Jean-Marie MÉREL1854 - 1932
- Statut : Préfet apostolique
- Identifiant : 1500
- Bibliographie : Consulter le catalogue
Identité
Naissance
Décès
Consécration épiscopale
Autres informations
Missions
- Pays :
- Chine
- Région missionnaire :
- 1881 - 1914
- Pays :
- Malaisie - Singapour
- Région missionnaire :
- 1914 - 1932 (Malacca)
Biographie
Jean Marie MEREL naît le 18 septembre 1854, dans le hameau de Pibordel, paroisse de Vay, diocèse de Nantes, (Loire Atlantique). Il est ordonné prêtre le 29 juin 1879.
Le 25 septembre 1880, il entre au séminaire des MEP. Il reçoit sa destination pour la Préfecture apostolique du Kouang-Si qu'il part rejoindre le 26 octobre 1881.
Chine (1881-1932)
En 1882, le P. Mérel travaille dans la partie sud-ouest de la Préfecture apostolique du Kouang-Tong. De septembre 1884 au mois d'août 1885, les évènements du Tonkin l'obligent à s'éloigner de son champ d'apostolat. Rentré enfin à son poste, à deux jours de Pakhoi, il n’est plus inquiété.
En 1888, à Ling-shan, localité proche de la frontière du Kouang-si, quatre de ses catéchumènes faussement accusés d'avoir empoisonné des fontaines sont emprisonnés pendant 10 mois. L'un d'eux meurt des suites de la torture.
En 1893, le P.Mérel doit se rendre à Béthanie pour y refaire sa santé. En 1896, il est envoyé dans la sous-préfecture de Kit-yang, (Kil-yung/Hit-yung) . Au-dessous de celle-ci, il y a les deux sous-préfectures du Pouneng et du Tio-yo, laquelle se termine dans les eaux de Swatow, en face de la ville. De Swatow, par vapeur chinois, on arrive en deux heures à Kil-yung. Ce district compte plus de 3.500 chrétiens, les uns Hak-ka, les autres Hok-lo. Le P. Mérel a ces derniers en charge. En 1897, il baptise 287 adultes. En 1900, la préfecture apostolique du Kouang-tong, comme les autres missions de Chine, n’est pas épargnée par les évènements et la persécution.
. Evêque d’Orcisto, préfet apostolique du Kouang-tong
Le 20 avril 1901, nommé évêque d'Orcisto, et préfet apostolique du Kouang-tong, Mgr. Mérel reçoit, le 6 octobre 1901, en la cathédrale de Canton, la consécration épiscopale des mains de Mgr.Van Camelbeke, vicaire apostolique de la Cochinchine Orientale, assisté de NN.SS. Pineau du Tonkin Méridional et Piazzoli de Hong-Kong. On lit, au début de son compte-rendu de 1901 : « Sa Grandeur est heureuse de constater que l'exercice s'est achevé dans le calme et la tranquillité ».
En 1903, il rend témoignage du bon travail accompli par ses missionnaires et ses prêtres autochtones, "malgré la rébellion, la disette et la peste, fléaux qui se sont abattus sur notre pauvre mission du Kouang-tong." En 1904, il achète une propriété à Swatow pour y installer dignement la mission catholique et ses oeuvres. Pour répondre aux désirs des chinois, il ouvre une école de langues européennes, à Canton, dans les bâtiments de la mission. Il accueille à Canton le P.Léon Guibé, missionnaire au Cambodge, pour le préparer à prendre en main l'apostolat auprès des communautés chinoises, en pays khmer.
En 1905, avec l'arrivée à Canton du vice-roi Sham, se réveille la vieille antipathie des autorités chinoises pour les missionnaires et les chrétiens. Malgré cela, la foi des chrétiens reste ferme et éclairée. Le séminaire compte une vingtaine de théologiens et de philosophes.
En 1906, Mgr. Mérel souligne l'importance des écoles, et la nécessité qu'il y a de préparer de bons enseignants. En mai 1906, il ordonne trois prêtres, un diacre, huit minorés ou tonsurés. En 1907, il accueille dans la mission de Canton, le P.Conrardy, fondateur de la léproserie de Shek-lung et il l'aide à se faire réintégrer aux MEP.
En 1908, Mgr.Mérel note que les chrétiens jouissent d'une plus grande tranquillité, grâce à l'énergie des autorités et à l'esprit libéral qui souffle dans la province. Les populations sont moins hostiles à l'étranger. Les écoles parmi lesquelles le Collège du Sacré-Coeur, à Canton, exercent une grande influence. Ce dernier compte près de 240 élèves. Les oeuvres de la Sainte Enfance sont prospères.
En 1909, malgré quelques troubles sociaux et diverses tracasseries, Mgr. Mérel entretient des relations bienveillantes avec les chefs de la ville de Canton, le président des députés provinciaux, et la vice-royauté. Il cède au diocèse de Macao la préfecture de Siou-hing, et reçoit en échange l'île de Haïnan. En juin 1909, il ordonne quatre nouveaux prêtres chinois, portant à 22 leur nombre total. Il prend part au deuxième synode de Hong-kong. Pour s'occuper d'un orphelinat, pour assurer l'éducation des jeunes filles et la formation de jeunes novices chinoises, il fait appel aux religieuses missionnaires de l'Immaculée-Conception de Montréal. Les six premières soeurs arrivent à Canton le 8 octobre 1909, et y ouvrent le Collège du Saint Esprit le 1er mars 1910. En 1913, elles soignent les lépreuses à Shek-lung.
En 1911, en raison de la guerre civile, de la révolution, de l'anarchie du pays, le peuple cantonnais remuant et frondeur écoute d'une oreille fort peu attentive la prédication des ouvriers apostoliques. Cependant, l'administration des chrétientés se fait d'une manière à peu près régulière et fructueuse, malgré une certaine anxiété des lendemains.
En 1914, la Préfecture apostolique du Kouang-tong est divisée en deux vicariats apostoliques : celui de Tacho-tcheou (Swatow), confié à Mgr.Rayssac et celui de Canton, confié à Mgr. Mérel.
Ce dernier donne sa démission le 6 août 1914, et se rend dans la mission de Malacca auprès des chinois immigrés en Malaisie.
En 1916, il remplace le P. Auriol, malade, à la tête du district de Seremban. En 1918, Mgr.Barillon étant fatigué, il assure les tournées de confirmation dans le diocèse. Venu d'Ipoh, il préside la cérémonie des obsèques de Mgr.Bourdon, décédé le 3 octobre 1918, à Singapour. Le Collège de Penang fait souvent appel à lui pour les retraites et les ordinations.
. Archevêque de Craina
En 1921, il est nommé archevêque de Craina, par le Souverain Pontife. Le 6 mai 1923, à Teluk-Anson, chef-lieu du Bas-Pérak, au confluent du Perak et de la Bata-Padang, il ouvre au culte la nouvelle église St.Antoine, dont il avait béni la première pierre, le 30 avril 1922.
En 1925, après avoir remplacé à Kuala-Lumpur le P. Brossard malade, il reprend le chemin de Ipoh où il trouve son église réparée et agrandie. En 1926, il prêche des retraites de jubilé dans six paroisses chinoises de Singapour et de la province de Wellesley. En 1927, il prend la succession du P.Gazeau décédé, à la tête de la paroisse chinoise du Sacré-Coeur à Singapour. Sous sa direction, plusieurs jeunes missionnaires font leur formation apostolique.
Le 29 juin 1929, Mgr. Mérel fête le cinquantième anniversaire de son ordination sacerdotale. A cette occasion, il reçoit de nombreuses marques de sympathie de son ancienne Préfecture Apostolique du Kouang-tong.
En 1931, après un séjour à Saïgon, pour y soigner sa vue, il rentre à Singapour, presque aveugle. Il cède au P. Joseph Sy, la direction de la paroisse chinoise du Sacré-Coeur, et habite avec lui.
C'est là qu'à la suite d'une congestion, il décède le 13 octobre 1932, "usant ses dernières forces à remplir comme un simple missionnaire, tous les devoirs qui incombent à un curé.."
Nécrologie
[ 1500 ] MEREL Jean-Marie (Mgr.)
Préfet Apostolique
Kouang-tong
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Jean Marie MEREL naquit le 18 septembre 1854, au hameau Pibordel, paroisse de Vay, diocèse de Nantes, département de la Loire Atlantique. Il fut ordonné prêtre le 29 juin 1879.
Le 25 septembre 1880, il entra au séminaire des Missions Etrangères. Il reçut sa destination pour la Préfecture Apostolique du Kouang-Si qu'il partit rejoindre le 26 octobre 1881.
En 1882, M. Mérel passa dans la Préfecture Apostolique du Kouang-Tong, et travailla dans la partie sud-ouest de cette province. De septembre 1884 au mois d'août 1885, les évènements du Tonkin l'obligèrent à s'éloigner de son champ d'apostolat. Rentré enfin à son poste, à deux jours de Pakhoi, il ne fut plus inquiété.
En 1888, à Ling-shan, proche de la frontière du Kouang-si, quatre de ses catéchumènes faussement accusés d'avoir empoisonné des fontaines furent emprisonés pendant 10 mois. L'un d'eux mourut de suites de la torture. En 1893, il dût se rendre à Béthanie pour y refaire sa santé. En 1896, il fut envoyé dans la sous-préfecture de Kit-yang, (Kil-yung/Hit-yung) .Au dessous de celle-ci, il y a les deux sous-préfectures du Pouneng et du Tio-yo, laquelle se termine dans les eaux de Swatow, en face de la ville. De Swatow, par vapeur chinois, on arrivait en deux heures à Kil-yung. Ce district comptait plus de 3.500 chrétiens, les uns Hak-ka, les autres Hok-lo. M.Mérel avait ces derniers en charge. En 1897, il baptisa 287 adultes. En 1900, la préfecture apostolique du Kouang-tong, comme les autres missions de Chine ne fut pas épargnée par les évènements et la persécution.
Le 20 avril 1901, nommé évêque d'Orcisto, et Préfet Apostolique du Kouang-tong, Mgr.Mérel reçut, le 6 octobre 1901, en la cathédrale de Canton, la consécration épiscopale des mains de Mgr.Van Camelbeke, vicaire apostolique de la Cochinchine Orientale, assisté de NN.SS. Pineau du Tonkin Méridional et Piazzoli de Hong-Kong. On lit, au début de son compte-rendu de 1901 : "Sa Grandeur est heureuse de constater que l'exercice s'est achevé dans le calme et la tranquillité".
En 1903, il rendait témoignage du bon travail accompli par ses missionnaires et ses prêtres autochtones, "malgré la rébellion, la disette et la peste, fléaux qui se sont abattus sur notre pauvre mission du Kouang-tong." En 1904, il acheta une propriété à Swatow pour y installer dignement la mission catholique et ses oeuvres. Pour répondre aux désirs des chinois, il ouvrit une école de langues européennes, à Canton, dans les bâtiments de la mission. Il accueillit à Canton M.Léon Guibé, missionnaire au Cambodge, pour le préparer à prendre en main l'apostolat auprès des communautés chinoises, en pays kmer.
En 1905, avec l'arrivée à Canton du vice-roi Sham, se réveilla la vieille antipathie des autorités chinoises pour les missionnaires et les chrétiens. Malgré cela, la foi des chrétiens resta ferme et éclairée. Le séminaire comptait une vingtaine de théologiens et de philosophes. En 1906, Mgr. Mérel soulignait l'importance des écoles, et la nécessité qu'il y avait de préparer de bons enseignants. En mai 1906, il ordonna trois prêtres, un diacre, huit minorés ou tonsurés. En 1907, il accueillit dans la mission de Canton, M.Conrardy, fondateur de la léproserie de Shek-lung et il l'aida à se faire réintégrer dans la Société des Missions Etrangères.
En 1908, Mgr.Mérel notait que les chrétiens avaient joui d'une plus grande tranquillité, grâce à l'énergie des autorités et à l'esprit libéral qui soufflait dans la province. Les populations étaient moins hostiles à l'étranger. Les écoles parmi lesquelles le Collège du Sacré-Coeur, à Canton, exerçaient une grande influence. Ce dernier comptait près de 240 élèves. Les oeuvres de la Sainte Enfance étaient prospères.
En 1909, malgré quelques troubles sociaux et diverses tracasseries, Mgr. Mérel entretenait des relations bienveillantes avec les chefs de la ville de Canton, le président des députés provinciaux, et la vice-royauté. Il céda au diocèse de Macao la préfecture de Siou-hing, et reçut en échange l'île de Haïnan. En juin 1909, il ordonna quatre nouveaux prêtres chinois, portant à 22 leur nombre total. Il prit part au deuxième synode de Hong-kong. Pour s'occuper d'un orphelinat, pour assurer l'éducation des jeunes filles, et la formation des jeunes novices chinoises, il fit appel aux Religieuses Missionnaires de L'Immaculée-Conception de Montréal dont les six premières soeurs arrivèrent à Canton le 8 octobre 1909, et y ouvrirent le Collège du Saint Esprit le 1er mars 1910. En 1913, elles soignaient les lépreuses à Shek-lung.
En 1911, en raison de la guerre civile, de la révolution, de l'anarchie du pays, le peuple cantonnais remuant, frondeur écouta d'une oreille fort peu attentive la prédication des ouvriers apostoliques. Cependant l'administration des chrétientés se fit d'une manière à peu près régulière et fructueuse, malgré une certaine anxiété des lendemains.
En 1914, La Préfecture Apostolique du Kouang-tong fut divisée en deux vicariats apostoliques : celui de Tacho-tcheou (Swatow) confié à Mgr.Rayssac. et celui de Canton confié à Mgr. Mérel qui, ayant donné sa démission le 6 août 1914, alla travailler dans la mission de Malacca auprès des chinois immigrés en Malaisie.
En 1916, il remplaça M. Auriol, malade, à la tête du district de Seremban. En 1918, Mgr.Barillon étant fatigué, il assura les tournées de confirmation dans le diocèse. Venu d'Ipoh, il présida la cérémonie des obsèques de Mgr.Bourdon, décédé le 3 octobre 1918, à Singapore. Le Collège de Penang fit souvent appel à lui pour les retraites et les ordinations. En 1921, il fut nommé archevêque de Craina, par le Souverain Pontife. Le 6 mai 1923, à Teluk-Anson, chef-lieu du Bas-Pérak, au confluent du Perak et de la Bata-Padang, il ouvrit au culte la nouvelle église St.Antoine, dont il avait béni la première pierre, le 30 avril 1922.
En 1925, après avoir remplacé à Kuala-Lumpur M. Brossard malade, il reprit le chemin de Ipoh où il trouva son église réparée et agrandie. En 1926, il prêcha des retraites de jubilé dans six paroisses chinoises de Singapore et de la province de Wellesley. En 1927, il prit la succession de M.Gazeau décédé, à la tête de la paroisse chinoise du Sacré-Coeur à Singapore. Sous sa direction, plusieurs jeunes missionnaires firent leur formation apostolique.
Le 29 juin 1929, Mgr. Mérel fêta le cinquantième anniversaire de son ordination sacerdotale. A cette occasion, il reçut de nombreuses marques de sympathie de son ancienne Préfecture Apostolique du Kouang-tong.
En 1931, après un séjour à Saïgon, pour y soigner sa vue qui ne s'améliora guère, il rentra à Singapore, presque aveugle. Il céda à M.Joseph Sy, la direction de la paroisse chinoise du Sacré-Coeur, et habita avec lui. C'est là; qu'à la suite d'une congestion, il décéda le 13 octobre 1932, "usant ses dernières forces à remplir comme un simple missionnaire, tous les devoirs qui incombent à un curé.."
Janvier 2001
Bibliographie
Livres en chinois :
"L'âme de l'homme", 1927, 192 pages, Hongkong Nazareth
"Chemin de la Croix", 1922, 180 pages, Hongkong Nazareth
en latin :
"Parva Methodus Examinis Conscientiae", 1922, 204 pages, Hongkong
Nazareth.
Variétés Sinologiques N°59
Références
[1500] MÉREL Jean-Marie (1854-1932)
Bibliographie
Livres en chinois :
"L'âme de l'homme", 1927, 192 pages, Hongkong Nazareth
"Chemin de la Croix", 1922, 180 pages, Hongkong Nazareth
en latin :
"Parva Methodus Examinis Conscientiae", 1922, 204 pages, Hongkong
Nazareth.
Variétés Sinologiques N°59
(1500) MEREL Jean-Marie (Mgr)
Notices biographiques. - AME 1901 p. 311. 1909 p. 124. 1913 p. 208 ph . 1914 p. 124 ph . 1917-18 p. 234. 1921 p. 22-3, 155. 1924 p. 75. 1925 p. 15-6. 1928 p. 134. 1932 p. 253-4-95. 1936 p. 250. 1938 p. 196-7 ph . - CR 1881 p. 103. 1882-4 p. 90. 1885 p. 62. 1887 p. 119. 1888 p. 104. 1892 p. 137. 1893 p. 148. 1896 p. 152. 1897 p. 114, 314-5-7. 1898 p. 126. 1899 p. 164. 1900 p. 127. 1901 p. 3, 11, 130, 288, 382. 1902 p. 131-43, 337. 1903 p. 119, 3404. 1904 p. 132, 207, 364. 1905 p. 106, 396. 1906 p. 115, 391-2. 1908 p. 117. 1909 123, 267, 309, 314. 1912 p. 157, 310. 1913 p. 157. 1914 p. 8, 65, 138. 1915 p. 156. 1916 p. 143-75. 1917 p. 65. 1918 p. 94, 125. 1919 p. 117-36-41, 235. 1920 82. 1921 p. 62, 108. 1922 p. 123. 1923 p. 175. 1924 p. 134, 201. 1926 p. 129. 1927 p. 125. 1928 p. 132-74. 1929 p. 173-4-7, 230. 1930 p. 193, 271. 1931 p. 208-9. 1932 p. 240, 312-22-88, 416. 1933 p. 202. 1934 p. 283. 1935 p. 283. 1936 p. 283. 1927 p. 250-5. 1938 p. 283. 1947 p. 205. 1948 p. 157-88, 204-5-43. 1949 p. 213-6. - BME 1922 p. 29, 36, 72, 105, 379. 1923 p. 451. 1924 p. 57. 1925 p. 174, 309, 441. 1926 p. 159, 516-76. 1927 p. 765. 1929 p. 184, 492, 505, 698. 1930 p. 416, 526-31. 1931 p. 158-63, 384, 459, 766, 954-6-7. 1934 p. 464-9, 541. 1941 p. 716. 1957 p. 570. - EC1 n° 253. - MCATH n° 14 p. 523. 15 p. 270. 33 p. 32. - (livres en chinois "L'âme de l'homme" , 1927 n° 192 HKG Nazareth "Chemin de la Croix" 1922 n° 180 HKG Nazareth. "Parva methodus examihis conscietiae" 1922 n° 204 HKG Nazareth. - Variétés sinologiques n° 59.