Paul POUCLET1909 - 1982
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 3514
Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Vietnam
- Région missionnaire :
- 1934 - 1963 (Saigon)
- 1963 - 1967 (Nha Trang)
- 1967 - 1970 (Saigon)
- 1970 - 1975 (Dalat)
Biographie
[3514] Paul, Aimé, Marcel POUCLET naquit à Saint Gilles sur Vie, diocèse de Luçon, département de la Vendée, le 11 Mai 1909. Après ses études primaires à Saint Gilles, il entra, en octobre 1922, au petit séminaire de Chavagnes-en-Paillers; il y parcourut le cycle des études secondaires qu'il termina en Juillet 1928. En octobre de cette même année, il passa au grand séminaire de Luçon, où il resta un an.
Le 1er Juin 1929, il fit sa demande d'admission au Séminaire des Missions Etrangères. Celle-ci fut agrée le 26 août 1929; le 12 septembre suivant, il entra à Bièvres. Il reçut la tonsure le 29 juin 1932, les premiers ordres mineurs le 24 novembre 1932, les seconds ordres mineurs, le 17 décembre 1932. Sous-diacre le 2 juillet 1933,diacre le 23 décembre 1933,il fut ordonné prêtre le 1er Juillet 1934, reçut sa destination pour le Vicariat Apostolique de Saïgon, qu'il partit rejoindre le 16 septembre 1934 et s'embarqua à Marseille le 21 septembre 1934.
Arrivé à Saïgon, Mgr Dumortier dirigea M. Pouclet vers la paroisse de Cai-Mon où il resta de novembre 1934 au 18 février 1936, afin d'apprendre la langue viêtnamienne. Il faut reconnaitre qu'il ne devint jamais un viêtnamisant distingué, estimant peut être que la langue française assez répandue en Cochinchine, lui suffirait. Le 18 février 1936, il fut nommé professeur au petit séminaire de Saïgon; il enseigna pendant un an, puis fut envoyé en paroisse à Xuân-Hiêp, près de Vinh-Long. En juillet 1937, il retrouva sa chaire de littérature française dans les hautes classes, au petit séminaire de Saigon.
En septembre 1939, il fut mobilisé et mis en affectation spéciale, un mois après. Rappelé début février 1940, comme sergent au 11ème RIC, à Battambang (Cambodge), il prit part aux opérations contre le Siam; en mai 1941, il fut mis en congé illimité, et rejoignit le séminaire où il reprit ses cours.
Dans la nuit du 5 au 6 mai 1944, les Alliés bombardèrent Saïgon; le quartier du Séminaire fut touché. Dès le lendemain,les élèves du petit séminaire furent renvoyés pour un temps, dans leurs familles. Enfin, au début du mois d'août 1944, les cinq premières classes du petit séminaire reprirent leurs études à Cai-Nhum.
Le 13 Juillet 1945,à Cai-Nhum, les japonais arrêtèrent MM.Boismery,Bellocq, supérieur du petit séminaire, Pouclet, professeur,Nhan et Sinh curé et vicaire de cette paroisse, accusés d'avoir hébergé et soigné trois marins français. Ils furent conduits à Vinh-Long puis enfermés à la prison provinciale de Can-Tho. Le 6 Août 1945,M.Pouclet fut mis dans les cages de la gendarmerie japonaise où il resta jusqu'au 14 aout 1945. Après avoir été placé en résidence surveillée au presbytère de Can-tho, il rentra à Saigon le 15 septembre 1945. En mars 1946, il partit en France pour son congé régulier.
En Août 1946, le petit séminaire rouvrit ses portes à Saïgon. M. Pouclet regagna sa mission en novembre 1946, il retrouva sa chaire de professeur et devint préfet des études. Le 18 septembre 1950, il fut nommé supérieur de l'établissement et garda cette charge jusqu'en avril 1962. Il partit alors en France pour son congé régulier.
Le 14 janvier 1963, il regagna Saigon. La direction et l'enseignement dans ce petit séminaire ayant été confiés au clergé viêtnamien, M.Pouclet prit avec Mgr. Piquet un engagement pour trois années scolaires, et il alla enseigner au petit séminaire de Nhatrang, les mêmes matières qu'il avait professées à Saigon. Il connut là les mêmes joies et les mêmes succès, car il était fort apprécié de ses élèves. Au terme de son contrat, il quitta Nhatrang, prit un bref congé culturel" du 11 avril 1967 au 11 juillet 1967, et il revint enseigner le français à l'école Ste Thérèse de Cholon, dirigée par M. Paul Richard. Il y resta jusqu'à fin mai 1970, puis prit son congé régulier.
Le 21 Novembre 1970, il repartit au Viêtnam. Mgr. Seitz l'engagea pour le service des hautes classes de son petit séminaire replié à Dalat, en raison de l'insécurité de la région de Kontum. Les élèves logeaient dans un foyer; ils allaient prendre les cours au Collège d'Adran, tenu par les Frères des Ecoles Chrétiennes. C'est dans cet établissement que M. Pouclet enseigna la littérature française de 1970 au mois de mars 1975. A cette date, les évènements politiques rendant la région de Dalat peu sûre obligèrent à évacuer rapidement vers Saigon, élèves et professeurs. Après un voyage pénible vers Nhatrang et par la mer, M. Pouclet arriva à Saïgon le 30 mars 1975 et le 4 avril suivant, il regagna la France par avion. La situation au Sud Viêtnam était telle qu'il n'était plus question d'enseigner.
Après un temps de repos chez sa soeur à Nantes, Il remplaça durant le mois de Juin 1975, M.Leblanc Joseph à l'hôpital St. Jacques de Nantes. Puis il fut nommé intérimaire à l'hôpital de Fontenay-le-Comte où il passa un an. En Juillet 1976, on lui proposa d'assurer le service religieux dans le Foyer-Logement de Mareuil sur Lay. Il y resta jusqu'en octobre 1982.
Des signes de fatigue et un comportement insolite se manifestant,on lui suggera de se retirer à la maison de retraite du Marilais destinée aux prêtres, ou mieux d'aller à Montbeton. Tout était prêt pour rejoindre Montbeton,quand, le 28 Novembre 1982, il dût être hospitalisé d'urgence à Luçon. Le docteur diagnostiqua un cancer au poumon, avec un commencement d'envahissement au cerveau. C'est là qu'il s'éteignit le 26 décembre 1982, à 0h25. Trois jours auparavant, en toute lucidité, il avait reçu le sacrement des malades. Ses obsèques eurent lieu à Mareuil le 28 décembre, suivies de l'inhumation au cimtière de cette ville.
Passionné de littérature,M. Pouclet avait presque achevé un travail de recherche sur "le Christ dans la Littérature" et en avait commencé un autre sur "la Vierge dans la Littérature". Les conditions du départ de Dalat ne lui permirent pas d'emporter ces documents. C'était un philatéliste averti, un musicien connaisseur. Il jouait souvent de l'orgue à la cathédrale de Saigon. En 1937, il avait remonté cet instrument acheté d'occasion en France par M.Tricoire et destiné à la cathédrale de Saïgon. Mais surtout M.Pouclet fut un excellent professeur, aimé de tous ses élèves qui lui gardaient une affectueuse vénération, même si parfois il se montrait dur et exigeant.Il a consacré toute sa vie à la formation du clergé viêtnamien.
Nécrologie
Le Père Paul POUCLET
Missionnaire de SAÏGON
1909 - 1982
Paul POUCLET
Né le 11 mai 1909 à Saint-Gilles-sur-Vie, diocèse de Luçon, Vendée
Entré aux Missions Etrangères le 12 septembre 1929
Prêtre le 1er juillet 1934
Destination pour Saïgon
Parti le 16 septembre 1934
En mission : de 1934 à 1975
En France : Ministère dans son diocèse : 1975-1982
Décédé à l’hôpital de Luçon le 26 décembre 1982
Inhumé à Mareuil le 28 décembre 1982
Voir carte nº 8
Enfance et jeunesse
Paul Pouclet naquit à Saint-Gilles-sur-Vie, au diocèse de Luçon, le 11 mai 1909. Après ses études primaires à Saint-Gilles, il entra en 1922 au petit séminaire de Chavagnes-en-Paillers pour ses études secondaires. Tout au long de ces années de petit séminaire, son désir du sacerdoce se précisa et s’affermit. Dès cette époque il pensait aux Missions et plus particulièrement aux Missions Etrangères. D’ailleurs les aspirants originaires du diocèse de Luçon étaient nombreux et il en connaissait certainement plusieurs. Il ne voulut pas cependant brusquer les choses. Aussi préféra-t-il entrer d’abord au grand séminaire de Luçon afin d’avoir tout le temps d’étudier son projet avec un directeur expérimenté et de le laisser mûrir. C’est ce qu’il fit au grand séminaire au cours de l’année scolaire 1928-1929.
Après avoir obtenu de l’évêque de Luçon l’autorisation de quitter le diocèse, il adressa sa demande d’admission le 1er juin 1929. Admis le 26 août, il entra à Bièvres le 12 septembre pour y continuer ses études. Ordonné prêtre le 1er juillet 1934, il reçut sa destination pour la Mission de Saïgon, au Sud Viêt-Nam que l’on appelait alors la Cochinchine. A cette époque, la mission de Saïgon était très vaste, car elle englobait un territoire divisé maintenant en huit diocèses.
En mission
Parti de France le 16 septembre 1934, le P. Pouclet arriva à Saïgon environ un mois plus tard. Le Vicaire apostolique de l’époque était Mgr Dumortier, un saint homme au profil d’ascète et que l’on voyait rarement rire. Le jeune P. Pouclet fut dirigé, peu de temps après son arrivée, sur la paroisse de Cai-Môn pour apprendre la langue vietnamienne et s’initier aux us et coutumes du pays. Il faut reconnaître qu’il ne fut jamais un vietnamisant distingué. Peut-être fut-il un peu négligent sur ce point. Peut-être aussi constata-t-il que l’usage de la langue française était assez répandu à travers toute la Cochinchine et qu’il n’était pas tellement nécessaire d’apprendre le vietnamien.
Au bout d’un an et demi environ, il quitta la paroisse de Cai-Môn pour le petit séminaire de Saïgon, où il enseigna pendant un an. C’était une fonction qui lui plaisait. Cependant au bout d’un an, il fut de nouveau envoyé en paroisse à Xuân-Hiêp, du côté de Vinh-Long. Mais en juillet 1937, il reprit son poste au petit séminaire. Il ne devait plus quitter le professorat jusqu’à son retour définitif en France le 5 avril 1975. Mais cette fonction, il la remplit en divers endroits en raison des circonstances. Il assura d’abord l’enseignement du français dans lès hautes classes au petit séminaire de Saïgon. Il assuma même la charge de supérieur de cet établissement de 1955 à 1962. A son retour de congé, en janvier 1963, il fut détaché au petit séminaire de Nhatrang. Il prit avec Mgr Piquet un engagement pour trois années scolaires. On pourrait se demander pourquoi le P. Pouclet ne continua pas son enseignement au petit séminaire de Saïgon. C’est que la situation avait changé. La direction et l’enseignement avaient été confiés au clergé vietnamien : évolution normale dans cette Eglise. Il en fut de même au grand séminaire. A Nhatrang, le P. Pouclet enseigna les mêmes matières qu’à Saïgon et avec le même succès. Son enseignement était apprécié et il était estimé des élèves.
En quittant Nhatrang au terme de son contrat, il prit un bref congé de quelques mois à titre « culturel ». A son retour, il fut affecté à l’école Sainte-Thérèse de Cholon dirigée par le P. Richard. Là aussi il enseigna le français jusqu’au mois de mai 1970, c’est-à-dire pendant près de 3 ans. C’est alors qu’il prit un congé normal qui se prolongea jusqu’au mois de novembre 1970.
A son retour au Viêt-Nam, il fut engagé par Mgr Seitz pour le petit séminaire de Kontum à Dalat. Pourquoi à Dalat ? C’était par mesure de sécurité, car n’oublions pas que nous étions en pleine guerre. Kontum n’était pas très sûr ; c’est pourquoi Mgr Seitz avait envoyé les petits séminaristes des hautes classes à Dalat qui semblait plus en sécurité. Ces élèves logeaient dans un foyer et suivaient les cours au Collège d’Adran, tenu par les Frères des Ecoles chrétiennes. C’est dans cet établissement qu’enseigna le P. Pouclet, de 1970 au mois de mars 1975. Mais bientôt le secteur de Dalat fut lui-même sérieusement menacé. Il fut donc décidé d’évacuer professeurs et élèves vers Saïgon, tant que la chose était encore possible. Après un voyage mouvementé, le P. Pouclet arriva à Saïgon le 30 mars 1975. Dès le 4 avril il prit place à bord d’un avion et regagna la France. C’était pour lui la meilleure solution, car dans cette situation troublée, il n’était plus question d’enseigner.
En France
Arrivé à Paris le 5 avril, il prit un temps de repos dans sa famille à Nantes, puis il se mit en quête d’un ministère. Pendant le mois de juin, il assura le remplacement du P. Leblanc à l’hôpital Saint-Jacques de Nantes. Pendant ce même mois, les tractations continuèrent avec le diocèse de Luçon et il fut nommé intérimaire à l’hôpital de Fontenay-le-Comte. Le P. Pouclet se donna à son ministère avec entrain mais au bout d’un an il fut obligé de constater que la charge était trop lourde. Aussi demanda-t-il un ministère moins pénible. C’est alors, en juillet 1976, qu’on lui proposa d’assurer le service religieux dans le Foyer-logement de Mareuil-sur-Lay. Après quelques hésitations il accepta ce poste. Au point de vue santé, tout alla convenablement bien jusqu’en octobre 1982. C’est alors que se manifestèrent des signes de fatigue plutôt cérébrale que physique, avec des comportements insolites dont il n’était pas responsable. L’évêque de Luçon fit savoir que le P. Pouclet ne pouvait plus rester à Mareuil. Il proposa la maison de retraite du Marilais qui accueillait les prêtres âgés du diocèse, tout en suggérant que la retraite à Montbeton serait meilleure pour le P. Pouclet qui s’y retrouverait avec de vieux amis. Tout avait donc été organisé pour le transfert du P. Pouclet à Montbeton, quand le 28 novembre on dut l’hospitaliser d’urgence à Luçon. Le docteur diagnostiqua un cancer du poumon avec un commencement d’envahissement du cerveau. Le mal ne pouvait qu’évoluer inexorablement. Le P. Pouclet reçut le sacrement des malades en toute lucidité le 23 décembre, et c’est le 26 décembre à 0 h 25 qu’il s’éteignit. L’aumônier de l’hôpital de Luçon qui l’assista jusqu’au bout tint à avertir immédiatement la Société par un coup de téléphone en pleine nuit. Ses obsèques eurent lieu à Mareuil le 28 décembre, suivies de l’inhumation au cimetière de cette petite ville.
Dans une lettre adressée au Père Supérieur général de l’époque, le P. Roncin, juste avant de quitter l’hôpital de Fontenay-le-Comte pour le Foyer de Mareuil, le P. Pouclet donne lui-même quelques précieuses indications sur sa personnalité, ses goûts, ses activités en dehors de son travail d’enseignement.
Tout au long de ses années de professorat, de son enseignement de la littérature, il avait collationné de nombreux documents sur un sujet : « Le Christ dans la littérature ». Son travail était presque fini. Il en avait commencé un autre sur « La Vierge dans la littérature ». Ce dernier travail était tout juste ébauché. Mais tout cela est resté à Dalat et donc est perdu, car lors de l’évacuation précipitée, il ne put emporter qu’un bagage très réduit. Il le regrette profondément et il ajoute : « Je ne crois pas avoir le courage de reprendre mes recherches. » En fait il n’en avait ni le courage ni les moyens. Pendant les années de son supériorat au petit séminaire de Saïgon, il traitait de ce sujet : « Le Christ dans la littérature », au cours de ses lectures spirituelles aux élèves.
Il était également philatéliste averti et possédait une très belle collection de timbres. Comme il l’avait à Dalat, il n’a pu en sauver qu’une partie et cela grâce au dévouement d’un confrère. Arrivé en France, il continua à collectionner et à échanger des timbres.
De plus le P. Pouclet était musicien, non seulement amateur et connaisseur en musique, mais il jouait de l’harmonium et de l’orgue. C’est lui qui monta, avec l’aide du P. Tricoire, l’orgue de la cathédrale de Saïgon que le P. Tricoire avait acheté d’occasion en France.
Ajoutons qu’il aimait jouer au billard quand il en avait l’occasion et qu’il avait acquis une véritable maîtrise de ce jeu. Une autre de ses distractions était de résoudre les mots croisés.
Telles sont les indications données par le P. Pouclet lui-même. Pour compléter ces indications, ajoutons d’autres détails donnés par un confrère qui a travaillé avec lui. « Le P. Pouclet fut un excellent professeur et peut-être à cause de cela il fut aimé de tous ses élèves. Au cours de mon voyage aux Etats-Unis, au Canada, en Belgique, au Luxembourg, j’ai rencontré beaucoup de ses anciens élèves. Tous, sans exception, m’ont demandé de ses nouvelles et on sentait chez eux vraiment une affectueuse vénération pour leur ancien professeur. Le P. Pouclet était très sensible et, si ses élèves l’aimaient, c’est sans doute parce qu’ils se sentaient aimés de lui, mais l’affection du Père pour ses élèves ne l’a jamais empêché d’être juste et même sévère quand il le fallait. Mais jamais je n’ai entendu une critique de la part des élèves et cela est plutôt rare. Le P. Pouclet n’était pas simplement bon professeur, il était aussi un prêtre pieux et fidèle à ses exercices spirituels. »
En définitive, le P. Pouclet a travaillé toute sa vie à la formation du clergé vietnamien. Ce faisant, il a bien répondu à sa vocation missionnaire, car tel est le but principal de la Société. Aussi, espérons-nous fermement qu’il a été bien accueilli par le Christ-Jésus, le Souverain Prêtre.
~~~~~~~
Références
[3514] POUCLET Paul (1909-1982
Références biographiques
AME 1934 p. 127. photo p. 222. 1935 p. 253 (art.). CR 1934 p. 233. 1957 p. 52. 1958 p. 52. 1961 p. 54. 1962 p. 65. 1963 p. 73. 1964 p. 37. 1965 p. 73. 1966 p. 87. 93. 1969 p. 76. BME 1929 p. 576. 1934 p. 659. 660. 813. 892. 1936 p. 152 (art.). 1937 p. 884. 1938 p. 371 (art.). 579 (art.). 1940 p. 818. 1941 p. 348. 565. 693. 1948 p. 214. 219. 1949 p. 19. 1950 p. 203. 1951 p. 68. 499. 1954 p. 910. 1054. 1955 p. 370. 1956 p. 561. 1957 p. 266. 1959 p. 278. 979. 1961 p. 675. EPI 1962 p. 490. 1964 p. 235. 1966 p. 137. Enc. PdM. 2P2. ECM 1945 p. 254. 1946 p. 59. Hir. N° 112. 120. EC1 N° 179. 293. 444. 449. 564. 573. 654. 715. 726. 775. NS. 6/C3. 22P149. 32/C2. 37/C2. 38P49. 44P238. 52P147. 55P249. 64/C2. 65P211. 66/C2. 85/C2. p. 130. 131. 133. 90P305. 91P334. 170/C2. A-82/123ss.
Septembre 1994
Mémorial POUCLET Paul, Aimé, Marcel