Raymond ROSSIGNOL1928 - 2023
- Statut : Supérieur général
- Identifiant : 3955
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Identité
Naissance
Décès
Charges
Missions
- Pays :
- Inde
- Région missionnaire :
- 1954 - 1980 (Pondichéry)
Biographie
[3955] ROSSIGNOL Raymond est né le 24 juillet 1928 à Caylus (Tarn-et-Garonne).
Ordonné prêtre le 1er juin 1952, il part le 25 octobre 1954 pour la mission de Salem (Inde).
Il étudie la langue à Pondichéry, puis est nommé successivement vicaire à Nelitoppe (1955), professeur au séminaire Saint-Pierre de Bangalore (1956), recteur du séminaire de Bangalore (1960-1973), aumônier de Saint-Michael's Convent à Bangalore (1973-1974). Il dirige en parallèle la maison d’édition « Theological Publications in India » (1969-1980). Il est élu supérieur régional des MEP en Inde (1975).
Il est ensuite rappelé en France pour exercer les charges de vicaire général (1980-1992) puis de supérieur général des MEP (1992-1998). À la fin de son mandat, il est nommé responsable de l'accueil pour les prêtres étudiants asiatiques à Toulouse (A.P.E.A.).
Il décède à Lauris le 30 juin 2023.
Nécrologie
Raymond Rossignol est né le 24 juillet 1928 à Caylus, dans la partie nord-est du diocèse de Montauban qui se rattache au Rouergat. Il en avait hérité son accent rocailleux, qu’il assumait d’ailleurs fièrement, mais surtout cette solidité physique et mentale symbolisée par les chênes du Quercy. Ses parents, Gabriel Rossignol et Elodie Molinié étaient cultivateurs à Mordagne. C’est là qu’il fut baptisé le 5 août suivant. Il eut 3 frères et 2 sœurs, lui-même le 4ème dans la fratrie. Il eut donc beaucoup de nièces et de neveux auxquels il était très attaché et qui lui étaient aussi très attachés.
Il entra au Petit Séminaire de Montauban en 1938. En 1946, il se présenta au Bac mais, étonnamment pour un élève qui devait être doué, il échoua. L’échec fut peut-être dû à un manque de motivation. Il ne tenait pas à être professeur. Il commençait déjà à penser à la vie missionnaire et n’imaginait pas que l’engagement missionnaire puisse faire de lui un professeur. Il entra au Grand Séminaire de Montauban en1946. Il y reçut la « tonsure » le 20.12.1947 et le « lectorat » le 29.06.1948. Le 1er cycle terminé, il fit son service militaire à Saint Maixent (1948-1949). Au retour, il demanda à son évêque la permission d’entrer aux Missions Étrangères. L’évêque lui répondit de réfléchir encore un an. Il commença donc le 2d cycle à Montauban.
Le 2 août 1950, il était admis comme aspirant aux Missions Étrangères et entra au Séminaire des MEP le 18 septembre 1950. À l’époque, les deux années de philosophie se faisaient à Bièvres et les quatre années de théologie à Paris. Le nouvel « aspirant » entra donc directement à Paris pour ses deux dernières années de séminaire. Il reçut l’acolytat et le « sous-diaconat » à la fin de l’année scolaire les 3 et 29 juin 1951, et les ordinations diaconale et sacerdotale, le 22 décembre 1951 et 1 juin 1952. Toutes ces ordinations eurent lieu à Paris, célébrées par Mgr Lemaire, Supérieur Général des MEP. Selon l’usage alors traditionnel, les candidats de la même promotion étaient ordonnés ensemble à Paris par le Supérieur Général. Avec l’ordination sacerdotale, l’aspirant recevait sa destination. Pour Raymond, ce fut Salem, l’Inde. C’était la destination qu’il appréhendait. « J’étais plutôt catastrophé », dira-t-il plus tard. Il avait lu L’Inde devant l’orage, le livre de Tibor Mende qui prouvait très scientifiquement que l’Inde, nouvellement promue à l’indépendance, ne pouvait survivre, vouée à la famine, l’éclatement, la dictature ou le communisme.
Le Conseil Central envisageait déjà de le nommer au séminaire de Bangalore et on lui demanda d’aller se spécialiser en philosophie à Rome, à l’Université Grégorienne, logeant à la Procure des Missions Étrangères de Rome. Comme le Vatican et la France ne reconnaissaient pas leurs diplômes respectifs, l’échec au Bac ne faisait pas problème pour les universités romaines.
À la fin de juin 1952, nanti d’une Licence en Philosophie, il était prêt à partir. Mais, déjà l’Inde refusait d’accorder des visas missionnaires. Le rattachement de Pondichéry à l’Inde, fixé pour 1 novembre 1954, donna l’occasion de contourner la difficulté. En compagnie de Roland Lefèvre et de Jean Jacquet destinés à Ootacamund et à Mysore, Raymond, prit l’avion le matin du 27 octobre à Orly. Même par air, les voyages duraient plusieurs jours car le rayon d’action, même des Super Constellations, était limité. Les escales étaient nombreuses : Zurich, Milan, Rome, Le Caire, Basra, Dharan et on faisait escale la nuit. Via Bombay et Madras, ils arrivèrent à Pondichéry, encore territoire français, le 30 octobre, moins de 48 heures avant le rattachement. Raymond fut ainsi l’un des premiers MEP, sinon le premier, à rejoindre sa mission en Asie par avion.
À Pondichéry, logeant à l’évêché, nos trois jeunes missionnaires se mettent sans tarder à l’étude du tamoul. Après trois mois, Raymond est nommé vicaire à Nellitope, pour y apprendre le tamoul sous la direction du P. Descouvières, MEP. Mais la résidence à Pondichéry ne donnait pas le droit d’aller travailler en Inde. Tandis que ls deux autres missionnaires, après quelques mois, pouvaient rejoindre leur mission, Salem restait fermé et le resta jusque mars 1956, quand Raymond reçut sa nomination pour St Peter’s Seminary, Bangalore. Il fut donc décidé qu’il y serait au titre de missionnaire de Pondichéry et non pas de Salem.
Il arriva donc à Bangalore le 6 mars 1956, quelques jours avant le départ en vacances des séminaristes. La rentrée eut lieu au début de juin. On lui donna à enseigner non seulement la philosophie mais aussi l’hindouisme. C’était une façon d’immerger d’emblée le jeune professeur dans la culture indienne. On lui confia aussi le cours de Droit Canon. C’était un reste de l’époque où, faute de spécialistes, le professeur de séminaire était supposé être polyvalent. En tout cas, ce cours lui donna une compétence qui lui servirait plus tard. Au séminaire, il fit montre non seulement de qualités pédagogiques mais aussi de son sens pratique de paysan rouergat. Pour profiter de son vaste terrain, le séminaire avait un petit troupeau de vaches. Raymond en prit la responsabilité et le rendit rentable. Il acquit aussi très vite, dans les congrégations religieuses de Bangalore, la réputation de conseiller technique pour l’achat de voitures neuves ou d’occasion. Pour la petite histoire, il était aussi un spécialiste en cigares indiens, bien noirs, bien tordus, à odeur âcre pour les non-fumeurs et captivante pour les vrais fumeurs. Plus tard, quand il sera supérieur, les séminaristes sauront que, le matin, après le petit déjeuner, il ne fallait pas venir demander une permission avant qu’il n’ait allumé et commencé à savourer son cigare.
Car, en avril 1960, alors qu’il n’a même pas encore 32 ans et qu’il est le benjamin du corps professoral, il est nommé supérieur du Séminaire. Il assuma la tâche sans complexe et sans orgueil, avec doigté et fermeté. Il se révélera être un supérieur remarquable qui sut se faire respecter et aimer.
Il fut un supérieur entreprenant. Le nombre de séminaristes passant de 80 à bientôt plus de 200, il construit un nouveau bâtiment qui deviendra le bâtiment principal. Une première aile fut ouverte en 1962. En 1966, le Nonce en Inde, Mgr Knox, vint bénir la nouvelle chapelle qui occupait le centre de l’ensemble. Elle était sobrement décorée par un chemin de croix et un Christ Ressuscité taillés dans le granit local par des tailleurs de pierre locaux sur des dessins préparés par Sr Geneviève SMMI, dans le style de l’art indien.
Il releva le niveau intellectuel du séminaire en amorçant le processus qui finalement transformera le séminaire en Faculté de théologie et Institut National de Droit Canon.
Surtout, dans la ligne de Vatican II, il prépara activement le transfert de la responsabilité du séminaire à l’église locale. Pour cela, il envoya à Paris des jeunes prêtres indiens pour se spécialiser dans les différentes disciplines. Le transfert aux évêques locaux ne fut donc pas simple démarche administrative. C’est un séminaire indianisé dans son corps professoral que les MEP remettront aux évêques de la Région en décembre 1968. Les évêques demandèrent d’ailleurs au P. Rossignol de continuer d’assumer le Rectorat du séminaire.
Sa compétence fut reconnue à l’échelon national. En 1969, la Conférence épiscopale de l’Inde chargea une Commissio Technica d’aider les séminaires de l’Inde à mettre en œuvre les orientations de Vatican II. Raymond fut nommé membre de cette Commission et la Commission l’élit comme président. Cette nomination entraina un développement de son influence à travers les séminaires de l’Inde et du Sri Lanka. Elle fonctionna si bien que le Nonce lui demanda d’étendre son rôle au Myanmar. Raymond fut donc l’un des premiers à représenter l’Église au Myanmar quand celui-ci commença à entrouvrir la porte aux étrangers.
Une des activités de la Commissio Technica, d’ailleurs à l’initiative de Raymond, fut de créer une maison d’édition, Theological Publications of India (TPI), pour reproduire à bas prix des ouvrages de base pour la formation des prêtres et religieuses et publier des travaux de théologie indienne. Raymond en fut nommé directeur et il ajouta cette charge à un agenda déjà chargé. Il garda cette charge tant qu’il fut en Inde jusque 1980. Il avait lancé cette maison d’édition avec un capital de 5000 roupies. « Avec un capital aussi maigre, votre projet est voué à l’échec », lui avait prédit le Cardinal Valerian Gracias de Bombay, président de la Conférence Épiscopale de l’Inde. Le fondateur et directeur de TPI en fit un succès, même financier. Il obtint la confiance de Geoffrey Chapman, un grand éditeur catholique anglais avec qui il développa une amitié profonde. Ce contact permit à TPI d’entrer dans les réseaux de l’édition anglaise et américaine. Il établit ainsi une base solide sur laquelle TPI continue à fonctionner vigoureusement.
En 1973, à force d’insistance, sa démission de Supérieur de Séminaire fut acceptée par le Conseil directeur des évêques et le premier Supérieur indien lui succéda, le P. Aruldas James, qui serait bientôt nommé évêque d’Ootacamund. Pendant un an, il se retira dans un couvent des Sœurs du Bon Pasteur de Bangalore qui s’occupaient de femmes abandonnées.
Il ne resta pas longtemps à ce poste car bientôt il fut élu comme Délégué de l’Inde à l’Assemblée Générale de 1974. À la fin de cette Assemblée, le P. Pierre Martin, Supérieur Régional du groupe de l’Inde, annonça qu’il donnait sa démission et qu’il se retirait en France. Ce fut Raymond Rossignol qui fut élu comme son successeur. Il exerça cette charge à la grande satisfaction de tous. La Région de l’Inde comptait encore une cinquantaine de confrères. Il les visita ce qui impliquait de longs voyages, d’Adoni et Yemiganur en Andhra au Nord, à Mulli, dans la jungle à la frontière du Kérala au Sud, et de Pondichéry à l’Est, à Mysore et au-delà, à l’Ouest, sur des routes de qualité très variable. Mais, chauffeur émérite, il s’en tira sans peine et même, je crois avec plaisir. À ma connaissance, il n’eut qu’un seul accident sérieux et, encore il n’en était pas responsable. Il emmenait le nonce apostolique de Delhi à Patna pour un Congrès. Le nonce eut la fantaisie de vouloir prendre le volant et, en route, ils renversèrent une vache, ce qui est très grave en Inde. Je ne sais pas comment l’affaire fut réglée. Le Secrétaire de la Nonciature dut faire prévaloir les privilèges diplomatiques. Cet incident montre au moins que le Supérieur Régional MEP avait ses entrées familières dans les plus hautes sphères ecclésiastiques de l’Inde.
Il fut réélu plusieurs fois comme Régional jusqu’à l’Assemblée Générale de 1980, où il fut élu premier conseiller et Vicaire Général de la Société MEP. Avec le P. Jean-Paul Bayzelon, Supérieur Général, et les autres membres du Conseil, ils formèrent une équipe soudée et efficace. Ils eurent en particulier le mérite de détecter l’escroquerie dont les Missions Étrangères étaient les victimes de Mme Boutboul depuis près de 20 ans. À cette occasion, les PP Bayzelon et Rossignol eurent la corvée pénible d’affronter la Presse. Celle-ci s’était lancée à cœur joie dans le complotisme. Les MEP étaient présentées comme l’agence souterraine du Vatican et les Procures MEP était les bras de la pieuvre romaine visant à étouffer le monde. Ce n’était pas facile de démonter ce tableau alléchant et de présenter les MEP comme de simples victimes naïves d’une escroquerie.
À l’Assemblée de 1992 Raymond Rossignol fut élu sans surprise Supérieur Général. Comme Supérieur il montra de la créativité, par exemple, en encourageant l’envoi de prêtres Fidei Donum originaires de nos pays de mission et en les recevant aux MEP. Il organisa aussi des pèlerinages en Terre Sainte pour les missionnaires. A l’inverse, il lança des « pèlerinages » en Inde où il fit profiter les participants de sa connaissance de l’Inde et de ses contacts avec des milieux indiens variés. En particulier, par deux fois, ce « pèlerinage » emmena des professeurs des Facultés de Théologie de Paris et de Toulouse rencontrer leurs homologues des Facultés de Bangalore, Pune, du Kerala et du Centre National Biblique, Catéchétique et Liturgique de Bangalore. Le P. Rossignol était appelé aussi à donner des cours et de conférences dans des séminaires, à Toulouse, Angers, Nantes, Bordeaux. En avril 1994, il fut invité à parler à l’Assemblée des Évêques de France sur « Solidarité et vie de l’Église ».
Rome fit appel à sa compétence. De 1996 à 1999, il fut membre de la Congrégation pour l’Évangélisation des Peuples. Cette Congrégation, forte de 67 membres, était composée presque exclusivement de cardinaux et d’évêques. Elle ne comptait que 4 Supérieurs Généraux dont le Supérieur général MEP. En 1998, du 18 avril au 14 mai, il fut invité comme membre du Synode sur l’Asie au titre de représentant des Supérieurs Généraux des Religieux et des Sociétés de Vie Apostolique. Il y joua un rôle important comme membre de la Commission du Message au sein de laquelle, il fut désigné comme Rédacteur du Message final, en compagnie d’un évêque pakistanais. Ce fut ce texte qui, discuté et amendé, fut massivement approuvé par le Synode et qui servit de base à Jean-Paul II pour son Exhortation Apostolique Ecclesia in Asia.
À l’Assemblée Générale de 1998, il estima que le temps était venu de se retirer. Mais il continua à servir la Société MEP en prenant la charge de responsable de l’accueil des prêtres étudiants à Toulouse de 1999 à 2004. Rome ne l’avait pas oublié et, en 1998-1999, il fut nommé Visiteur Apostolique pour les Séminaires et Facultés de l’Inde. Cela lui valut plusieurs retours en Inde au cours de ces deux années.
Enfin de 2004 à 2018, il prit charge de l’ensemble paroissial de Montpezat du Quercy, dans le diocèse de Montauban mais jouxtant le diocèse de Cahors. Il y trouva une belle Collégiale du 14ème siècle enrichie de tapisseries flamandes du 16ème, l’une et l’autre classées monument historique. Il y retrouva aussi le milieu du Quercy de ses origines. Comme tout curé en France actuellement, il avait la charge de 7 ou 8 paroisses environnantes dont l’une, Saint Julien de Pilou, avait la particularité d’avoir une très belle église, classée monument historique, mais d’être vide d’habitants, le hameau ayant été déserté par ses habitants à l’époque moderne. C’était donc une retraite très active d’autant plus qu’il continuait à recevoir des invitations à donner des conférences et des retraites. En même temps, de Montpezat, et jusqu’à 2010, il continua à aider le P. Péaut au service des Prêtres Asiatiques à Toulouse. De 2011 à 2013, sans renoncer à sa charge de curé, il assuma la direction de la maison de Montbeton.
En 2018, il avait atteint 90 ans. Il avait gardé toute sa vigueur mais il estima qu’l était temps de se retirer. Ce qu’il fit à la maison de Montbeton le 6.9.2018. La suppression de la maison de Montbeton en avril 2021 l’affecta profondément. Il refusa d’abord le transfert à Lauris. Les Missions Étrangères lui trouvèrent un petit pavillon attaché à une EHPAD de Montauban. Il y souffrit de solitude et, en juin 2022, il accepta de rejoindre Lauris. Mais ce fut un homme brisé qui arriva à Lauris. Sa santé se détériora rapidement et il décéda à l’hôpital d’Aix en Provence le 30 juin 2023.
Il fut une forte personnalité, dotée d’un ensemble de qualités remarquables et en particulier de solidité et de fiabilité. C’était une intelligence lucide. Il percevait les situations, voyait ce qu’il fallait faire et savait le réaliser.
C’était surtout un missionnaire, dévoué à sa mission et particulièrement à l’Inde, de cœur et d’âme.
Laissons-lui la conclusion dans une réponse qu’il donnait à un interview, à l’occasion de son 90ème anniversaire : « Celui qui s’engage à suivre Jésus se lance dans une aventure avec tout ce que cela peut comporter comme risques, comme contrariétés mais aussi comme merveilleuses découvertes. Dans cette aventure, il y a un Maître qui connaît, qui dirige, et un disciple qui suit, parfois difficilement, mais qui est néanmoins rassuré, parce qu’il sait qu’il peut faire confiance au Maître et qu’il en fait l’expérience tous les jours ».
L. Legrand
Références
Bibliographie du P. Rossignol
[les articles sont classés par catégories, et ordre chronologique]
ARTICLES DE PÉRIODIQUES
Was the world created in time (1), Indian Ecclesiastical Studies, 1962, vol. 1, n°1, p. 24-42
Was the world created in time (2), Indian Ecclesiastical Studies, 1962, vol. 1, n°2, p. 139-143
L’Inde sera-t-elle chrétienne, Missions étrangères de Paris, 1963, n°130, p. 37-40
Sanatorium de Wellington, Echos de la rue du Bac, 1978, n°124, p. 335-336
Missionary societies at the cross-roads, Indian Theological Studies, 1979, vol. 16, n°3, p. 169-180
Inde : rapide coup d’œil, Echos de la rue du Bac, 1979, n°128, p. 105-110
Vatican II and the missionary responsibility of the particular Church, Indian Theological Studies, 1980, vol. 17, n°1, p. 34-46
Un pionnier : le père Jules Monchanin (1895-1957) : la rencontre de l’hindouisme et du christianisme, Echos de la rue du Bac, 1983, n°178, p. 655-660
Célébration des obsèques du père Henri Prouvost : homélie du 28 octobre 1983, Echos de la rue du Bac, 1984, n°180, p. 24-27
Le Congrès missionnaire national de Lisieux (28-30 avril 1984), Echos de la rue du Bac, 1984, n°186, p. 219-224
Inde : l’après Indira Gandhi, Echange France-Asie, 1985, dossier n°3, p. 1-16
Corée-France : rencontre de deux Eglises, Echos de la rue du Bac, 1985, n°195, p. 133-142
Pour une meilleure participation des instituts missionnaires au dynamisme missionnaire de l’Eglise de France, Echos de la rue du Bac, 1985, n°200, p. 291-295
Les instituts missionnaires et la France, Spiritus, 1986, n°104, p. 311-324
L’Eglise en Inde, Echange France-Asie, 1986, dossier n°1, 23 p.
Le centième anniversaire de la fondation de la Maison Saint-Raphaël, Echos de la rue du Bac, 1986, n°209, p. 248-250
L’église en Inde, Mission de l’Eglise, 1987, n°78, p. 4-16
Bienvenue dans la communauté des croyants, Spiritus, 1988, n°110, p. 37-45
La liberté de religion est-elle menacée en Inde ? Spiritus, 1988, n°113, p. 414-422
Mission work is God’s work, Indian Theological Studies, 1989, vol. 26, n°3, p. 305-317
La liberté de religions est-elle menacée en Inde ? Echos de la rue du Bac, 1989, vol. 235, p. 24-32
Evangelization in an ecclesial act, Indian Theological Studies, 1990, vol. 27, n°3/4, p. 321-332
La vocation missionnaire, Echos de la rue du Bac, 1990, n°246, p. 33-42
Les responsables et les agents de la pastorale missionnaire, Mission de l’Eglise, 1991, n°91, p. 58-67
Une belle page de l’histoire des missions, Echos de la rue du Bac, 1991-1992, n°264, p. 300-306 ; 265, p. 8-12
Messe de clôture de l’Assemblée générale 1992, Echos de la rue du Bac, 1992, n°272, p. 234-235
Cérémonie de départ de P. Pierre Lam Minh pour Hong Kong le 6 octobre 1991, Echos de la rue du Bac, 1992, n°265, p. 25-26
Lettre commune n°148, Echos de la rue du Bac, 1992, n°274, p. 289-292
Missionnaires ‘ad extra’ ou missionnaires ‘ad gentes’, Spiritus, 1992, n°127, p. 211-221
Mgr Charles de Forbin-Janson et la Société des Missions étrangères de Paris, Annales de la Sainte-Enfance, 1993, n°596, p. [77-82]
Lettre commune n°149, Missions étrangères de Paris, 1993, n°275, p. 1-3
Multiples solidarités, Le journal de la paix, 1994, n°422, p. 33
Solidarité et vie de l’Eglise, Mission de l’Eglise, 1994, n°104 p. 41-50
Lettre commune n°150, Missions étrangères de Paris, 1994, n°285, p. 1-3
Solidarité et vie de l’Eglise, Missions étrangères de Paris, 1994, n°292, p. 225-235
The impact of the 1844 synod of Pondicherry-key-note address, Indian Theological Studies ,1995, vol. 32, p. 7-22
Lettre commune n°152, Missions étrangères de Paris, 1995, n°295, p. 1-4
Aujourd’hui, témoins de l’Evangile, Peuples du monde, 1996, n°295, p. 4-6
Lettre commune n°153, Missions étrangères de Paris, 1996, n°305, p. 1-5
L’importance du synode de Pondichéry de 1844, Missions étrangères de Paris, 1996, n°311, p. 218-224 ; 312, p. 251-256
Lettre commune n°154, Missions étrangères de Paris, 1997, n°315, p. 1-3
Regard sur l’histoire d’un institut missionnaire, Missions étrangères de Paris, 1997, n°320, p. 184-192 ; 321, p. 218-224
A la rencontre des grandes traditions religieuses, Spiritus, 1998, n°151, p. 183-191
Lettre commune n°157, Missions étrangères de Paris, 1998, n°325, p. 1-4
Le synode pour l’Asie, Missions étrangères de Paris, 1998, n°331, p. 211-216
Les sociétés de vie apostolique : leur dimension missionnaire, Missions Etrangères de Paris, 1999, n°342, p. 250-256
Les sociétés de vie apostolique : leur dimension missionnaire, Omnis terra, Rome, 1999, n°350, p. 95-100
La Société des Missions étrangères de Paris, Omnis terra, Rome, 2000, p. 152-161, 185-194
Les chrétiens en Inde, Eglises d’Asie, 2000, dossier n°2, 1-26
Des théologiens français en Inde, Missions étrangères de Paris, 2003, n°380, p. 216-222
Un nouveau Centre d’Etudes asiatiques (CEA), Missions étrangères de Paris, 2003, n°381, p. 255-256
La Société des Missions étrangères de Paris : la mission, école de spiritualité, Missions étrangères de Paris, 2003-2004, n°383, p. 289-295 ; 388, p. 129-136
Aux frontières de la mission, Croire aujourd’hui, 2004, n°169, p. 15-18
De nouveaux missionnaires pour l’Asie, Sedos, 2004, 4 p.
De nouveaux missionnaires pour l’Asie, Spiritus, 2004, n°176, p. 356-363
Des chrétiens ‘aux frontières de la mission’, Missions étrangères de Paris, 2004, n°390, p. 198-203
L’Inde et le fait chrétien : fresque historique, La Documentation catholique, Paris, 2006, n°2361, p. 639-645
Le communautarisme religieux, Le Journal de la paix, 2006, n°492, p. 33-40
L’Eglise en Corée, Christ source de vie, 2007, n°449, p. 28-30
Le communautarisme religieux en Inde, Voies de l'Orient, 2008, n°109 p. 16-21
La formation du clergé indigène, priorité des Missions Etrangères, Histoire & Missions chrétiennes, 2008, n°7, p. 9-21
Le pluralisme religieux en Inde, Le journal de la paix, 2011, n°511, p. 121-122
Arunachal Pradesh, naissance d’une Eglise, Missions étrangères de Paris, 2013, n°481, p. 56-64
Le fait chrétien en Inde, une fresque historique, La Croix, 2013, 16 avr., 8 p.
Ce que j’ai appris au contact des missionnaires, Spiritus, 2016, n°224, p. 318-326
CONTRIBUTIONS À DES OUVRAGES COLLECTIFS ET COLLOQUES
Solidarité avec les églises d’Asie, in Solidarité / Assemblée plénière des évêques de France, Centurion, 1994, p. 85-99
The Paris Foreign Mission Society : musing over the history of a missionary institute, in Heralds of the gospel in Asia / Sebastian Karotemprel, Shillong, 1998, p. 17-36
Lead us Fr Krick, show us the way Fr Bourry, In the service of mission : studies in honour of Archbishop Thomas Menamparampil, Shillong, 2006, p. 296-305
Spiritualité des Missions étrangères, in Les Missions étrangères : trois siècles et demi d’histoire et d’aventure en Asie, Perrin, 2008, p. 262-277
Les Missions étrangères après Redemptoris missio, in Les Missions étrangères : trois siècles et demi d’histoire et d’aventure en Asie, Perrin, 2008, p. 388-395
Saint Peter’s seminary and Vatican II reminiscences (1960-1973), in Missions étrangères de Paris (1658-2008) : the flame that was lit, Bangalore, 2009, p. 44-47
RECENSIONS D’OUVRAGES
[Recension de] Parvum Catholic philosophi enchiridion by P. Fr. Lamberto Matre Dei, Indian Ecclesiastical Studies, 1963, vol. 2, n°1, p. 80
[Recension de] La preuve de l’absolu chez Bradley par de J. de Marneffe Indian Ecclesiastical Studies, 1964, vol. 3, n°4, p. 325-326
[Recension de] L’Inde à la rencontre du Seigneur de D.S. Amalorpavadass, Epiphanie, 1965, n°25, p. 437-448
[Recension de] La formation des prêtres par A. Laplante, Indian Ecclesiastical Studies, 1970, vol. 9, n°3, p. 194-195
[Recension de] La reconnaissance ou qu’est-ce que la foi ? par Jean-Claude Barreau, Indian Ecclesiastical Studies, 1970, vol. 9, n°3, p. 196-197
[Recension de] Organized religion according to D. S. Radhakrishnan, Indian Ecclesiastical Studies, 1973, vol. 12, n°3, p. 215-216
[Recension de] Visage nouveau de la femme missionnaire, 43e semaine missionnaire de Louvain, Indian Ecclesiastical Studies, 1974, vol. 13, n°4, p. 307-308
[Recension de] Statistical yearbook of the Church, Indian Theological Studies, 1979, vol. 16, n°3, p. 233-234
[Recension de] Deux athlètes de la foi, Théophane et Thérèse par Gabriel Emmonet, Echos de la rue du Bac, 1988, n°229, p. 185-186
[Recension de] Jésus-Christ à la rencontre des religions par le P. Jacques Dupuis, Echos de la rue du Bac, 1990, n°254, p. 313-321
Bibliographie réalisée par Annie Salavert en novembre 2019