Denis POYET1863 - 1932
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 1779
Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Vietnam
- Région missionnaire :
- 1888 - 1932 (Qui Nhon)
Biographie
[1779] Denis, Eugène Poyet naquit de parents très chrétiens le 09 Janvier 1863, à Lyon, paroisse Ste Blandine, département du Rhône. A dix ans, il entra à l'institution Saint Vincent, en 1877, il se dirigea vers le Petit Séminaire de Verrières, où il fit toutes ses humanités ; ses deux années de philosophie se passèrent au séminaire d'Alix.
Le 6 Septembre 1884, il entra laïque, comme aspirant missionnaire à Meudon, où il commença ses études théologiques. Tonsuré le 26 Septembre 1885, Minoré le 7 Mars 1886, sous-Diacre le 26 Septembre 1886, diacre le 05 Mars 1887, il fut ordonné prêtre, en la chapelle des Missions Etrangères, le 24 Septembre 1887, par Mgr. Vey, Vicaire Apostolique du Siam. Le soir même, M. Delpech le désigna pour la Cochinchine Orientale. Il quitta Paris le 14 Décembre 1887, s'embarqua à Marseille le 17 Décembre, et arriva dans sa mission vers la mi-Janvier 1888.
Il apprit d'abord le viêtnamien à Xom-Nam, dans la province de Binh-Dinh, où il resta durant sa première année de mission, puis, l'année suivante, il se mit à l'étude de la langue Bahnar à Kon-Hngo. En effet, Mgr. Van Camelbeke l'avait destiné à la Mission Bahnar quii comptait alors 3 missionnaires et un prêtre viêtnamien: MM.VIALLETON, GUERLACH, IRIGOYEN et NGUY+N, avec 1600 chrétiens dans quatre centres .
Le 23 Janvier 1889, Mr. POYET arriva à KONTUM, Son Supérieur, M.VIALLETON, l'installa dans une petite case au village de KON-HNGO. Le 17 Juillet 1891, mourait à ROHAI , entre KONTUM et KON-HNGO, le P. NGUY+N, curé de cette chrétienté depuis 18 ans. M. POYET lui succéda et KON-HNGO devint chrétienté secondaire.
ROHAI était le premier et le plus important poste de la Mission. M.DOURISBOURE en parle beaucoup dans son livre :Les Sauvages Bahnars". C'était un poste déjà bien développé .. Tout près de ROHAI, s'était formé depuis 1874, une modeste chrétienté viêtnamienne, nommée TRAI-LY., la seule dans la Mission Bahnar. Composée d'éléments divers, cette station donna beaucoup de tracas et de soucis à M. POYET. Installé au Centre de la Mission, M. POYET rendit de nombreux services à ses confrères. Il organisa le village de ROHAI, ouvrit une belle avenue centrale, large d'une dizaine de mètres, longue d'environ un km. De chaque côté, il encouragea chaque famille à élever une case propre et coquette, à cultiver un jardin. Cette chrétienté pilote se développa et devint le noyau de la ville de KONTUM... M POYET qui avait aussi obtenu la conversion du village voisin de KON-HARA resta cinq ans à ROHAI .
En Avril 1896, M.POYET prit la direction du district de KON-KOTU qui comprenait alors tout l'est de la Mission. Il se donna corps et âme à l'administration de ses chrétientés.. Les villages de KO-T_IOK, KON-X_LAK, et KON-MAH devinrent chrétiens. Mais en 1898, Monseigneur dût envoyer M. POYET à HONG-KONG, prendre du repos à Béthanie.
A son retour, fin 1899, Mr. POYET fut nommé chef du district de D_NG-DAI. Il s'y dépensa sans compter : il fit de nombreuses conversions, organisa ses chrétientés, construisit.. sans trop se soucier de sa santé. En 1910, fatigué, il fut appelé comme professeur au Petit Séminaire. Il n'y resta que quelques mois. Nature d'artiste, maniant avec habileté l'archet, le pinceau et la plume, il avouait être peu fait pour la vie de communauté.. "J'aimerais bien le Séminaire, disait il, mais il faudrait en supprimer la cloche " !..
Il revint alors à D_NG-DAI où il resta quatre ans, puis fût nommé à D_NG-H+U, où pendant cinq ans, il recommença à se surmener au point qu'il fût obligé , en 1920, d'aller refaire sa santé en France.
A son retour en 1922, il fut nommé curé de PHU-HOA.Son église brûla accidentellement. Il la reconstruisit plus solide et plus belle, son sens artistique et original se donna libre cours dans les chapiteaux et ses fameuses gargouilles.. Il en bâtit même une autre au chef-lieu de la Province, à QUANG-NGAI. Comme partout ailleurs, Mr. POYET sut se faire aimer de tous ses chrétiens. On disait : "le bon Père POYET" !..
Fatigué, il monta se reposer au sanatorium de DALAT. Pendant quelques temps encore, il continua à travailler, termina son église, mais ses forces déclinaient !. Par obéissance, il se résolut à entrer à la clinique ANGIER à SAIGON. Durant trois mois, médecins et religieuses firent l'impossible pour le sauver, mais le coeur ne fonctionnait plus régulièrement !. Pleinement conscient de son état, il conservait sa gaieté habituelle, plaisantant volontiers avec ses visiteurs.
Il s'éteignit doucement le samedi 07 Mai 1932, vers les 11 heures du soir.. Le lendemain sa dépouille mortelle fut transportée au Séminaire de Saigon., et le lundi matin, à 6 heures, Mr. LOUISON, son compatriote, célébra le service funèbre, en présence du Vicaire Apostolique, de toute la communauté, de nombreux prêtres. Puis, l'inhumation eût lieu au cimetière d'ADRAN.
Décembre 1993
Nécrologie
M. POYET
MISSIONNAIRE DE QUINHON
M. POYET (Denis-Eugène) né le 9 janvier 1863 à Lyon (Lyon, Rhône). Entré laïque au Séminaire des Missions-Étrangères le 6 septembre 1884. Prêtre le 24 septembre 1887. Parti pour la Cochinchine orientale le 14 décembre 1887. Mort à Saïgon le 7 mai 1932.
Ce fut le 9 janvier de l’an 1863 que le petit Eugène Poyet vit le jour à Lyon de parents profondément chrétiens.
A dix ans il entra à l’institution Saint-Vincent où en 1877, l’appel de Dieu se fit entendre ; le jeune homme se dirigea alors vers le petit Séminaire de Verrières, où il fit toutes ses humanités ; ses deux années de philosophie se passèrent au Séminaire d’Alix. Sur sa demande, admis à Meudon comme aspirant missionnaire il y commençait ses études théologiques le 6 septembre 1884. Trois ans après, le 24 septembre 1887, il recevait l’ordination sacerdotale des mains de Mgr Vey, Vicaire Apostolique du Siam, en la chapelle des Missions-Étrangères de la rue du Bac, à Paris. Le soir- même, le vénérable Père Delpech le désignait pour la Cochinchine Orientale, et le 17 décembre suivant, tout joyeux, il s’embarquait à Marseille.
Dieu seul sait quelle émotion étreignit le jeune missionnaire ¬quand, vers la mi-janvier 1888, il posa pour la première fois le pied sur cette terre d’Annam, où il était appelé à fournir une longue et belle carrière de 45 ans d’apostolat.
Dès les débuts M. Poyet dut se mettre à l’étude de deux langues très différentes l’une de l’autre, avec chacune ses difficultés particulières : l’annamite et le bahnar. Il apprit l’annamite à Xom-nam, au Binh-dinh, où il resta toute sa première année de mission : quant au bahnar, il s’y initia à Kon-Hugo l’année suivante.
Notre confrère était en effet destiné par Mgr Van Camelbeke à la Mission sauvage des Bahnars, considérée alors et non sans quelques raisons, comme la Mission héroïque. Il n’y avait là que 3 missionnaires et un prêtre annamite, MM. Vialleton, Guerlach, Irigoyen et Nguyên, avec 1600 chrétiens seulement dans 4 centres.
Quand, le 23 janvier 1889, M. Poyet arriva à Kontum, M. Vial¬leton, Supérieur, l’installa de suite dans une petite case de bambou au village de Kon-Hugo pour y exercer les prémices de son ministère, au milieu de ces sauvages assez peu sympathiques et au caractère versatile. Tout ne fut pas précisément joie et consolation pour le jeune débutant, mais par bonheur son caractère le portait à prendre les choses du bon côté ; aussi riait-il de ses misères, heureux d’entrer ainsi de plein-pied dans les rudes sentiers de la vie apostolique.
Le 17 juillet 1891, mourait à Rohai, entre Kontum et Kon-Hugo, le bon Pète annamite Nguyên, curé de cette chrétienté depuis 18 ans. M. Poyet fut appelé à le remplacer tout en conservant Kon-Hugo comme station secondaire.
Rohai, était le premier et le plus important poste de la Mission. M. Dourisboure en parle beaucoup dans son livre : « Les Sauvages Bahnars ». C’est là surtout que tous les missionnaires précédents avaient exercé leur activité ; aussi, au point de vue matériel, était-ce un poste déjà bien développé.
Tout près de Rohai, s’était formé depuis 1874, au temps de M. Hugon, une modeste chrétienté annamite, alors la seule dans tout le pays sauvage ; elle se composait principalement de tous les anciens serviteurs de la Mission, qui s’étaient établis petit à petit dans le pays. On l’appelait à cette époque Trai-ly et ce n’était pas merveilleux en fait d’habitants, ni comme nombre, ni comme choix. On ne saura jamais combien de tracas et d’ennuis cette station causa alors au jeune Père, encore plus ou moins expérimenté. N’empêche qu’il lui donna tout son cœur, tout en aimant bien quand même ses chrétiens sauvages.
Ainsi placé au centre de la Mission, dans la plus ancienne chrétienté bahnare, M. Poyet pouvait rendre mille services à ses confrères de la brousse, et certes, il le fit avec beaucoup de délicatesse et de dévouement ; tous recevaient chez lui l’accueil le plus cordial. « C’est avec « grand plaisir, écrivait-il à l’un d’eux qui lui annonçait sa visite, que je vous ouvre mes « portes à deux battants. Venez ! On vous offrira tout ce que l’on a de mieux sous la main et « de plus chaud dans le cœur… »
M. Poyet resta 5 ans dans ce poste de Rohai. Sous sa sage administration, la chrétienté augmenta beaucoup, et, surtout fut organisée. Elle n’était d’abord qu’un amas de cases, plantées sans ordre en pleine brousse. Le Père, après bien des difficultés heureusement surmontées, réussit à ouvrir une belle avenue centrale de plus de 10 mètres de large et de près d’un kilomètre de long. Dc chaque côté de ce boulevard et de ses rues adjacentes, notre confrère distribua à chaque famille une petite propriété, et encouragea chacun à construire au milieu de son jardin une maison proprette, selon les règles de l’hygiène. Aussi la santé des chrétiens de l’endroit s’améliora beaucoup, car l’air y circulait à l’aise. En outre la chrétienté avait pris un petit air coquet, qui faisait l’admiration des visiteurs. Depuis lors, cette chrétienté se développa de plus en plus et devint le noyau de la ville actuelle de Kontum.
Pendant son séjour à Rohai, le Père eut la consolation de convertir le village bahnar de Kon-Hara, assez proche de sa résidence.
En avril 1896, M. Poyet quittait ce poste pour aller prendre la direction de l’immense district de Kon-Kotu, qui comprenait alors tout l’est de la Mission et depuis a été divisé en quatre paroisses. Il se donna corps et âme à l’administration de ses nombreuses chrétientés, en parcourant sans cesse tous les sentiers par n’importe quel temps. Son zèle ne demeura pas infructueux et le bon Dieu lui donna la consolation de convertir 3 villages : Ko-Tôiok, Kon-Xôlak et Kon-Mah.
Cependant, au bout de deux années sa santé ne résista pas a pareil surmenage, et Monseigneur dut l’envoyer prendre un repos bien mérité au Sanatorium de Hong-kong. A son retour, il fut nommé chef du district du Dong-dài.
Là encore, M. Poyet déploya, à la façon de Saint-Philippe de Néri, le même zèle infatigable et original. Nature d’artiste, (maniant avec la même habileté l’archet, la plume et le pinceau), il en avait les qualités : enthousiasme, franche et communicative gaîté, générosité, mais aussi les petits travers, c’est-à-dire : insouciance absolue de tout ce qui touche le côté matériel ; n’ayant jamais su se soigner, il mettait les ordonnances du médecin dans son casque... et guérissait ; indifférence déconcertante pour la nourriture, mangeant n’importe quoi, n’importe quand, et parfois pas du tout : quand son cuisinier avait oublié d’aller au marché, il fumait une pipe et s’estimait encore heureux. Sauf pour célébrer la sainte messe ou rendre des visites, il ne s’est jamais habitué à porter des souliers, que dans son langage pittoresque, il décorait du nom « d’écrins ». Il lui arrivait de les oublier d’ailleurs les trois quarts du temps, soit à la sacristie, soit dans son pousse-pousse. Oui, les fameux écrins de M. Poyet sont restés légendaires.
Bref, tout de suite il se mit au travail organisant sa chrétienté, construisant, etc. En Annam, quand une bâtisse importante, comme église, école ou presbytère est terminée, on invite généralement à un banquet d’inauguration les chrétiens aisés, qui, à cette occasion, font une généreuse offrande pour couvrir une partie des frais de la construction. M. Poyet, suivant la tradition, voulut lui aussi inaugurer solennellement son nouveau presbytère, mais à sa façon, d’ailleurs tout évangélique ; il convia, non pas les riches, mais les vieillards, les pauvres, cœcos, claudos et debiles qui vinrent de fait au repas avec leur bâton : « Ces bâtons de « vieillesse et ces béquilles, leur dit-il, étayeront mieux ma maison que les meilleures « colonnes ».
Il dit là encore de nombreuses conversions et se dépensa sans compter, mais après 9 ans de labeur, très déprimé, il fut appelé comme professeur au petit Séminaire, où il ne resta que quelques mois. Plus tard, il avoua être peu fait pour la vie de communauté. Son activité débordante s’y trouvait trop comprimée par l’horaire et le règlement. « J’aimerais bien le Séminaire, disait-il, mais il faudrait en supprimer la cloche. » Il revint à Dông-dai, y resta encore 4 ans, puis fut nommé à Dông-hâu, où pendant 5 ans, il recommença à se surmener au point de se voir obligé d’aller refaire sa santé en France : c’était en 1920. A son retour en 1922, il fut nommé curé de Phu-hoà. Son église brûla accidentellement. Il la reconstruisit, plus solide, plus belle, et son sens artistique autant qu’origina1 put se donner libre cours… dans les chapiteaux et ses fameuses gargouilles. Non content de cela, il en construisit une autre au chef-lieu de la province, à Quang-ngai.
A Phu-hoà comme partout ailleurs, M. Poyet sut se faire aimer ¬de ses chrétiens, tant européens qu’indigènes. Les Français ne l’appelaient que le « bon P. Poyet ». Les enfants, habiles à distinguer ceux qui ont de l’affection pour eux, le recherchaient ; aussi sa vérandah et sa maison étaient-elles continuellement envahies par les « emnho nho » (ses petits frérots) comme il les appelait. Mais plus que les paroles, un fait montrera combien ses chrétiens l’avaient en grande estime.
M. Poyet malade était allé au Sanatorium de Dalat. Sou état inspirant quelque inquiétude, il reçut l’Extrême-Onction, et le bruit courut qu’iL était décédé. Aussitôt, ses chrétiens désolés n’hésitèrent pas, malgré les 700 kilomètres qui les séparaient de leur pasteur, à envoyer un dignitaire de la paroisse, avec ordre de ramener à leurs frais le corps du Père au milieu de ses enfants. Quelle ne fut pas la surprise de ce brave homme en arrivant à Nhatrang, d’y rencontrer notre confrère qui, rétabli, venait d’y arriver lui aussi. « Mais où vas-tu, lui demanda le Père ? » — « On nous avait annoncé votre mort et les chrétiens m’envoyaient chercher votre corps », répond simplement celui-ci. Tous deux se regardèrent et se mirent à pleurer... de joie et d’émotion. Que faut-il le plus admirer dans cette scène touchante ? ou ces néophytes animés de la plus tendre affection pour un père bien-aimé ou celui qui sut si bien la mériter.
Pendant quelque temps encore, le Père put continuer à travailler, il termina son église, mais ses forces déclinaient de plus en plus. Il ne voulait pas aller se faire soigner à Saïgon, car il ne craignait pas la mort et désirait mourir au milieu de ses chrétiens. Cependant, par obéissance, il se résolut enfin à partir et à entrer à la clinique Angier.
Nous ne devions plus revoir notre cher M. Poyet à Quinhon. Durant trois mois les médecins et les religieuses firent l’impossible pour le sauver ; mais le cœur ne fonctionnait plus régulièrement, et l’œdème envahissait peu à peu tous ses membres.
Le malade ne se faisait aucune illusion, se préparait à paraître devant Dieu et conservait sa gaieté habituelle, plaisantant volontiers jusqu’au dernier jour avec Monseigneur, M. Delignon et les Pères de la Procure, qui venaient le visiter souvent.
Dès le début de mai, on perdit tout espoir, et le Père Provicaire lui administra les derniers Sacrements, qu’il reçut avec de grands sentiments de piété et un absolu abandon à la volonté divine. La mort pouvait venir, M. Poyet était prêt.
« Il s’est éteint doucement le samedi 7 mai vers les 11 heures du soir, nous écrivit M. « Gauthier. Je lui avais encore parlé à 7 heures et en lui disant au revoir, il m’avait répondu : « oui, au revoir là-haut ». La veille, il m’avait dit : « Je voudrais bien écrire à Monseigneur, « mais je ne puis pas tenir une plume ». Je lui répondis que je le ferais à sa place. « Alors, « ajouta-t-il, vous direz à Son Excellence que je lui souhaite une longue vie et un fructueux « apostolat ; qu’elle daigne me bénir et recommander aux confrères de prier beaucoup pour « moi. »
M. Delignon était allé le voir le même soir à 8 h. ½ et avait donné au moribond une dernière absolution. Il fut mis dans le cercueil le dimanche à 8 h. 30, et, aussitôt après, transporté au Séminaire. Le service funèbre, auquel assistèrent le Vicaire Apostolique, toute la communauté, de nombreux missionnaires et prêtres indigènes des environs, fut célébré le lundi matin à 6 heures par M. Louison, son compatriote ; l’inhumation eut lieu au ci¬metière d’Adran, où sa dépouille mortelle repose au milieu de ses confrères, en attendant la résurrection glorieuse.
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Références
[1779] Denis POYET (1863-1932)
Références biographiques
AME 1897 p. 737. 798. 1932 p. 142. 1933 p. 161. CR 1887 p. 197. 1891 p. 159. 291. 292. 1893 p. 189. 1896 p. 205. 1898 p. 161. 339. 1899 p. 191. 1900 p. 160. 1903 p. 184. 1904 p. 185. 1905 p. 155. 1914 p. 86. 1916 p. 125. 1919 p. 78. 220. 1922 p. 105. 1923 p. 262. 1924 p. 90. 1932 p. 206. 312. 417. 1933 p. 272. 287. BME 1922 p. 93. 166. 242. 1925 p. 777. 1932 p. 214. 789. EC1 N° 7. 244.