Omer LÉTOURMY1884 - 1963
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 3060
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Biographie
[3060] LÉTOURMY Omer, Marie, Joseph, est né le 19 août 1884 à Blain, diocèse de Nantes (Loire Atl.). Il fit ses études primaires à l'école paroissiale de Plessé. En 1900, un oncle missionnaire au Tonkin revint au pays pour se soigner. Omer lui fit part de son désir d'être prêtre et missionnaire. Aussitôt il entra au Séminaire des vocations tardives à Montfort sur Meu, près de Rennes. Après trois années d'études accélérées, il entra au Séminaire des Missions Étrangères le 11 août 1904. Il fut ordonné prêtre le 24 septembre 1910 et partit pour le Yunnan le 10 novembre suivant.
Parvenu en janvier 1911 à Yunnanfu, le Père Létourmy est envoyé à Yo fong, à l'Est de la capitale, pour y apprendre le chinois et s'initier au ministère. Mais bientôt il fut victime de la dysenterie qui l'obligea à entrer à l'hôpital de Yunnanfu. Guéri, il fut envoyé alors dans le sud de la mission, d'abord à Ou-se-Tchong, puis à Siapasin. Pendant deux années, 1912-1914, il continua l'évangélisation de la tribu indigène des Long Jen".
Au début de 1914, il fut renvoyé dans l'Est de la mission, à Pechegay, où il résida jusqu'au départ en France de son voisin le Père Ringenback, très malade. Il vint alors s'installer à San-pe-fou, où il y avait un orphelinat dirigé par les religieuses chinoises. Il restera là jusqu'en 1928.
Le Père s'occupa de son mieux de cette région, mais sans pouvoir faire de nombreuses conversions. Il désirait bâtir une église, mais la somme nécessaire se volatilisa entre les mains de dépositaires sans scrupules, ce qui le découragea.
En raison de ses déboires, il revint à Kunming (Yunnanfu) pour demander à son évêque la permission d'aller finir ses jours à la Trappe. On le dirigea vers la Trappe de Phuoc Son au Vietnam. Il y resta quatre années, mais dans l'impossibilité de s'adapter, il revint au Yunnan en novembre 1932.
Il fut envoyé dans la région du Sud, près des frontières du Tonkin, à Fei-tzou-ké, région très difficile, habitée par des indigènes de race "Pou la", qui travaillaient comme fermiers pour des propriétaires chinois. Ceux-ci se montrèrent hostiles à l'apostolat du missionnaire considéré par eux comme un étranger, un espion.
En 1940 apparaît un autre danger : le banditisme. Le 25 janvier 1941, le Père est arrêté dans sa résidence, ligoté et emmené dans la montagne avec d'autres chrétiens, qui sont eux aussi torturés ou parfois fusillés. Il fut enfin libéré le 19 mars, et put retourner à l'évêché pour se soigner.
La guerre sino-japonaise se fit sentir jusqu'à la ville de Kunming, que les avions japonais se mirent à bombarder. Mgr Larregazin demanda aux Soeurs Carmélites de quitter Kunming et d'aller s'installer à Weitse. Leur exil ne fut pas trop long, elles purent revenir dans une propriété de la mission, près de Kunming. Le Père Létourmy, leur aumônier à Weitse, put alors reprendre du ministère paroissial, et alla s'installer à Tong Hai, sur les bords d'un magnifique lac. Au bout de deux ans, il demanda son changement. Il fut alors nommé à Pe-yen-tsin, une petite ville à huit étapes de Kunming. Il essaya de continuer le bon travail de son prédécesseur, le Père Tien, prêtre chinois, qui fit beaucoup de bien dans cette "ville du sel", où se trouvaient une vingtaine de puits en exploitation.
En 1948, après un séjour ininterrompu de 37 ans en mission, il retourna en France. On lui donna un traitement assez long et il obtint de l'évêque de Blois l'aumônerie d'une maison d'enfants arriérés, près de Romorantin.
En octobre 1949, il apprit que les communistes avançaient rapidement vers Canton, vers l'Ouest de la Chine. Il décida alors de retourner à Kunming avant qu'il ne soit trop tard. Il prit l'avion le 4 octobre, et de Kunming, il regagna son poste de Pe-yen-tsin. Il trouva sa résidence occupée par le mandarin. À l'arrivée des communistes, celui-ci abdiqua ses fonctions et laissa la résidence libre pour le Père. Mais ce ne fut pas pour longtemps. Le nouveau régime lui intima l'ordre de se rendre immédiatement à Kunming. La police l'installa alors à l'hôtel de Pekin. Puis ce fut le départ par avion pour Chungking, puis par bateau et par train pour gagner Hongkong. De là, on l'envoya à Saigon, où jusqu'en 1956 il fut l'aumônier du centre pénitencier de Poulo Condore, qui fut dissout après les accords de Genève.
Le Père rentra enfin en France. Pendant presque 4 ans, il assura l'aumônerie de la Maison hospitalière de Rouans. Un jour, il fit une chute de bicyclette et se brisa le col du fémur. Après son opération et un temps de convalescence, il devint aumônier de l'orphelinat d'Amoëre, à Savenay. C'est là qu'il mourut le 26 mai 1963, terrassé par une congestion cérébrale. Ses obsèques eurent lieu le mardi 28 mai 1963 à Plessé. Mgr Derouineau, ancien archevêque de Kunming, entouré d'une trentaine de prêtres, dont plusieurs Pères MEP : PP. Charrier, Le Baron, Roncin, donna l'absoute.
Le Père Létourmy fut un modèle de vie sacerdotale missionnaire, par sa vie surnaturelle d'union à Dieu, par sa pauvreté et son dévouement pour les âmes.
Nécrologie
LE PÈRE OMER LÉTOURMY
1884 - 1963
Missionnaire au Yunnan (Chine)
Enfance
Omer LÉTOURMY est né le 19 août 1884 à Blain, en Loire-Atlantique. Il est le cinquième d’une famille de huit enfants, dont la fille aînée mourra à 21 ans, et la cadette, religieuse de la Sagesse, sera emportée en 1918 à Toulouse par la « grippe espagnole », contractée au chevet des malades. En 1892, la famille est venue s’installer dans une ferme sise à 5 kilomètres du bourg de Plessé. Pendant que les aînés travaillent aux champs, Omer et son frère Henri vont ensemble à l’école paroissiale de Plessé, tenue par les Frères de Ploërmel. A la fin de leurs études primaires, Henri entre chez les Rédemptoristes, Omer reste à la maison.
Adolescence
En 1900, un oncle missionnaire au Tonkin, revient au pays pour se soigner. Le jeune Omer lui fait part de son désir de devenir prêtre et missionnaire. Aussitôt il se met à l’étude du latin et l’oncle le fait entrer au séminaire des vocations tardives de Montfort-sur-Meu, près de Rennes. Après trois années d’études accélérées, il est admis, en 1904, au séminaire de Philosophie des Missions Etrangères de Paris. Il est ordonné prêtre en septembre 1910 et, quelques semaines plus tard, chante sa première grand’messe dans la belle église de Plessé. Désigné. avec le P. BOIS, parmi les 42 partants de cette année, pour la mission du Yunnan, il s’embarque à Marseille le 10 novembre 1910 à destination de Haiphong.
Les débuts de l’apostolat
En janvier 1911 les deux jeunes missionnaires arrivent à Hanoï le jour même où un télégramme, venu du Yunnan, annonce le meurtre du P. MERIGOT. Parvenu à destination, le jeune P. LÉTOURMY passe quelques semaines à Yunnanfou, puis est envoyé à Yo-fong, à l’est de la capitale, pour y apprendre le chinois et s’initier au ministère sous la direction du P. TAPPONNIER. Il est bientôt victime de la dysenterie qui l’oblige à entrer à l’hôpital de Yunnanfou. Guéri, il est envoyé dans le sud de la Mission, d’abord à Ou-se-Tchong, puis à Siapasin, où il remplace le P. de GOROSTARZU, qui vient d’être nommé vicaire apostolique du Yunnan. Il y continue l’évangélisation de la tribu indigène des « Long Jen ». Il a comme voisin le P. BOUGAULT, qu’on a appelé, à juste titre, « l’apôtre des Miaos », parmi lesquels il comptera, à sa mort, cinq mille baptisés.
PECHEGAY
Au début de 1914, il est renvoyé dans l’est de la mission, à Pechegay, où il remplace le P. SEN qui vient d’être nommé professeur au petit séminaire. Un peu plus tard, son voisin, le P. RINGENBACH, très malade, devant rentrer en France, le P. LÉTOURMY, tout en continuant à administrer Pechegay, vient s’installer à San pe fou, station plus importante, nécessitant la présence d’un missionnaire, en raison de l’orphelinat dirigé par des religieuses chinoises. Il y restera jusqu’en 1928.
Pendant la première guerre mondiale il est mobilisé en 1915 à Hanoï, mais ne tarde pas à être réformé. En 1916 l’armée essaye de le récupérer et le convoque à Hongkong ; mais à nouveau il est déclaré inapte au service et renvoyé dans son poste.
Ce poste a enregistré de nombreuses conversions après la révolution chinoise de 1911 ; malheureusement, par suite du manque de missionnaires et surtout de catéchistes, beaucoup de ces catéchumènes sont retournés à leurs superstitions. Le Père s’occupe de son mieux de cette région, mais sans enregistrer de nombreuses conversions. Désirant bâtir une église, il réunit la somme nécessaire ; mais cet argent se volatilise entre les mains de dépositaires sans scrupules.
LA TRAPPE DE PHUOC-SON
Découragé de son insuccès et de ses déboires, il revient à Kunming (Yunnanfou) avec l’intention de demander à son évêque la permission d’aller finir ses jours à la Trappe. Il désirerait rejoindre la Trappe de Pékin ; mais le vicaire apostolique, dans l’espoir qu’il reviendra, le dirige sur la Trappe de Phuoc-Son au Viêtnam. Il y reste plus de quatre années ; mais il lui est difficile de s’y acclimater et, à la veille de prononcer ses vœux solennels, en novembre 1932, il juge plus sage de rentrer au Yunnan.
FEI DZOU KE
A ce moment Mgr de GOROSTARZU est en France où il doit subir une grave opération. Le P. DUCLOUX, administrateur de la Mission, envoie le P. LÉTOURMY dans la région du sud, à Fei-dzou-ke, village habité par des indigènes de race « Pou la », non loin du P. BOUGAULT, alors vicaire forain de cette immense région méridionale qui va jusqu’aux frontières du Tonkin.
L’apostolat, dans ces régions habités par des races très différentes les unes des autres, n’y est pas facile. Les catéchumènes et les néophytes sont d’humble condition et tributaires de propriétaires de race chinoise très hostiles à la conversion de leurs fermiers. Ces Chinois s’opposent à l’action, au travail d’évangélisation du missionnaire qui, pour eux, n’est qu’un étranger, un envahisseur, dont la prédication n’est qu’un moyen de s’infiltrer dans le pays. Pour ces païens, il n’y a pas et il ne peut y avoir d’autres raisons qui expliquent la présence en Chine des missionnaires européens.
En 1940 apparaît un autre danger, le banditisme ; il ne se passe pas de semaines sans que des fermiers ne soient pillés, rançonnés, emmenés comme otages et libérés ensuite au prix d’une forte somme d’argent. Le Père n’est pas exempt de leurs vexations ; le 25 janvier 1941, il est arrêté dans sa résidence, ligoté et emmené dans la montagne en compagnie de plusieurs chrétiens qui sont torturés ; deux d’entre eux sont même fusillés à bout portant sous les yeux du Père. Durant sa captivité, celui-ci a beaucoup à souffrir de la part de ses geôliers et ne peut donner de ses nouvelles. Enfin après de nombreuses démarches faites par la mission auprès du gouverneur de Kunming, il est libéré le 19 mars et arrive à l’évêché, où il se remet de ses émotions et refait sa santé.
WEITSE
Nous sommes alors en pleine guerre sino-japonaise et Kunming, en raison de sa situation comme porte ouverte vers les Indes, est soumise aux bombardements très fréquents des avions japonais ; ceux-ci s’acharnent contre les usines établies en dehors de la ville et contre le palais du gouverneur sis en plein centre de la ville, tout proche du couvent des carmélites. Mgr LARREGAIN, vicaire apostolique, donne alors l’ordre aux Sœurs d’aller s’installer à la campagne et le P. LÉTOURMY est désigné comme leur aumônier. Elles se replient à Weitse, où elles sont très à l’étroit. Au bout d’une année, comme les bombardements sont devenus moins nombreux et que la sécurité est plus grande, elles reviennent s’installer dans une propriété de la Mission, à proximité de Kunming. Alors le Père se retrouve sans travail.
TONG HAI
Pendant deux ans il va s’occuper de plusieurs petites chrétientés situées dans la région des lacs ; il établit sa résidence à Tong Hai, sur les bords d’un magnifique lac. Malheureusement les relations avec Kunming sont difficiles ; et il doit faire la route à pied pour venir se confesser ; pour le retour il prend parfois le train jusqu’à une certaine gare où il est sûr de rencontrer une famille très chrétienne. Il y passe la nuit, et le lendemain, la messe dite, il repart vers sa résidence encore éloignée de 45 kilomètres, chargé des quelques provisions qu’il a pu acheter à la ville. On raconte qu’une fois, les bagages étant trop lourds, son hôte loua un porteur ; celui-ci, alors qu’il gravissait une haute montagne, s’arrêta à mi-côte, refusant d’aller plus loin ; et le Père dut prendre les bagages sur son dos jusqu’au col. Malgré toutes les difficultés rencontrées en ce poste, le Père ne se plaint jamais. Cependant au bout de deux ans, à cause de ses infirmités et de l’incapacité grandissante qu’il éprouve à se déplacer, il demande son changement.
PE YEN TSIN
Il est alors désigné pour aller occuper le poste de Pe-yen-tsin, petite ville située à sept ou huit étapes de Kunming. Le Père chinois TEN y a fait beaucoup de bien ; mais, à sa mort, il n’a pas été remplacé immédiatement, et le travail est à reprendre par la base. Pe-yen-tsin est appelé la ville du sel, car une vingtaine de puits y sont en exploitation. Aussi les Pères de Bétharram, qui ont plusieurs stations à proximité, ont-ils l’occasion d’y venir assez souvent pour se ravitailler. Le Père est tout heureux de les accueillir et de passer quelques bons moments avec ces jeunes missionnaires pleins de dynamisme.
En 1948, il demande à rentrer en France pour se soigner. Après un séjour ininterrompu de 37 ans en mission, il a bien droit à son congé. En mai il arrive à Paris par avion ; il passe plusieurs mois à visiter ses frères et neveux. Mais comme son séjour risque de se prolonger en raison du traitement qu’on lui a prescrit de suivre, il obtient de l’évêque de Blois l’aumônerie d’une maison d’enfants arriérés que dirigent, près de Romorantin, des religieuses de la Providence.
En octobre 1949, Canton est occupé par les Rouges ; et ceux-ci commencent leur marche vers l’ouest. Le Père alors juge bon de ne plus retarder son départ, s’il veut rentrer dans sa mission. Le 4, il s’embarque à Marseille pour Haiphong, et là réussit à prendre le dernier avion d’Air-France pour Kunming. De là il rejoint immédiatement son poste de Pe-yen-tsin ; il y trouve sa résidence occupée par le mandarin ; celui-ci, brave homme, lui laisse deux pièces pour se loger. A l’arrivée des Rouges, le mandarin abdique ses fonctions et le Père reste seul dans sa résidence. L’église, elle, reste vide, car les chrétiens n’osent venir voir le Père. A plusieurs reprises il doit se rendre à la Police pour des interrogatoires. Enfin on lui intime l’ordre de se rendre à Kunming dans les plus brefs délais ; il fait la route en cinq jours, à cheval ou en charrette. Lorsqu’il arrive, la Police l’installe à l’hôtel de Pékin, où il rencontre quelques confrères chassés eux aussi de leur poste. Il quitte ensuite Kunming par avion pour Chung-King, et, de là, par bateau et par train, il gagne Hongkong.
POULO-CONDORE
Le P. LÉTOURMY, rentré depuis peu de France, ne tient pas à y retourner ; désirant mourir en Mission, il demande à rester en Extrême-Orient. Il est affecté à la mission de Saïgon et envoyé comme aumônier au centre pénitencier de Poulo Condore. Il s’y dévoue avec tout son esprit surnaturel au service des détenus et des condamnés à mort, non sans rencontrer de sérieuses difficultés. Après les accords de Genève, le centre est dissout et, en février 1956, le Père rentre en France.
Les dernières années
Revenu dans son pays natal, il se met à la disposition de son diocèse, dans un esprit de totale soumission et d’obéissance. Le vicaire général lui propose d’abord l’aumônerie de la maison hospitalière de Rouans. Il y est depuis presque quatre ans lorsqu’il fait une chute de bicyclette et se brise le col du fémur. Hospitalisé à Nantes, il est victime d’une erreur de diagnostic et désormais il ne pourra plus marcher que très péniblement. Après quelques semaines de convalescence à la maison de retraite du Bon Pasteur, il redemande du travail et obtient le poste d’aumônier à l’orphelinat de l’Amoëre, à Savenay. C’est là qu’il continue à se sanctifier. Au moment de la canonisation de saint Pierre-Julien Aymard, il se fait inscrire à l’œuvre des Pères Adorateurs. Chaque semaine, fidèle aux statuts de l’Association, il a la joie de passer deux heures en adoration devant le Saint Sacrement, deux heures précieuses et consolantes, dans le silence de la chapelle, en union avec Jésus-Hostie.
Le dimanche 26 mai 1963, le Père ne descend pas pour la messe de communauté ; une sœur monte à sa chambre et le trouve étendu au pied de son lit : il a été terrassé par une congestion cérébrale. La veille au soir, le curé doyen de Savenay est venu le confesser, comme il a l’habitude de le faire chaque semaine.
Les obsèques ont lieu à Plessé, le mardi 28 mai, en présence d’une très nombreuse assistance de parents et d’amis. Son frère Henri, le Rédemptoriste, retenu à Dreux par la maladie, n’a pu venir. Mgr PIHOUR, vicaire général, chante la messe. Mgr DEROUINEAU, archevêque de Kunming entouré d’une trentaine de prêtres, dont les PP. CHARRIER, LE BARON, RONCIN, donne l’absoute. Avant la conduite au cimetière, il fait l’éloge funèbre du P. LÉTOURMY.
Il a été un modèle de vie sacerdotale, un homme surnaturel, scrupuleusement attaché à son devoir et à ses exercices de piété. Il a vécu dans la pauvreté : en janvier 1963, il a fait envoyer en Mission ce qu’il avait en dépôt à la Procure de Paris, ne gardant que ce qu’il fallait pour subvenir aux frais de sa sépulture. Il a supporté patiemment ses épreuves, et même au milieu des infirmités de la vieillesse il a toujours su garder le sourire.
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Références
[3060] LÉTOURMY Omer (1884-1963)
Références bio-bibliographiques
AME 1911 p. 54. 1919-20 p. 418. 452. 523. 1923 p. 70 (art.). CR 1910 p. 300. 1912 p. 146. 1913 p. 145. 146. 1920 p. 33. 1923 p. 76. 1924 p. 55. 1927 p. 64. 1931 p. 104. 1933 p. 84. 85. 1935 p. 75. 1937 p. 79. 1939 p. 73. BME 1925 p. 431. 1928 p. 501. 1932 p. 616. 1933 p. 35. 618. 1934 p. 48. photo p. 357. 1937 p. 722. 1938 p. 255. 1939 p. 722. 1941(2?) p. 100. 260sq. 328. 1948 p. 175. 189. 313. 357. 1949 p. 638. 703. 774. 1951 p. 310. 1952 p. 191. 274. 348. 351. 574. 1954 p. 913. 1956 p. 72. 389. 560. EPI 1963 p. 728. 1964 p. 153. 161. EC1 N° 595. 678. 730.