Édouard GASNIER1833 - 1896
- Statut : Vicaire apostolique
- Identifiant : 0703
- Bibliographie : Consulter le catalogue
Identité
Naissance
Décès
Consécration épiscopale
Missions
- Pays :
- Inde
- Région missionnaire :
- 1858 - 1878 (Mysore)
- Pays :
- Malaisie - Singapour
- Région missionnaire :
- 1878 - 1896 (Malacca)
Biographie
[0703] Edouard GASNIER, évêque de Malacca, naît dans la paroisse de Saint-Maurice, à Angers (Maine-et-Loire), le 4 mai 1833 ; il fait ses études au collège de Combrée. Entré tonsuré au Séminaire des MEP le 4 janvier 1855, il est ordonné prêtre le 6 juin 1857.
Inde (1857-1894)
Il part le 19 juillet suivant pour le Mysore et y occupe les postes suivants : Mysore en 1858, Ganjam en 1866, Blackpally à Bangalore en 1867, Settihally en 1872. En 1873, il devint chapelain militaire et curé de Saint-Patrick à Bangalore.
C'est là que vient le trouver les brefs du 28 mars 1878, le nommant évêque d'Eucarpie et vicaire apostolique de la presqu'île de Malacca. Sacré le 2 juin suivant dans l'église de Saint-Patrick, il part pour sa nouvelle mission qui, à cette époque, d'après les statistiques officielles, comptait : 15 missionnaires, 2 prêtres indigènes, 25 catéchistes, 6 671 chrétiens et 1 429 élèves dans 26 écoles.
Sous son administration vigoureuse, 15 nouvelles résidences sont créées, beaucoup d'églises ou de chapelles s'élèvent, le nombre des catholiques est plus que doublé, l'enseignement chrétien prend une grande extension. Le gouvernement anglais appelle dans les hôpitaux de Singapour et de Pinang les religieuses de Saint-Maur, qui d'ailleurs n'y restent pas. Guéri contre toute attente d'une maladie qui l'a conduit aux portes du tombeau, il élevé à Singapour, en reconnaissance, un sanctuaire à la Sainte Vierge
Par une lettre du 3 août 1887, la Propagande autorise officiellement le nom de Malacca ou de Presqu'île de Malacca, par lequel on désignait ordinairement la mission, au lieu du nom de Siam occidental que lui avait donné le bref d'érection du vicariat apostolique, en date du 10 septembre 1841.
Le 10 août 1888, par les Lettres apostoliques « In Indo sinensibus » (Leonis XIII Acta, viii, p. 288), son vicariat apostolique est érigé en diocèse, et lui-même nommé évêque de Malacca, avec faculté de résider à Singapour.
A partir de 1894, ses forces déclinent ; il succombe le 8 avril 1896 à Singapour; il est enterré dans la cathédrale.
La statistique du diocèse, au moment de la mort de l'évêque, démontre les progrès accomplis sous son administration : 32 missionnaires, 41 catéchistes, 41 églises ou chapelles, 57 écoles comprenant 3 345 élèves, 17 796 catholiques. Cette même année le chiffre des baptêmes de païens s'élève à 2 110.
Nécrologie
MGR GASNIER
ÉVÊQUE DE MALACCA
Né le 4 mai 1833.
Parti le 19 juillet 1857.
Mort le 8 avril 1896.
N’ayant pas reçu de Singapore la notice nécrologique qu’on nous avait annoncée, nous ne pouvons donner que des notes incomplètes sur la vie et la carrière apostolique de Monseigneur de Malacca. Nous les empruntons surtout à la Semaine religieuse d’Angers et à des journaux anglais de Singapore.
« Né à Angers, sur la paroisse Saint-Maurice, le 4 mai 1833, Edouard Gasnier fut, tout d’abord, élève du pensionnat Saint-Julien ; puis, vers l’âge de 13 ans (en 1846), envoyé par ses parents au collège de Combrée. Il y trouva la continuation des leçons de piété qui lui avaient été données dans sa famille. Sous cette influence, il se distingua constamment parmi les élèves les plus laborieux et les plus vertueux. Sans briller au premier rang, le futur missionnaire fit de bonnes études. En quittant le collège, à la fin de 1852, Edouard Gasnier entra au grand séminaire d’Angers d’où, après deux années de travail, il se rendit à Paris, au Séminaire des Missions-Etrangères. Il fut un excellent aspirant, solidement pieux, animé du meilleur esprit, plein de dévouement, d’entrain et de gaîté. Le trait saillant de sa nature était le zèle et la promptitude au travail.
« Ordonné prêtre en 1857, il était envoyé, le 19 juillet, dans le Vicariat apostolique du Mayssour, pour y être l’un des collaborateurs du vénérable Mgr Charbonneaux, lui-même ancien élève et ancien professeur au collège de Combrée. Tout aussitôt, le nouveau mis-sionnaire, dont la forte santé favorisait le dévouement, fut chargé de fonctions multiples et d’intérêts importants. On devine ce que fut la besogne de ce travailleur, sous les ordres d’un évêque qui venait de fonder un petit et un grand séminaire pour la formation d’un clergé indigène, une imprimerie pour vulgariser toutes sortes d’ouvrages composés par les missionnaires en langue canara, en tamoul, en anglais, en télégou. Vers le même temps s’organisait, à Bangalore, un collège anglais sous la direction des frères de Saint-Joseph ; puis des écoles, des orphelinats, des refuges et une congrégation de religieuses indigènes sous la conduite de trente-cinq sœurs du Bon Pasteur d’Angers. Pour compléter ce tableau, il faudrait encore énumérer les catéchuménats, les hôpitaux établis sur divers points de la Mission, compter les nombreuses églises et chapelles érigées dans toutes les directions, en un mot dresser un état détaillé de ce grand vicariat du Mayssour où M. Gasnier a dépensé, sans mesure, les vingt plus belles années de sa vie. « Nos deux chers Combréens, écrivait en 1868 « Mgr Charbonneaux, nos deux chers Combréens, MM. Clémot et Gasnier, se portent bien et « travaillent avec ardeur... M. Gasnier est curé d’une grande paroisse Il parle bien trois « langues : le tamoul, le canara et l’anglais, nécessaires pour les ouailles de son troupeau. « Outre cela, il a un orphelinat de garçons indigènes et des écoles de Tamouls et d’Anglais « qu’il entretient et surveille. »
« En 1876, M. Gasnier dut venir, par l’ordre de ses supérieurs, chercher dans l’air natal quelque amélioration à sa santé ébranlée. Nous l’avons vu, dans ces jours, qui devaient être pour lui des jours de repos, s’employer constamment à des œuvres de zèle et continuer sans relâche, au milieu de nous, sa vie de missionnaire. Assez peu rétabli, il reprit, neuf mois après, le chemin du Mayssour. Mgr Charbonneaux, en 1869, dans le cours de l’un de ses voyages en France, avait recueilli le dernier soupir du père de son digne collaborateur. La mère de Mgr Gasnier mourut en 1878, peu de temps après le second départ de son fils.
« Admirable de douceur et de bonté évangélique, M. Gasnier l’était encore par un courage tout à la fois intrépide et calme, une de ces natures impassibles qu’aucun travail n’effraie, qu’aucun danger n’émeut. De tels hommes n’estiment la vie que pour ce qu’elle vaut dans le grand travail de l’Eglise et de la sanctification des âmes. »
M. Gasnier était, depuis plusieurs années, aumônier des troupes anglaises à Bangalore, quand le Souverain Pontife le nomma, le 28 mars 1878, évêque titulaire d’Eucarpie et Vicaire apostolique de la Presqu’île de Malacca. Il reçut la consécration épiscopale, le 2 juin suivant, dans l’église Saint-Patrick qui avait été témoin de son zèle de tous les instants envers les soldats catholiques. Bientôt après, il partit pour sa nouvelle Mission, qu’il devait administrer pendant dix-huit ans.
Il revint en France en 1881 ; il était plus fatigué que la première fois, et pourtant il revenait, non pas tant pour soigner sa santé que pour traiter des intérêts de sa Mission. Il voulait surtout trouver des maîtres chrétiens pour assurer l’instruction et l’éducation de l’enfance et de la jeunesse. Deux fois il se rendit à Londres dans ce but ; à Rome, le Souverain Pontife loua et approuva fortement ce projet. Cependant tous ces voyages achevèrent d’abattre sa santé. Cela ne l’empêcha pas de repartir le plus tôt possible pour son Vicariat, mais pendant la traversée, il tomba malade, si malade même qu’on fut obligé de le débarquer à Port-Saïd. Un moment on put craindre un dénouement fatal, lorsque subitement, à la suite d’une neuvaine à Notre-Dame de Lourdes, Sa Grandeur se trouva guérie. Rentré dans sa mission, Monseigneur, en actions de grâces pour un tel bienfait, voulut élever, à Singapore, un sanctuaire sous le vocable de Notre-Dame de Lourdes, et près de la statue de l’Immaculée Mère de Dieu, il plaça, en ex-voto, les béquilles dont il s’était servi pendant sa maladie.
En 1888, N. S. P. le Pape Léon XIII, par acte du 10 août, érigea le vicariat apostolique de Malacca en diocèse et nomma Mgr Gasnier évêque de Malacca, avec faculté de résider à Singapore. Un décret subséquent rattacha le nouvel évêché à la province ecclésiastique de Pondichéry. Voilà pourquoi nous voyons Mgr Gasnier prendre part, en mars 1894, au premier concile de cette province, lequel eut lieu à Ootacamund, sous la présidence de Son Excellence le Délégué apostolique, Mgr Zaleski.
Cependant, la santé du vénéré prélat déclinait sensiblement. Il dut bientôt quitter son diocèse pour se rendre à notre sanatorium de Hong-kong. Il en revint sans avoir éprouvé un soulagement bien sen¬sible. En passant à Saïgon, il consulta un médecin français qui constata une grave maladie du cœur et conseilla un voyage en France. Le 1er avril 1895, Mgr Gasnier débarquait à Marseille. Après un mois de repos en notre maison de Montbeton, il se rendit à Rome pour recevoir la bénédiction de Sa Sainteté et exposer l’état de son diocèse ; ensuite, il alla en Anjou, assister à la première communion d’une nièce et prendre part à une réunion des anciens élèves de Combrée ; bientôt après, il vint à Paris et y suivit un traitement spécial qui produisit quelque amélioration dans son état de santé. Monseigneur n’était pas guéri, mais ses forces avaient repris un peu de vigueur : il voulut, dès le mois de septembre, retourner dans sa mission, pour y travailler tant qu’il plairait à Dieu, disait-il, ou pour y mourir, si telle était sa sainte volonté.
Avant de relater les derniers jours du prélat, — car c’était bien pour mourir qu’il était rentré dans son diocèse, — nous voulons dire un mot des travaux et des résultats de ses dix-huit années d’épiscopat. Mgr Gasnier, nous l’avons vu, était missionnaire depuis vingt ans au Mayssour, quand il fut appelé à administrer la mission de Malacca. Il se donna immé-diatement et sans réserve aux devoirs de sa nouvelle position. Sans doute, bien pénibles durent être, pour un travailleur déjà fatigué, ces innombrables voyages apostoliques, à travers son vicariat ; ces courses à pied ou en voiture, en bateau, en charrette, le jour et la nuit ; ces visites à toutes sortes d’œuvres naissantes. Mais l’amour de Dieu et des âmes le soutenait, la vue du bien qui s’opérait sous ses yeux, stimulait son zèle. Sous son administration, la population catholique s’est élevée de 6.671 à 18.522 ; quinze nouvelles résidences ont été créées, dont dix pour les Chinois et cinq pour les Indiens ; bon nombre d’églises ou chapelles, écoles, etc., ont été construites, non seulement dans les nouveaux postes, mais encore dans les stations déjà anciennes. Sa Grandeur a obtenu du gouvernement anglais que les deux grands hôpitaux de Syngapore et de Pinang fussent confiés aux soins des religieuses de Saint-Maur, et que les missionnaires malades pussent y être soignés gratis. Enfin, grâce à son impulsion, la grande œuvre de l’enseignement chrétien a pris dans le diocèse un développement considérable.
Le vénéré prélat avait donc bien fait valoir les talents que Dieu lui avait donnés ; ce bon et fidèle serviteur pouvait en toute confiance se présenter devant le divin Maître. Ce moment suprême arriva pour lui, le 8 avril 1896, six mois après son retour au milieu de ses chré¬tiens.
Sa Grandeur, nous disent les lettres des missionnaires, ne se porta jamais bien depuis sa rentrée de France ; souvent même elle était obligée d’interrompre ses travaux pour prendre quelque repos. Mais dès qu’un mieux se faisait sentir, vite elle se remettait à la besogne. C’est ainsi qu’au commencement du carême de 1896, Mgr Gasnier voulut, malgré les observations qui lui furent faites, reprendre toutes les fonctions de son ministère ordinaire. Voici en résumé, quels furent ses derniers actes : le mercredi des Cendres, petit sermon, le soir ; vendredi et samedi suivants, confession des élèves du couvent ; dimanche, sermon à la grand’messe ; mardi, confession des religieuses ; mercredi, encore sermon ; vendredi et samedi, confessions ; dimanche 1er mars, sermon le matin et le soir... Ce fut la dernière fois que les fidèles entendirent la voix de leur premier pasteur. Le lendemain, il fut transporté à l’hôpital général, où il devait demeurer jusqu’à sa mort.
Le 6 mars, après une de ces crises de suffocation qui le faisaient tant souffrir et qui inspiraient tant d’inquiétude à son entourage, Monseigneur reçut les derniers sacrements des mains de Mgr Bourdon, entouré de tous les prêtres français de Singapore. Pendant toute sa maladie, la piété vive et la foi si grande du vénéré patient se manifestèrent par de ferventes aspirations. Une de ses prières favorites était : Dominus pars hœreditatis meœ et calicis mei ; tu es qui restitues hœreditatem meam mihi. Il l’avait répétée tous les jours de sa vie, il la répéta à son dernier moment.
Le vendredi saint, 3 avril, Monseigneur souffrit plus que d’habitude, puis son état demeura stationnaire jusqu’au mercredi 8. Le matin de ce jour-là, Mgr Bourdon ayant dit, à son retour de l’hôpital, que la situation semblait s’être beaucoup aggravée, MM. Délouette et Vignol se rendirent immédiatement au chevet du malade. Il était environ 9 heures et demie. En les voyant arriver, Monseigneur leur demanda de réciter les prières des agonisants. Peu après, lorsque son vicaire général achevait de lui donner une suprême absolution, il exhala son dernier soupir ; il était 10 heures un quart. La nouvelle de sa mort répandit une véritable tristesse dans la ville, et bientôt les visiteurs affluèrent à l’hôpital général pour saluer la dépouille mortelle de l’évêque.
Vers 5 heures et demie, le corps, déposé dans un cercueil et placé sur un corbillard, fut transporté à l’évêché. Les chrétiens de toutes les paroisses de Singapore s’étaient à cet effet réunis en procession, ayant à leur tête Mgr Bourdon, les missionnaires français, les prêtres desservant l’église portugaise, les Frères des écoles et les Religieuses du Saint-Enfant Jésus. A la porte de la résidence épiscopale, une foule considérable et recueillie, attendait ; le cercueil fut exposé dans une chambre convertie en chapelle ardente, et les visites ne discontinuèrent plus.
Le 9, à 8 heures du matin, M. Délouette, vicaire général, célébra la sainte messe devant le corps qui reposait dans le cercueil ouvert, revêtu des ornements pontificaux, mitre en tête. Le saint sacrifice achevé, toutes les personnes présentes furent admises à baiser l’anneau du prélat défunt. Le cercueil devait être fermé à 10 heures ; mais, à cause de l’affluence des visiteurs, il ne put l’être qu’à 3 heures de l’après-midi.
La cérémonie des funérailles eut lieu le vendredi 10. Un peu avant 7 heures, le cortège funèbre quitta l’évêché et gagna la cathédrale qui était tendue de noir à l’intérieur. Le cercueil fut placé sous un catafalque imposant qui avait été dressé devant le maître-autel. Quand Son Exc. le Gouverneur, accompagné de tout le corps consulaire et des principaux habitants de la colonie, fut arrivé, Mgr Bourdon célébra la messe ; c’est lui aussi qui donna la dernière absoute.
~~~~~~~
Références
[0703] GASNIER Edouard (1833-1896)
Notes bio-bibliographiques. - C.-R., 1878, pp. 40, 41 ; 1879, pp. 54, 69 ; 1880, p. 74 ; 1881, p. 86 ; 1882, p. 82 ; 1883, p. 127 ; 1884, p. 124 ; 1885, p. 108 ; 1886, p. 112 ; 1887, p. 159 ; 1888, pp. 155, 158 ; 1889, p. 189 ; 1890, p. 152 ; 1891, p. 185 ; 1892, p. 203 ; 1893, pp. 216, 227 ; 1894, p. 239 ; 1895, p. 249.
A. P. F., li, 1879, Tournée pastorale en Malaisie, p. 115 ; lx, 1888. Etat de la mission de Malaisie, p. 224 ; lxvi, 1894, p. 150 ; lxviii, 1896, p. 319. - A. S.-E., xxxi, 1880, p. 171 ; xlii, 1891, p. 300. - M. C., x, 1878, pp. 196, 366 ; xviii, 1886, Le centenaire de Pinang, p. 577 ; xx, 1888, p. 267 ; xxiii, 1891, Exposition du corps de saint François-Xavier à Goa, p. 97 ; xxiv, 1892, p. 595 ; xxv, 1893, pp. 196, 219 ; xxviii, 1896, p. 203. - A. M.-E., 1914, p. 128. - P. M. M., 1889-90, p. 4.
Sem. rel. Angers, 1872-73, Mort de Mgr Charbonnaux, p. 79 ; 1873-74, p. 33 ; 1878, Sa nomination de vicaire apostolique, p. 264 ; 1887, p. 1256 ; 1888, pp. 15, 884 ; 1889, Mandement lors de la prise de possession de son siège, p. 148 ; 1890, Sur la statistique de la Société des M.-E., p. 171 ; 1891, p. 662 ; 1893, pp. 236, 709, 739, 1056, 1155, 1165 ; 1894, pp. 790, 841 ; 1895, pp. 431, 459 ; 1896, Sa mort. Notice, pp. 462, 494, 661. - Œuv. Prop. Foi, Angers, comp.-rend., 1860, p. 12 ; 1865, p. 8 ; 1869, p. 15 ; 1875, p. 11 ; 1876, p. x ; 1877, p. 7 ; 1878-80, p. xii. - Bull. Assoc. Combrée, 1895, pp. 18, 31, 35 ; 1896, pp. 24, 26 ; 1903-04, pp. 89, 98 ; 1906-07, pp. 112 et suiv. - Rev. de l'Anjou, 1896, Sa mort, n° de mars-avril. - The Voice, 1912. Discours pour le jubilé de Mgr Bigandet, p. 233.
An. anecd. hist., Tab. alph. - Les miss. angev., p. 241. - Le culte de N.-D. de Lourd., p. 239. - Hist. miss. Inde, Tab. alph. - Les miss. cath. franç., ii, pp. 395, 398. - Arm. des Prél. franç., p. 257.
Collect., 5 juin 1889 : n° 1854 ; 17 août 1891 : nos 586, 894.
Notice nécrologique. - C.-R., 1896, p. 341.
Portrait. - M. C., xviii, 1886, p. 586. - Les miss. cath., p. 207. - Les miss. angev., p. 241.