Jean-François DARRAS1835 - 1916
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 0754
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Identité
Naissance
Décès
Missions
- Pays :
- Inde
- Région missionnaire :
- 1860 - 1916 (Pondichéry)
Biographie
[0754] DARRAS Jean-François naît le 10 mars 1835 à Capelle dans le département du Nord. Il étudie aux Petit et Grand séminaires de Cambrai, puis entre aux Missions Étrangères en septembre 1857. Ordonné prêtre le 18 juin 1859, il part le 16 août suivant pour Pondichéry où il reste douze ans.
Professeur au Grand séminaire, il collabore avec d’autres missionnaires à la formation des religieuses indiennes appartenant à des congrégations nouvellement fondées. Se mettant aussi au service de la cathédrale, il s'occupe du quartier des Intouchables de Kurusukuppam. Il développe également le tiers-ordre de saint François. Enfin, de 1869 à 1871, il est curé de la cathédrale, s’attachant à promouvoir les œuvres paroissiales.
Quarante ans d’apostolat fructueux dans la même paroisse
En 1891, il a la charge de l'un des très grands centres de la mission, Attipakam (1). Vouant une dévotion toute particulière à Notre Dame de Lourdes, il lui confie son apostolat. Au cours de la famine de 1876-1878, des foules immenses de misérables se rallient au Christ. Avec ses confrères français et indiens, il fait preuve envers eux d’un tel dévouement qu’il sert de modèle aux jeunes générations de prêtres.
Après quarante ans d'apostolat, de prières, de sacrifices, il se retire à Pondichéry à l'archevêché à l'âge de 78 ans. Il reprend le chemin de son cher Kurusukuppam, ce village ‘‘d'Intouchables’’. Il y passe ses journées à catéchiser.
Épuisé, il meurt à l'archevêché de Pondichéry le 30 octobre 1916.
1 – A l’ouest de Pondichéry.
Nécrologie
M. DARRAS
VICAIRE GÉNÉRAL A PONDICHÉRY
M. DARRAS, Jean-François, né à Capelle (Cambrai, Nord), le 16 mars 1835. Entré minoré au sémnaire des Missions-Etrangères le 24 septembre 1857. Prêtre le 18 juin 1859. Parti pour Pondichéry le 16 août 1859. Vicaire général ho¬noraire. Mort à Pondichéry le 30 octobre 1916.
Le 30 octobre 1916, à Pondichéry, M. Jean-François Darras, vicaire général, est mort dans la 82e année de son âge et la 53e de son apos¬tolat. Né à Capelle (Cambrai), le 16 mars 1835, il reçut l’ordination sacerdotale au séminaire des Missions-Etrangères en 1859, s’embarqua au mois d’août à Bordeaux, et aborda à Pondichéry le 11 décembre de la même année. Rien de saillant dans son voyage de quatre mois, sinon l’exactitude du capitaine, M. Gigot, à faire pratiquer l’abstinence à son bord. Mais le jeune prêtre, qui devait en pratiquer bien d’autres durant sa vie, trouva ce maigre régime tout naturel pour un futur mission¬naire.
Avant de résumer la carrière du grand apôtre que fut M. Darras, et pour mieux la faire comprendre, il faut décrire l’homme tel qu’il était, et le milieu tel qu’il le trouva à Pondichéry.
De taille moyenne, nerveux et d’une énergie qui ne faillit jamais, il avait une force de résistance extrême ; il vivait d’à peu près rien, faisait à jeun de longues chevauchées qu’il terminait, toujours à jeun, par des sermons et l’administration des sacrements, sans compter les longues séances à écouter les plaintes et les discussions des Indiens. Il passait les journées les plus chaudes, comme les plus humides, sous une mauvaise tente ou même sous un arbre. Il s’en allait sans parasol, sans chapeau, dédaignant le soleil de l’Inde si dangereux pour les Européens. Il semblait ignorer la nuit, durant laquelle il faisait ses plus longues étapes. Un pareil homme usait vite son cheval, presque aussi vite ses catéchistes et parfois même ses vicaires. Au moral, une foi ardente et une confiance illimitée dans la Providence étaient ses caractéristiques bien nettes. Ses succès, il les attribuait à Notre-Dame ; quant à ses revers, ils étaient, disait-il, permis par la Providence, à laquelle il fut toujours très humblement soumis. Il avait l’esprit de prière, à un degré très élevé, et, dans les circonstances difficiles que tout missionnaire rencontre, il passait ses nuits à genoux. C’est un de ses compagnons de travaux, Mgr Bottero, qui nous assure en avoir été le témoin. Avec son bréviaire, les saintes huiles et un livre de piété, le tout dans son fameux mouchoir à carreaux, il eût fait le tour du monde si son supérieur le lui avait ordonné. Par contre, il était tenace dans ses idées ; la souplesse de caractère qui lui manquait au début, l’adversité et la connaissance des hommes se chargeront de la lui donner, cependant jamais à un degré bien éminent.
Lors de son arrivée, Pondichéry possédait d’admirables ouvriers apostoliques. Mgr Bonnand, le modèle du prêtre et de l’évêque ; M. Dupuis, le fondateur de la Congrégation du Saint et Immaculé Cœur de Marie, M. Mousset, connu par son Dictionnaire tamoul-français, sa grande érudition, et sa dévotion envers les âmes du Purgatoire ; M. Ligeon, l’austère pénitent dont la seule présence chassait les démons du corps des possédés ou des maisons hantées ; M. Lehodey, curé de la ca¬thédrale de Pondichéry, considéré par ses confrères comme le type de la sainteté sacerdotale.
M. Darras tira profit des leçons et des exemples de ces missionnaires qu’il aimait et qu’il n’oublia jamais. Il était de leur lignée.
A peine débarqué, il fut nommé directeur au grand séminaire ; il y resta jusqu’en février 1869. Mais, dans ses moments libres, pour s’exercer à l’évangélisation, il organisa en paroisse le village paria de Crushcupam où il établit, avec un succès inespéré, le Tiers-Ordre de Saint- François.
En 1869, il quitta le séminaire et succéda à M. Lehodey comme curé de la cathédrale. Cette paroisse jetait alors un vif éclat et offrait un vaste champ à l’activité de M. Darras. Il n’y demeura cependant que deux ans et demi. Au mois d’août 1871, il partit pour Attipakam.
Le district d’Attipakam comptait de nombreuses et turbulentes chré¬tientés qu’un seul prêtre, fût-il zélé, avait peine à administrer : M. Dar¬ras y travailla beaucoup ; mais là n’était pas sa vraie place : « Ma vocation, disait-il parfois est de prêcher l’Evangile aux Gentils. » Et tels semblent bien avoir été, en effet, les desseins de la Providence, qui l’acheminait doucement , mais sûrement, vers la région entièrement païenne où il travailla pendant 46 ans.
En ce temps-là (1873) il apprit que M. Ligeon, naguère envoyé par Mgr Godelle, s’était installé près de la forêt de Nangatour, à 25 milles d’Attipakam, où il menait une vie d’ermite, habitant une hutte, et pas¬sant ses jours dans le jeûne et dans la prière. Attirés par une vertu aussi extraordinaire, les païens, en gens soupçonneux, voulurent se rendre compte qu’elle n’avait rien de fictif, et, au bout de quelques mois, satisfaits de leur examen , se convertirent en grand nombre. A cette nouvelle, M. Darras n’y tint plus. Il venait justement de mettre la main sur l’Histoire de Notre-Dame de Lourdes par M. H. Lasserre. Il se décida, comme il le dit lui-même, « à intéresser Notre-Dame de Lourdes à la conversion des païens de l’Inde ». Et il lui promit, s’il obtenait des conversions, de bâtir une chapelle en son honneur sur une montagne, La Sainte Vierge allait l’exaucer, et six ans plus tard la promesse sera accomplie.
Cette même année il baptisa 200 païens ; alors il se mit à la recherche d’une montagne pour y bâtir la chapelle promise à la sainte Vierge. Les montagnes ne manquent pas dans le pays. Mais, pour y bâtir, il faut la permission du gouvernement, et le gouvernement est paperassier et cela prend du temps. Sur ces entrefaites (1874) des troubles éclatèrent à Vettavalam. Ce gros bourg et les villages voisins sont administrés, en matières civiles, par un roitelet ou zémindar, ayant des agents et même un ministre à ses ordres, mais payant une redevance annuelle au gouvernement anglais, et soumis à la justice ordinaire. Sous ces conditions, le zémindar taxe à volonté terre, maisons, arbres. Son influence est donc considérable dans la contrée. Païen acharné, le zémindar de Vettavalam prit ombrage du catholicisme. Pour en arrêter les progrès, il déclara que les chrétiens avaient usurpé le terrain où était bâtie l’église, qu’ils l’occupaient sans titre de propriété, et, qu’à défaut de ce titre, terrain et église lui appartenaient. Et il se mit en devoir de prendre le terrain et de démolir l’église. La vérité est que les chrétiens avaient autrefois acheté cette terre. Mais le titre de vente était perdu. Quelques mois auparavant, un incendie allumé, dit-on, par des mains criminelles, avait détruit la maison du prêtre avec tout ce qu’elle contenait. Le titre devait s’y trouver. Le zémindar le pensa-t-il ?
A cette nouvelle, M. Darras accourut. Le cas était grave. Que faire ? Aller en justice ? Le zémindar était un homme influent, riche d’argent et pauvre de scrupules. Le procès était perdu d’avance sans l’indispensable titre. M. Darras s’adressa à saint Joseph, promettant de bâtir une chapelle en son nom sur la montagne voisine s’il lui accordait le succès. Cette promesse était à peine formulée qu’un chrétien, le fils de celui qui avait vendu le terrain en litige, trouva l’acte de vente. Le zémindar fut condamné. Il fit double appel devant le grand juge et devant la Haute Cour, mais fut partout débouté, condamné, obligé de payer frais et amende. Les chrétiens remportèrent une victoire com¬plète dont le retentissement fut énorme et la portée considérable. Le missionnaire se hâta de bâtir la chapelle promise à saint Joseph. Le 19 mars 1875, il en faisait l’inauguration, entouré de plusieurs prêtres et d’un grand nombre de fidèles. Cette chapelle est toujours debout. Saint Joseph y possède toujours sa statue. Et je sais qu’on ne l’y invoque pas en vain.
Dans ce procès important, M. Darras parut comme le protecteur de l’opprimé contre l’oppresseur ; les pauvres parias s’empressèrent de recourir à lui. Le jour même de l’ouverture de la chapelle de Saint¬-Joseph, trois païens de Kijcallour, à 10 milles au nord de Vettavalam, se prosternèrent à ses pieds, le suppliant de venir chez eux, et lui pro¬mettant une riche moisson d’âmes. Après bien des hésitations, il se rendit à leurs prières. L’appel de ces païens, sans être tout à fait désintéressé, était cependant raisonnable : il s’agissait d’une querelle que M. Darras eut vite fait de terminer. Quelques mois plus tard, il baptisa dans le pays 200 parias. Après Kijcallour, ce fut Pomagair qui lui en donna 230 ; d’autres familles isolées suivirent en grand nombre.
Cette même année 1875, il s’installa à Vellantangal, réuni pour un moment à Attipakam, et, tout en achevant l’église, il y établit son caté¬chuménat. C’est là que vinrent l’appeler 12 envoyés de Chetput, le 25 février 1876.
Chetput, à 14 milles au nord de Vellantangal, appartient au collectorat du North-Arcot, et par sa population relativement considérable, sa situation centrale, le marché qui s’y tient chaque semaine, est important au point de vue de la propagande chrétienne. Les protestants qui le savaient cherchaient le moyen de s’y établir. M. Darras le savait aussi. Il fit bon accueil aux envoyés, et quelques jours après, il était triomphalement reçu à Chetput par la population païenne. Le lendemain de son arrivée, plus de 300 personnes s’inscrivirent comme catéchumènes. Puis il en vint d’autres ; six mois plus tard, la nouvelle chrétienté dépassait 500 âmes, et les villages voisins commençaient à s’ébranler.
Les païens étaient littéralement entraînés par l’ardeur de sa foi, la vigueur de sa prédication, sa vie mortifiée, et sa bonté envers les néophytes qu’il soignait durant leurs maladies, nourrissait pendant leur catéchuménat, habillait au jour de leur baptême..
La chrétienté fondée, il fallait une église. Pour 60 francs l’apôtre trouva un magnifique terrain, et pour 30 il bâtit un hangar servant d’église, de presbytère, de catéchuménat. Et les païens d’affluer toujours, si bien que M. Darras ne put suffire à les instruire. Il multiplia le nombre des écoles et des catéchistes ; mais alors il fut débordé par les dépenses. C’est dans un état voisin de la misère que le trouva la grande famine qui ravagea l’Inde de 1875 à 1878, et y fit des centaines de milliers de victimes. Le gouvernement vint en aide aux malheureux ; mais trop souvent il fut obligé, pour distribuer les aumônes, de se servir des chefs des villages, dont beaucoup détournèrent les fonds qui leur étaient confiés. Il eut alors recours aux missionnaires. M. Darras fut prié de surveiller certaines de ces distributions, et même de les faire au nom du gouvernement. Il accepta. Et le voilà courant le pays, examinant les villages, secourant les affamés et les malades, plein d’une impartiale charité à l’égard de tous. Il fit une impression profonde sur les populations. Les catéchumènes affluèrent plus que jamais. En 1879, il comptait 17.000 néophytes, presque tous parias, répandus dans 200 villages. Son district avait été divisé : Attipakam possédait un mis-sionnaire depuis deux ans et demi, et Vettavalam un autre depuis deux ans. On déchargea M. Darras de Vellantangal en janvier 1878, de Polur en juillet, enfin de Gingee en janvier 1880. Pattiavaram, avec Arni, fut détaché de Chetput en décembre 1886, et Budamangalam beaucoup plus tard.
Sa tâche, quoique diminuée, restait immense. Elle se résume en ces mots : conversion des païens, instruction et formation des nouveaux chrétiens parias. Tâche ingrate et combien difficile !
Avec des qualités sérieuses, le paria a de non moins sérieux défauts : versatile de nature, il est souvent guidé par l’intérêt, rarement par le souci de la vérité. De plus, les nouveaux convertis sortent d’une religion qui a laissé sur eux une profonde empreinte, par la volupté qu’elle pratique, par les cérémonies et les fêtes qu’elle célèbre, et surtout par la terreur qu’inspirent les idoles. Les proches et les amis restés dans le paganisme s’efforcent de les y ramener, soit par une franche apostasie, soit par des mariages. Leurs maîtres, leurs chefs, leurs parents tournent en ridicule la religion dans laquelle ils sont « tombés ». Partout, ce ne sont que railleries. Dans ce pays, celui qui veut se convertir doit presque changer de nature. M. Darras eut de durs moments à passer ; ni les échecs, ni les peines ne le découragèrent. Il tint tête à tous les ennemis, aux plus implacables comme les brames, et aux plus perfides comme les protestants. Les villages recevaient, de temps à autre, la visite de catéchistes protestants bien mis, répandant des paroles mielleuses, essayant, la bible et la bourse à la main, de corrompre ses chrétiens. Chose étonnante, ils n’y réussirent pas ; et pourtant, Dieu sait si ces pauvres gens aiment l’argent ! Mais le pasteur veillait, et bien des fois Dieu vint à son secours, au besoin par des prodiges. Lisez ses Cinquante ans d’Apostolat dans les Indes (1), et vous aurez des faits.
Au milieu de tant de soucis, il n’oublia pas sa promesse à la Sainte Vierge de lui bâtir un temple sur une montagne. A deux milles de Chetput, se trouve un groupe de collines assez élevées, et sur le flanc de l’une d’elles était une grotte. Cette colline porte le nom de « Mon-tagne de Satan ». C’est elle que choisit M. Darras. Mais, quand il voulut y bâtir, les brames lui suscitèrent mille difficultés plus ou moins légales, que le gouvernement trancha en lui accordant libéralement toute la colline. La chapelle s’éleva en ce site admirable. Achevée en septembre 1879, elle fut bénite le 2 février suivant par Mgr Laouënan en¬touré de douze missionnaires, des élèves du séminaire, et d’une foule immense de catholiques. La splendeur de cette fête fut une révélation pour les païens.
Après la chapelle de la montagne, l’apôtre, que le P. Baulez, pour exprimer son enthousiaste admiration, appelait alors le Charlemagne du North-Arcot, voulut une grande église à Chetput même.
(1) Pondichéry, 1907.
Un jour, en 1883, il en jeta les fondations avec 100 francs pour toute fortune. Quelle foi avait cet homme pour commencer avec 100 francs, une pareille cathédrale ! Il la commença pourtant, la con¬tinua, et l’acheva le 30 mars 1895. Le 1er mai suivant, Mgr Gandy vint la bénir solennellement ; 24 prêtres l’assistaient, et 20.000 personnes étaient présentes.
Le temps des fêtes passé, M. Darras continuera à convertir et à catéchiser, à former sa jeune et nombreuse famille, soutenant les forts, relevant les faibles, jusqu’en 1913. Il avait alors 78 ans. Il fut rappelé à Pondichéry et chargé de sa première paroisse, Crushcupam, qui devait être aussi sa dernière. Je me trompe : il en eut encore une autre pendant un temps très court. En 1912 et 1913, les protestants avaient fait une active propagande dans son ancien district de Vettavalam. Si séduisantes avaient été leurs promesses, et si riches des biens du ciel et de la terre devaient être les disciples de Luther, que nombre de parias se laissèrent séduire. M. Darras y courut : sa présence, sa charité, ses paroles de pardon, ramenèrent les égarés et le calme dans le district.
Il rentra à Crushcupam, le corps défaillant, mais l’âme toujours vaillante. Il ne cessera de travailler que deux mois avant sa mort.
La mort ! que de fois, elle et lui s’étaient rencontrés en ce monde, elle détruisant, lui construisant ; ils étaient devenus des familiers. Il l’avait même, en bien des occasions, combattue et impunément bravée. Il ne la redoutait donc pas. Et pourquoi l’aurait-il redoutée, lui qui avait, pour l’amour de Dieu, baptisé ou préparé au baptême 35.000 infidèles, envoyé au ciel des milliers d’enfants et de moribonds, dépensé ses forces aux service des âmes jusqu’à l’extrême limite du possible ; lui dont les pénitences, les jeûnes, le renoncement de soi dépassent l’imagination. Un tel apôtre ne pouvait nourrir la crainte dans son cœur. Il devait mourir en brave et en saint. Et tel il mourut.
Mgr l’archevêque de Pondichéry célébra ses obsèques, entouré d’un grand nombre de prêtres et d’une foule énorme de chrétiens. Sa vie avait été une longue traînée de lumière, que son souvenir demeure parmi nous pour nous aider à suivre ses exemples.
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Références
[0754] DARRAS Jean (1835-1916)
Références bibliographiques Lourdes dans les Indes: montagne de Satan, Chetput, Indes orientales / par le R.P. J.F.M. Darras, de la Société des Missions Etrangères, missionnaire apostolique dans les Indes orientales. Paris lib. internationale catholique : Leipzig L.A. Kittler : Tournai : H. & L. Casterman 1890. - X-340 p. : phot. en front. ; 22 cm. Cinquante ans d’apostolat dans les Indes sous les auspices de Notre-Dame de Lourdes / par le R.P. J.-F.-M. Charras, missionnaire apostolique de la Société des Missions Etrangères. pondichéry : impr. de la Mission, 1907. - 488 p.; 20 cm. références biographiques Aller simple pour Pondichéry / Abbé André Deroo. Paris Tequi, 1978. - 225 p. : 12 p. de phot., 1 carte, phot. en couv. ; (Terre des Hommes) ISBN 2-85244-316-3. (vie du P. Darras)
Références biographiques. - AME 1896 p. 621, 1897 p. 766, 1898 p. 217, 1908 p. 56, 1913 p. 154, 1915-16 p. 196, 1917-18 p. 315-20, 1928 p. 213, 1935 p. 82 art. - CR 1894 p. 131-38-39, 1895 p. 123, 1886 p. 124, 1888 p. 173-75, 1890 p. 179, 1891 p. 211-12-14, 1893 p. 248, 1895 p. 292, 1896 p. 301-5, 409, 1898 p. 234, 1899 p. 159, 1902 p. 251-58, 356, 1903 p. 256, 1904 p. 252, 1905 p. 247-48, 1906 p. 233, 1908 p. 246-57, 1909 p. 227-28, 1910 p. 259, 350-51-72-73, 1912 p. 412, 1916 p. 262, (à vérifier 162,206) 1917 p. 134-70, 1919 p. 150, 1920 p. 213, 1922 p. 146, 1926 p. 149, 1927 p. 149, 1928 p. 150, 1930 p. 297, 311, 1933 p. 225, 1936 p. 202, 1938 p. 279-80, 1950 p. 126-60. - BME 1922 p. 457, 1930 p. 705, 1931 p. 540, 1934 p. 243, 1950 p. 359, 1951 p. 606, 1953 p. 407, 1954 p. 701, 1956 p. 487, 796.
Aller simple pour Pondichéry / Abbé André Deroo. Paris Tequi, 1978. - 225 p. : 12 p. de phot., 1 carte, phot. en couv. ; (Terre des Hommes) ISBN 2-85244-316-3.
(vie du P. Darras)
Références bibliographiques
Lourdes dans les Indes: montagne de Satan, Chetput, Indes orientales / par le R.P. J.F.M. Darras, de la Société des Missions Etrangères, missionnaire apostolique dans les Indes orientales. Paris lib. internationale catholique : Leipzig L.A. Kittler : Tournai : H. & L. Casterman 1890. - X-340 p. : phot. en front. ; 22 cm.
Cinquante ans dapostolat dans les Indes sous les auspices de Notre-Dame de Lourdes / par le R.P. J.-F.-M. Charras, missionnaire apostolique de la Société des Missions Etrangères. pondichéry : impr. de la Mission, 1907. - 488 p.; 20 cm.