Flamand HINARD1850 - 1917
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 1246
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Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Chine
- Région missionnaire :
- 1875 - 1890 (Shenyang [Moukden])
Biographie
Flamand, Victor, Fleur, Joseph HINARD naquit le 26 mai 1850, à Belval, diocèse de Coutances, département de la Manche. En octobre 1859, il entra en classe préparatoire, au Collège diocésain de Saint Lo, où, au cours de ses études, il obtint, chaque année, l'un ou l'autre des prix d'excellence. Puis, en 1870, il se dirigea vers le grand séminaire de Coutances, où, à la fin de ses études écclésiastiques, il fut ordonné prêtre le 29 juin 1874.
Le 4 juillet 1874, il entra au séminaire des Missions Etrangères, et après une année de probation, il reçut sa destination pour le vicariat apostolique de la Mandchourie, qu'il partit rejoindre le 30 juin 1875.
Mgr.Verrolles envoya M.Hinard à Yang-Koan, pour apprendre le chinois, et se former aux us et coutumes du pays. Un vieux chrétien fut son maitre de langue. Celui-ci fier de ses fonctions, et conscient de son devoir se montra exigeant vis à vis de son élève qui parvint ainsi à s'exprimer avec aisance et sûreté.
Au printemps de 1876, sous la direction de M.Charles Venault, M.Hinard fit l'administration de quelques chrétientés, puis en 1878, il fut nommé professeur au séminaire alors installé à Yang-Koan.et chargé de la direction de la maison. Dans les derniers jours de juillet 1879, la petite rivière qui coulait à quelques pas du séminaire gonfla subitement par suite de pluies torrentielles. Le 5 août 1879 au matin, les eaux ayant envahi les bâtiments, les élèves se réfugièrent sur la colline voisine, et ils virent leur maison disparaitre dans les flots. Ce matin là, M. Hinard se trouvait à la procure de Newchwang (Ing-Tse). Il loua alors une barque pour récupérer ses élèves. Sur l'ordre de son évêque, il ré-installa le séminaire à Chaling, dans les locaux quittés quelques années auparavant. Grâce à l'aide de cette communauté chrétienne, et de la mission, M.Hinard construisit un nouveau séminaire que les élèves occupèrent à l'automne de 1881.
En 1885, la santé de M.Hinard déclina notablement. Mgr.Dubail le retira du séminaire, lui donna M.Choulet comme successeur, et le nomma curé de Chaling. L'année suivante, le vicaire apostolique fit de lui son provicaire, en remplacement de M.Joseph Boyer, devenu coadjuteur et qui mourut le 8 mars 1887. En raison du décès du coadjuteur, et de la maladie de Mgr. Dubail, M.Hinard fut le supérieur réel de la mission. Il en fut aussi le supérieur officiel du 7 décembre 1887, date de la mort de Mgr.Dubail au mois de mars 1888, date de la nomination de Mgr.Louis Raguit. C'est alors que M.Hinard cessa ses fonctions de provicaire pour ne garder que la direction de la paroisse et du district de Chaling qui comptaient quelques 1200 chrétiens.
En 1888, l'inondation ravagea le sud de la Mandchourie et Chaling ne fut pas épargné. M.Hinard en rendit compte ainsi :.." L'inondation a été épouvantable à Chaling. Le village est à peu près détruit de fond en comble. Le séminaire a beaucoup souffert... J'ai dû louer une grande barque pour sauver les professeurs et les élèves. Dans le jardin, il ne reste plus un légume, et les provisions de bouche et de chauffage sont pourries....Les élèves du séminaire ont dû coucher plusieurs nuits dans l'église.." Mais malgré l'inondation et la famine, il sauva sa chrétienté et son district. En 1889, 226 nouveaux catéchumènes se firent inscrire; un village de 160 personnes se déclara chrétien; M. Hinard y ouvrit une école; il éleva un oratoire dans la ville de Leao-Yang, et acheta un terrain à Kio-kia-tsai, en vue d'y bâtir une chapelle. Mais peu après, Mgr. Guillon l'appela à la procure de la mission, et en fit son sécrétaire.
En 1890, la nomination de Mgr. Mutel comme vicaire apostolique de Corée nécessita le rappel en France d'un nouveau représentant des missions du Nord. Les vicaires apostoliques de ce groupe de missions choisirent M.Hinard qui quitta la Mandchourie en novembre 1890; le 11 janvier 1891, il fut reçu directeur au séminaire de Paris où il occupa les fonctions suivantes: du 4 juillet 1892 au 24 juin 1901, il fut secrétaire du Conseil, plusieurs fois réélu, et chargé du cours supplémentaire de morale et des archives. Du 24 juin 1901 au 1 juillet 1907, il enseigna le droit canonique, tout en travaillant aux archives et à la rédaction du compte-rendu annuel des travaux de la Société. Succédant à M. Fleury, il fut directeur de l'Oeuvre des Partants de1904 à juillet 1907.
Du 1 juillet 1907 à 1913, il résida au séminaire de Bièvres où il assura le cours de morale de première année, auquel il ajouta l'économat depuis le 27 juin 1910 jusqu'au 26 juin 1913. A cette époque, il revint à Paris, y professa le cours de morale de seconde et troisième année, et, de nouveau rédigea le compte-rendu annuel.
Dans toutes ses fonctions, M.Hinard se montra d'une grande bonté, faite de douceur, d'indulgence, et d'optimisme. Il envoya des secours aux missions dont il était le réprésentant. Il était fort apprécié dans plusieurs communautés religieuses dont il fut confesseur extraordinaire ou ordinaire.
Il décéda subitement le jeudi 15 mars 1917. Ce jour là, à midi, il était au milieu de ses confrères, gai comme à l'ordinaire. Le jeudi soir, il n'assista pas au salut, et ne parut pas au réfectoire. Un domestique, envoyé dans sa chambre, le trouva étendu auprès de son lit, la face contre terre, ne donnant plus signe de vie. M. Roulland lui donna les derniers sacrements.
Nécrologie
[1246] HINARD Flamand (1850-1917)
Notice nécrologique
Le Bulletin de l’Associarion amicale des anciens élèves du collège et institut libre de Saint-Lô a publié sur l’enfance et la jeunesse de notre cher et regretté P. Hinard les détails suivants (Février-mai 1917, p. 45.) : « En 1859, au mois d’octobre, un jeune élève d’aspect turbulent, aux mouvements brusques, au regard curieux et plein de vie, arrivait au collège diocésain. Il était né à Belval le 26 mai 1850 et se nommait Flamand Hinard. La discipline le gêna peu dès l’abord, car il parut s’en soucier médiocrement. Un camarade, qui est encore de ce monde, se souvient d’avoir entendu l’un des surveillants de réfectoire s’expliquant à lui-même, à mi-voix, les notes qu’il mettait sur le cahier de semaine, murmurer une fois entre ses dents quand arriva le nom de Flamand Hinard : « Je ne l’ai pas vu parler, mais il a dû parler. » La main sanctionnait l’observation, en crayonnant dans la colonne ad hoc une note hebdomadaire médiocre, un 3. Le propos fut naturellement redit à l’intéressé, et l’on devine s’il se défendit comme un beau et bon diable contre cette trop sommaire justice. Il ne niait pas sans doute qu’il eût parlé ; « mais puisqu’on ne l’avait pas vu !»
Flamand Hinard débuta sous M. Pelchat, en classe préparatoire. « Ah ! le bon temps que c’était ! » répétait-il plus tard. Son premier maître resta parmi ses meilleurs souvenirs.
L’écolier obtint, chaque année, au cours de ses études l’un ou l’autre des prix d’excellence. Il conquit en seconde le premier rang sur l’abbé Chauvin, tandis qu’il cédait la première place, en 1869, en rhétorique à son rival heureux.
Cette année-là marque une date dans la vie du collégien. Un changement visible à tous les regards s’opérait en lui. Il avait toujours traité sérieusement les choses saintes. Mais il devint plus foncièrement pieux ; et la régularité de sa conduite lui valut toutes les semaines la plus haute des récompenses : la mention honorable.
« Le grand séminaire de Coutances, où il entra en 1870, acheva l’œuvre de sa transfor-mation. Le jeune abbé montra partout une gravité sans affectation et une piété de bon aloi qui imposaient à ses camarades l’estime et la sympathie. « Heureuse la paroisse qui le recevrait comme vicaire ! » pensaient ses condisciples. Le nouveau prêtre avait d’autres vues.
« Dès la fin de son séminaire, en effet, il fut admis à la maison des Missions-Etrangères, rue du Bac, à Paris. Il devait s’y préparer pendant près d’un an, d’octobre 1874 à juin 1875, à l’œuvre qui serait l’occupation de sa vie. Lorsqu’il eut terminé son année de probation ses supérieurs l’envoyèrent en Mandchourie. »
Le vicaire apostolique, Mgr Verrolles, le plaça à Yangkoan pour y apprendre le chinois, et s’y former aux us et coutumes du pays. M. Hinard eut pour maître de langue un vieux chrétien, fier de ses fonctions et conscient de son devoir. Si, lorsqu’il demandait quelque chose, le Père avait le malheur de se tromper sur le ton d’un mot, le vieux maître, quoique ayant bien saisi la pensée de son élève, lui refusait impitoyablement l’objet demandé ; c’est ce qui explique la sûreté avec laquelle M. Hinard s’exprimait.
Au printemps 1876, il alla faire l’administration de quelques chrétientés avec celui que nous appelions le saint Père Venault pour guide.
En 1878, il fut chargé de la direction du séminaire, alors à Yangkoan ; il devait conserver cette charge jusqu’en 1885. Il y vivait dans le calme, fort aimé de ses élèves, qu’il traitait tout à fait paternellement, lorsque dans les derniers jours de juillet 1879, la petite rivière, qui coule à quelques pas du séminaire, se gonfla subitement par suite de pluies torrentielles. Le 5 août, au matin, ses eaux envahirent l’établissement. Réveillés à temps, les élèves purent gagner la colline voisine, d’où, sous une pluie battante, ils virent leur maison disparaître dans les flots. Ce matin-là, M. Hinard se trouvait à la procure de Newchwang. Quand la triste nouvelle lui parvint, il loua une barque pour aller chercher ses élèves sans abri, et sur l’ordre de son évêque, s’installa avec eux à Chaling que le séminaire avait quitté peu d’années auparavant. L’ancien établissement subsistait encore, il faisait partie de la résidence du missionnaire ; il était petit et humide. M. Hinard résolut de le reconstruire ; il intéressa les chrétiens de Chaling à son projet, reçut des secours de la mission et à l’automne de 1881 les bâtiments étaient prêts pour loger les élèves. Notre confrère y continua sa vie régulière de supérieur et de professeur.
En 1885 sa santé déclina notablement et Mgr Dubail dut le retirer du séminaire. Il le nomma curé de Chaling, la paroisse où il demeurait et qu’il connaissait bien. L’année suivante, le vicaire apostolique le choisit pour provicaire, en remplacement de M. Boyer qui venait d’être nommé coadjuteur et qui mourut peu de mois après, le 8 mars 1887. La mort du coadjuteur et la maladie du vicaire apostolique firent du provicaire le supérieur réel de la mission. Il en fut aussi le supérieur officiel du 7 décembre 1887 au mois de mars 1888, c’est-à-dire de la mort de Mgr Dubail à la nomination de Mgr Raguit. A cette dernière date, M. Hinard cessa ses fonctions de provicaire (Le Mémorial, vol. I , p. 209, qui indique que M. Hinard a été provicaire jusqu’en 1890 est inexact.) et ne garda que la direction de la paroisse de Chaling.
En 1888, l’inondation ayant ravagé le sud de la Mandchourie, Chaling ne fut pas épargné ; M. Hinard s’y dépensa sans compter. Il put aussi procurer aux missionnaires des ressources qui lui furent remises par le comité de secours de Newchwang, dont faisait partie un de ses amis, M. Benh. Ces travaux lui ayant causé une extrême fatigue, Mgr Guillon le plaça à la procure, en lui donnant le titre de secrétaire.
Peu après, M. Hinard fut choisi pour être un des directeurs du séminaire des Missions-Etrangères. Il quitta la Mandchourie au mois de novembre 1890. « Il a laissé ici les meilleurs souvenirs, a écrit Mgr Choulet, le vicaire apostolique actuel de la Mandchourie méridionale. Sa bonté est demeurée proverbiale. Il pouvait être trompé par les nombreux quémandeurs qui l’approchaient, mais à ceux qui lui en faisaient la remarque, il répondait que Dieu ne se tromperait pas sur ses intentions au grand jour du règlement des comptes.
« Il fut toujours le plus aimable des confrères : jamais un mot peu charitable ne sortait de sa bouche. Un confrère se trouvait-il dans le besoin, s’était-il mis dans une mauvaise situation, M. Hinard ne se donnait pas de repos qu’il ne l’eût tiré de ce mauvais pas, prenant les charges pour lui, payant de sa personne et de sa bourse.
« D’une discrétion à toute épreuve, il était le confident de toutes les personnes qui sentaient le besoin de confier à quelqu’un le trop-plein de leur cœur. Combien de misères cachées n’a-t-il pas soulagées, combien de confidences secrètes ne lui ont-elles pas été faites, oh ! que de bien il a accompli par sa bonté ! »
Il fut officiellement reçu directeur le 11 janvier 1891. Voici depuis cette époque jusqu’à sa mort les fonctions qu’il a remplies avec les dates correspondantes : Du 4 juillet 1892 au 24 juin 1901, secrétaire du Conseil et chargé du cours supplémentaire de morale ; du 24 juin 1901 au 1er juillet 1907, professeur de droit canonique, avec les archives et le Compte rendu annuel des travaux de la Société ; du 1er juillet 1907 à 1913, il résida au séminaire de l’Immaculée à Bièvres et y fit le cours de morale de première année auquel il ajouta l’économat depuis le 27 juin 1910 jusqu’au 26 juin 1913.
À cette époque, il revint à Paris et y professa le cours de morale de seconde et de troisième année. De cette dernière date jusqu’en 1916, il eut encore à rédiger le Compte rendu annuel.
De 1904 à 1907 il avait été directeur de l’Œuvre des Partants.
Ajoutons à ces travaux la direction d’un certain nombre d’aspirants, qui allaient à lui avec une grande confiance et trouvèrent dans ses conseils, dont ils ont conservé une reconnaissance profonde et émue, la voie qui convenait à leur âme.
Dans toutes ces fonctions, M. Hinard montra les mêmes qualités et les mêmes vertus qu’en Mandchourie et particulièrement une bonté faite de douceur, d’indulgence, d’optimisme dont le charme et l’utilité sont fort appréciables partout, plus encore peut-être dans les communautés, où, à l’occasion, elles adoucissent les angles et mettent, selon une expression consacrée, de l’huile dans les rouages pour en faciliter l’ajustage et le fonctionnement.
Notre cher confrère se gardait bien d’oublier les missions dont il était le procureur, il savait s’adresser à la générosité de ses amis pour envoyer des secours en Mandchourie, au Japon et en Corée.
Il fut aussi pendant de longues années le confesseur extraordinaire des religieuses de Saint-Paul de Chartres, qui sont au séminaire de l’Immaculée-Conception et des religieuses de la Présentation de Tours qui dirigent un orphelinat à Meudon ; il fut également, depuis 1914, le confesseur ordinaire des orphelines de cet établissement, où il a rendu des services que la supérieure a résumés dans cette lettre :
« Vous entretenir des souvenirs de notre vénéré et si regretté Père est pour nous une consolation et une véritable satisfaction. Il était si bon, notre cher Père Hinard ! Il a fait tant de bien dans notre maison !
« Depuis l’année 1895, il était le confesseur extraordinaire des sœurs. Pendant les retraites annuelles, malgré ses graves occupations, il passait chaque jour plusieurs heures au confessionnal ; les retraitantes le connaissaient bien et ne manquaient jamais, en arrivant, de s’inquiéter si le bon Père serait à leur disposition. La nouvelle de sa mort, à la retraite de juillet, causa une grande peine.
« Au moment de la guerre, en 1914, M. le curé de Meudon voyant partir ses vicaires, confia le spirituel du couvent au P. Hinard, qui fut de plus en plus pour nous un ami fidèle et dévoué. D’une confiance sans limites en la Providence, il savait calmer les craintes si fréquentes et si naturelles en ce triste temps : « Laissez donc, disait-il, avec un accent tout particulier, laissez donc, le bon Dieu aura le dernier mot. Et la sainte Vierge n’est-elle pas là. »
« Devant les faits pénibles, il constatait, compatissait à vos peines, puis vivement reprenait son inaltérable confiance et la communiquait autour de lui. D’une prudence éclairée, il savait donner le conseil juste et pacifier tous les différends. Plusieurs personnes du monde m’ont dit avoir trouvé près du bon Père une sagesse et une décision qu’elles cherchaient vainement depuis longtemps.
« Affectueux et zélé, il ne comptait ni avec son temps ni avec ses forces. Pendant l’hiver dernier, si rigoureux et si long, notre cher Père vint chaque samedi, par la neige et le verglas, souvent très enrhumé, confesser à la chapelle, ce qui le retenait parfois assez tard. Il s’intéressait beaucoup à nos chères orphelines ; souvent il leur procurait quelques douceurs, leur distribuait des chapelets, des médailles. Il aimait les enfants ; si parfois nous déplorions devant lui, un peu trop de légèreté ou d’indépendance. « Laissez donc, disait-il, elles sont si bonnes, ces petites, elles aiment tant le bon Dieu et la sainte Vierge !
« Cette bonté n’était pas de la faiblesse. « Si vous voyez, me disait-il, une enfant se laisser aller à quelques manquements qui nuisent au bon exemple, ne la laissez pas faire la sainte communion avant que sa faute soit vraiment réparée. »
C’est au milieu de ses occupations que la mort vint brusquement saisir notre cher confrère, le 15 mars 1917. A midi il était au milieu de nous, gai comme à l’ordinaire. Le jeudi soir il n’assista pas au salut ; il ne parut pas non plus au réfectoire, un domestique envoyé dans sa chambre pour voir s’il était souffrant, revint en courant nous annoncer : « Le P. Hinard est mort. » Nous nous précipitons, et nous le trouvons étendu auprès de son lit la face contre terre. Il ne donnait plus signe de vie, mais il n’était pas encore refroidi. M. Roulland (1) lui administra en hâte et sous condition l’extrême-onction. Une congestion aiguë l’avait emporté.
Les âmes qui ont dû à sa bonté et à sa prudence, lumière et joie, l’ont profondément regretté. Sa disparition a été pour nous, surtout en ces jours de deuil, une véritable tristesse.
(1) Et non M. Delmas, supérieur du séminaire, comme il est dit par erreur dans les Annales de la Société des Missions-Etrangères et de l’Œuvre des Partants, nº 115, mai-juin 1917.
Références
[1246] HINARD Flamand (1850-1917)
Références bio-bibliographiques
AME 1901 p. 213. 1904 p. 375. 1906 p. 49. 249. 250. 1908 p. 61. 1917-18 p. 244. 1919-20 p. 43. 1924 p. 123. Articles : 1905 p. 248. 317. 1907 p. 109. 1908 p. 122.
CR 1875 p. 55. 1883 p. 72. 1886 p. 8. 1887 p. 5. 8. 9. 12. 211. 220. 251. 257. 1888 p. 7. 1889 p. 9. 1890 p. 208. 278. 280. 281. 1891 p. 238. 1892 p. 255. 260. 1894 p. 303. 1895 p. 330. 1898 p. 264. 1901 p. 273. 275. 1902 p. 311. 1904 p. 289. 1906 p. 273. 1907 p. 320. 1910 p. 295. 1913 p. 306. 1916 p. 176. 1917 p. 149. 194. 1919 p. 119. 1921 p. 39. 1923 p. 183. 193. 194. 1947 p. 196.