, diocèse d'Albi, département du Tarn. Il était l'ainé d'une famille de douze enfants et dont le benjamin né en 1875, entra dans l'Institut des Frères des Ecoles Chrétiennes et partit travailler à l'île Maurice.
Jean François fit ses études secondaires au Petit Séminaire de Castres.Il achevait sa réthorique lorsque éclata la guerre de 1870. Ardent patriote, il s'exerça au maniement des armes, mais ne fut pas appelé sous les drapeaux. Il commença ses études cléricales au grand séminaire d'Albi où il passa une année.
Le 20 Septembre 1872, il entra, laïque, au Séminaire des Missions Etrangères. Tonsuré le 7 juin 1873,minoré le 20 décembre 1873, sous-diacre le 30 mai 1874, diacre le 19 décembre 1874, il fut ordonné prêtre le 22 mai 1875, et reçut sa destination pour le Vicariat Apostolique de la Cochinchine Occidentale,(Saïgon) qu'il partit rejoindre le 30 juin 1875.
Arrivé à Saïgon, au commencement d'août 1875, Mgr. Colombert l'envoya à Mac-Bac, auprès de M.Simon, pour apprendre la langue viêtnamienne. Tous deux, vifs et ardents, robustes et zélés, travaillèrent ensemble pendant trois ans. Fin 1877 et durant les premiers mois de 1878, survint une grave épidémie de choléra. Ils se dévouèrent, sans compter auprès des malades.
En 1878, Mgr.Colombert nomma M.Génibrel à la tête de la chrétienté de Phu-Hiêp, voisine de Cai-mong, et à laquelle se rattachaient trois ou quatre annexes. Il construisit à Phu-Hiêp, une église dont la nef fut démolie par le violent typhon du 1er mai 1904, puis il posa les fondations d'un presbytère.
En 1883, il arriva à l'imprimerie de la Mission à Tân-Dinh. Cet établissement, crée par M.Eveillard, en 1867, transféré à Tân-Dinh en 1874, et dirigé par lui, n'était pas une ffaire", mais une "oeuvre" dont le but était de former des orphelins au métier d'imprimeur. Certains restaient attachés à cette maison, mais le plus grand nombre travaillait dans les imprimeries de Saigon. M.Génibrel s'initia donc au métier d'imprimeur, tout en vaquant aux fonctions du ministère paroissial, et en veillant sur M.Eveillard, malade et infirme, qui s'éteignit le 15 septembre 1883.
M.Louvet fut alors chargé de la paroisse de Tân-Dinh; M.Génibrel devint directeur de l'imprimerie dont il renouvela le matériel. Il consacra à cette oeuvre ses forces,son intelligence et son temps. Tôt levé, après son déjeuner matinal,il faisait une heure de cheval, puis se mettait au travail jusque tard dans la nuit.
Outre de nombreux ouvrages religieux et classiques pour l'enseignement, M.Génibrel corrigea et réédita le "Manuel de conversation annamite-français" composé par Mgr. Caspar et M.Eveillard. En 1893, il publia un "Vocabulaire Annamite-Français", qui devint en 1906, revu et augmenté le "Petit Dictionnaire Annamite-Français". En 1898, il fit paraitre un "Vocabulaire Français-Annamite" de 451 pages. Mais son oeuvre principale publiée la même année, fut le monumental "Dictionnaire Annamite-Français" auquel il consacra 14 années de travail, et pour lequel il demanda à Mgr. Caspar et à M. Doan, prêtre viêtnamien ,et excellent lettré, le secours de leur science et de leurs critiques. Il prépara "un Dictionnaire Français-Annamite", mais il ne put l'achever.
En 1902, M. Génibrel fut nommé curé de la paroisse de Tân-Dinh .Celle-ci comptait environ 3.000 chrétiens. A tous il donna les moyens spirituels de conversion, de persévérance, et de sanctification . Il fit prêcher des missions paroissiales; il créa, et développa diverses confréries; il régularisa de nombreux mariages.et passa beaucoup de son temps à instruire les catéchumènes ,et à donner le sacrement de la réconciliation.Ses prédications étaient claires ,pratiques, ses catéchismes instructifs et intéressants. Il fut un promoteur de la première communion des enfants et de la communion quotidienne. Il aimait les belles cérémonies liturgiques, et écoutait de bon coeur , les compliments que lui en faisaient ses confrères. Il aimait recevoir leur visite, et acceptait facilement de leur rendre service.
En février 1910, une hémorragie mit ses jours en danger; il fit une rechute au commencement de 1913. Ayant du mal à retrouver ses forces, le docteur l'envoya à Singapore et à Pinang où il passa trois mois. Il en revint avec une tuberculose pulmonaire qui le consuma lentement. Vif par nature, il apprit à devenir très patient. Il laissa,peu à peu, l'administration de la paroisse, à ses deux vicaires.
Le 16 mai 1914, à la suite d'une petite hémorragie, il demanda le sacrement des malades. Le 24 mai suivant, il entra en agonie; le lendemain matin, 25 mai 1914,à 7h30 il rendit son âme à Dieu. Ses funérailles célébrées à Tân-Dinh, furent magnifiques. Sa dépouille mortelle fut conduite au cimetière du tombeau d'Adran, non loin de celle de M.Lallement, arrivé en mission avec lui .
Nécrologie
M. GENIBREL
MISSIONNAIRE APOSTOLIQUE DE LA COCHINCHINE OCCIDENTALE
Né le 20 avril 1851
Parti le 30 juin 1875
Mort le 25 mai 1914
M. Jean-François-Marie Génibrel naquit à Castres (Albi, Tarn), le 20 avril 1851. Ses parents étaient de solides chrétiens : Dieu bénit leur union, leur donna douze enfants et appela à son service l’aîné et le benjamin. Ce dernier, né en 1875, entra dans l’Institut des Frères des Ecoles chrétiennes ; il est actuellement à l’île Maurice. Quant à l’aîné, c’était Jean-François ; il fut missionnaire en Cochinchine pendant trente-neuf ans, et il a terminé sa belle carrière le 25 mai dernier.
Ayant de bonne heure entendu l’appel de Dieu, il fit ses études au petit séminaire de Castres. En seconde, une grave maladie mit sa vie en danger. Il venait de guérir et achevait sa rhétorique lorsque éclata la guerre de 1870. A dix-neuf ans, ardent patriote, il s’exerça avec d’autres jeunes gens au maniement des armes, sous la direction d’un vieux sous-officier. Mais il ne fut pas appelé sous les drapeaux ; Dieu voulait l’enrôler dans une autre milice. Le 20 septembre 1872, il entrait, encore laïque, au Séminaire des Missions-Étrangères. Il y passa trois ans à peine. Ordonné prêtre le 22 mai 1875, il fit généreusement ses adieux à sa famille et au bon curé qui l’avait préparé à sa première communion et avec lequel il resta en relation toute sa vie.
Les Directeurs du Séminaire le destinèrent à la Cochinchine occidentale. Embarqué le 4 juillet 1875, il arriva à Saïgon au commencement d’août. C’était l’entrée dans la terre promise : il ne manqua pas d’en célébrer chaque année le souvenir.
Mgr Colombert l’envoya à Mac Bac apprendre l’annamite et se former au saint ministère, auprès de M. Simon. Curé et vicaire firent bon ménage : tous deux vifs et ardents, robustes et zélés, ils travaillèrent ensemble pendant environ trois ans. Vers la fin de 1877 et dans les premiers mois de 1878, survint une épidémie de choléra comme on en voit rarement, même en ce pays où les épidémies sont si fréquentes et si meurtrières. Jour et nuit les deux missionnaires de Mac Bac couraient d’un malade à l’autre sans répit ni trêve. M. Génibrel racontait plus tard qu’un jour, au plus fort du fléau, M. Simon et lui avaient été appelés auprès des cholériques plus de trente fois : 24 heures durant, ils n’avaient pas dessellé leurs chevaux.
Après cette initiation au ministère apostolique, Mgr Colombert plaça M. Génibrel à Phu Hiep, chrétienté voisine de Cai Mong, et à laquelle se rattachent trois ou quatre petites annexes. M. Génibrel se rendit dans son nouveau poste avec sa bonne volonté et son ardeur accoutumées. Phu Hiep avait besoin d’une église : il en construisit une, qui dura jusqu’au 1er mai 1904, date à laquelle un typhon désastreux en démolit la nef jusqu’au sanctuaire. Il n’y avait point de presbytère : le Père s’installa provisoirement derrière la sacristie ; et, lorsque la Providence lui en fournit les moyens, il fit les fondations de la cure.
En 1883, il échangea Phu Hiep contre l’imprimerie de Tan Dinh. Cet établissement, fondé par M. Eveillard et dirigé par lui, n’était pas une affaire mais une œuvre. On y élevait et formait à l’imprimerie des orphelins dont quelques-uns sont restés attachés à la maison, mais dont le plus grand nombre utilisent, dans les imprimeries de Saïgon, les connaissances professionnelles qu’ils ont acquises à Tan Dinh.
A son arrivée, M. Génibrel trouva M. Eveillard atteint d’une infirmité qui lui rendait tout travail impossible et réclamait des soins délicats de jour et de nuit. Il comprit son devoir et l’accomplit, trois mois durant, sans la moindre défaillance. Dans la journée, il vaquait aux fonctions du ministère paroissial et s’initiait au métier d’imprimeur. Pendant la nuit, il restait au chevet du malade et lui rendait charitablement tous les services.
Lorsque M. Eveillard mourut, au mois d’avril, M. Génibrel pouvait continuer son œuvre. Il en fut chargé, tandis que M. Louvet l’était de la paroisse. En homme avisé, le nouveau directeur de l’imprimerie marcha sur les traces de son prédécesseur. Celui-ci lui avait laissé par écrit d’excellents conseils, fruits de sa longue expérience des hommes et des choses. M. Génibrel un fit la règle de sa conduite et ne s’en écarta jamais.
Il consacra à son nouvel emploi son temps, ses forces et son intelligence. Levé tous les jours à 4 heures 1/2, il faisait sa méditation et récitait les petites heures avant sa messe. Après son déjeuner, il faisait une heure de cheval : car il était bon cavalier et les indigènes le prenaient pour un ancien officier. En rentrant, il se mettait au travail pour toute la matinée. Il travaillait aussi le soir de 2 à 4 heures, et, après souper, jusqu’à 9 heures.
Avec un pareil règlement, il devait forcément faire beaucoup de besogne et de bonne besogne. Il revit, corrigea et réédita trois fois le Manuel de Conversation annamite-français, composé par Mgr Caspar et M. Eveillard. Il fit paraître un Petit Dictionnaire annamite-français et un Lexique français-annamite, premiers ouvrages de ce genre en Cochinchine. Mais son œuvre principale, c’est son Grand Dictionnaire annamite-français. Il y consacra dix ans de son existence, se procura tous les livres, brochures ou revues qui pouvaient lui être utiles, demanda à Mgr Caspar le secours de sa science et de ses critiques, acheta une presse neuve et tira son livre à 2.000 exemplaires. C’était en 1896, et l’ouvrage était sur le métier depuis 1885. Mais l’ouvrier voulait encore travailler. Il se mit à préparer un Dictionnaire français-annamite semblable au précédent et d’une étendue au moins égale. Il ne put l’achever.
En 1902, il fut nommé curé de Tan Dinh, et les occupations du saint ministère prirent à peu près tout son temps. Sa paroisse, en effet, comptait environ 3.000 chrétiens. Bon nombre d’entre eux étaient fervents ; les autres, tièdes ou pécheurs.
A tous M. Génibrel procura des moyens de conversion, de persévérance et de sanctification : aux pécheurs, il fit donner des retraites ; pour les autres, il soutint et développa la confrérie des Enfants de Marie et celle du Saint-Sacrement, établies déjà par ses prédécesseurs, et y adjoignit celle du Très-Saint-Rosaire, qui devint bientôt très florissante. Il plaça dans son église une image de Notre-Dame du Perpétuel Secours, devant laquelle il fit brûler une lampe jour et nuit ; et il chargea officiellement la très Sainte Vierge de ramener au bon Pasteur les ouailles égarées. Sa confiance ne fut pas trompée. En un seul jubilé, il put régulariser une quarantaine de mariages.
Il instruisait lui-même les catéchumènes, mais il passait surtout son temps à réconcilier les pécheurs avec Dieu. Il entendait en moyenne 7.000 confessions par an. C’est dire qu’il avait la confiance des pénitents.
Très éloigné du jansénisme, il appliqua largement les décrets sur la communion quotidienne et sur la première communion des enfants. L’année dernière, le nombre des communions dans sa paroisse s’élevait à plus de 48.000. Comptant, avant tout, sur les moyens surnaturels, il espérait avec raison que la fréquentation des sacrements affermirait les âmes chancelantes et perfectionnerait les âmes fortes. D’autre part, il enseignait et exhortait sans cesse. Ses prédications étaient claires et pratiques ; ses catéchismes, intéressants et instructifs.
Pour honorer Notre-Seigneur et afin d’attirer les fidèles aux offices, il veillait à l’entretien et à la propreté de son église, à l’ornementation des autels, à la beauté des vêtements sacerdotaux, à l’éclat des cérémonies sacrées, à la bonne exécution des chants liturgiques. Après la cathédrale et le séminaire, nulle part on ne solennisait mieux que chez lui les grandes fêtes de l’Eglise. Ces jours-là, il était fier de sa paroisse, et écoutait de bon cœur les compliments que lui en faisaient les confrères.
D’ailleurs, il aimait tant ses paroissien ! Sa charité s’étendait à tous leurs besoins et s’attendrissait au spectacle de toutes leurs misères. Sous un aspect un peu rude, il cachait un excellent cœur. Les pauvres le connaissaient bien. Ils venaient à lui avec confiance, et certains d’être secourus. Parfois, ils demandaient à lui emprunter ; le Père comprenait le sens de ce mot : « On vient encore me taper », disait-il. Puis, il ouvrait sa cassette et prêtait à fonds perdus. Il donnait discrètement, et sa gauche ignorait les largesses de se droite.
Il était très obligeant pour les confrères, et, bien des fois, il accepta pour rendre service de prêcher ou de confesser chez eux.
Il aimait à recevoir leurs visites et leur offrait une cordiale hospitalité. Le service de Dieu et des âmes une fois rempli, il était tout entier à ses hâtes et leur donnait tout ce qu’il avait de meilleur. Un confrère de l’intérieur avait-il passé quelques jours à Saïgon sans venir le voir, il en était véritablement peiné, et, à l’occasion, il en faisait le reproche au coupable lui-même. C’était de la franchise, parfois aussi de la vivacité. Car il était vif par nature, et il dut combattre ce défaut toute sa vie. A la fin, il était devenu relativement très patient, par vertu. Aussi nul doute que, au cours de sa dernière maladie, il n’ait acquis beaucoup de mérites.
La mort en effet mit du temps à faire en lui son œuvre. En février 1910, une hémorragie avait mis les jours de M. Génibrel en danger. Au commencement de 1913, le même accident se reproduisit et affaiblit tellement le malade que, ne pouvant recouvrer ses forces à Saïgon, le docteur l’envoya, pour changer d’air, à Singapore et à Pinang. Il y passa trois mois, mais en revint avec la tuberculose pulmonaire. Malgré la gravité de son état, ses paroissiens fêtèrent son retour. Lui, d’ailleurs, ne se croyait pas frappé à mort. Il espérait vaincre son mal et vivre quelques années encore pour travailler à la gloire de Dieu et au salut des âmes. Il accepta volontiers que l’on fît plusieurs neuvaines pour demander sa guérison. Mais un mot du docteur vint lui enlever ses illusions. « Docteur, disait le Père, si seulement vous pouviez me débarrasser de ce feu que j’ai dans l’estomac, je serais guéri. — Si je le pouvais, répondit le docteur, je l’aurais fait depuis longtemps. » Ce mot fut une révélation : « Je suis donc incurable », en conclut le Père. Dès lors, il fit son acte de résignation et se prépara à mourir saintement.
Lentement consumé par la maladie, il laissa peu à peu la direction de la paroisse et les travaux du saint ministère à ses deux vicaires, mais il continua à dire la sainte messe jusqu’au 10 mai. Il avait mis ordre à ses affaires en temps opportun ; il ne lui restait plus, en bon serviteur, qu’à attendre la venue de son Maître. Le 16 mai, à la suite d’une petite hémorragie, il demanda l’extrême-onction. Il reçut le saint viatique autant de fois que son état le lui permit. Il passait son temps à égrener son chapelet, à murmurer des oraisons jaculatoires. Il s’appliquait visiblement à obéir au docteur et aux personnes qui le soignaient. Le 24 mai, il entra en une agonie douce et paisible et rendit son âme à Dieu, le lendemain, à 7 h. 1/2 du matin.
Ses funérailles furent magnifiques. Toutes les chrétientés de Saïgon et des environs y étaient représentées. La plupart de ses paroissiens y assistaient en habits de deuil : ils perdaient en lui un père si bon, si dévoué, si généreux ! Son corps repose au Tombeau d’Adran, non loin de celui de M. Lallement, qui, arrivé en mission avec lui, l’a précédé de quelques années dans la tombe. Espérons que le bon Dieu a déjà réuni leurs âmes au séjour éternel du repos, de la lumière et de la paix.
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Références
[1249] GÉNIBREL Jean-François (1851-1914)
Références biographiques
AME 1899 p. 86. 1914 p. 214. CR 1875 p. 55. 1893 p. 201. 1895 p. 374. 1899 p. 209. 1905 p. 166. 1908 p. 390. 1910 p. 185. 1912 p. 209. 1914 p. 93. 182. 1919 p. 193. BME 1956 p. 183. 1957 p. 129. 136. 137. 217. 218.
Août 1994
Bibliographie:
GÉNIBREL Jean François (1851-1914)
Vocabulaire annamite-français / J. F. M. Génibrel. - Saigon : Impr. de la Mission à Tân Dinh, 1893. - XVI-624 p. ; 8°.
Dictionnaire annamite-français comprenant 1° : tous les caractères de langue annamite vulgaire, 2° : les caractères chinois nécessaires à létude, 3° : la flore et la faune de lIndochine / par J. M. F. [Génibrel], missionnaire apostolique. - 2e éd. refondue et très considérablement augmentée. - Saigon : Imprimerie de la Mission à Tân-Dinh, 1898. - 987 p. ; 28 cm. AMEP 1249.1
Vocabulaire français-annamite / par J.- F.- M. Génibrel, missionnaire apostolique. - Saigon : Impr. de la Mission à Tân-Dinh, 1898. - 451 p. ; 20 cm.
Truyên doi xua : moi in ra lân dâu hêt = Fables et légendes annamites encore inédites / publiées par les soins de F. Génibrel, miss. ap. - Saigon : Impr. de la Mission, 1899. - 110 p. ; 19 cm.
Petit dictionnaire annamite-français [réédition très augmentée du Vocabulaire Annamite-Français] / par J. M. F Génibrel, missionnaire apostolique. - 2e éd. - Saigon : Imprimerie de la Mission à Tân-Dinh, 1906. XXVIII-812 p. ; 19 cm.
Tây ngu thich nam tông uoc = Nouveau dictionnaire français-annamite / J. M. F. Génibrel et J. Masseron. - Saigon : Impr. de la Mission, 1916. - X-1212 p. ; 19 cm.
Tây ngu thich nam tông uoc = Nouveau dictionnaire français-annamite / J. M. F. Génibrel et J. Masseron. - Saigon : Impr. de la Mission, 1922. - XI- 1083 p. ; 19 cm.