Henri MORA1911 - 1975
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 3558
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Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Japon
- Région missionnaire :
- 1936 - 1948 (Osaka)
- 1957 - 1961 (Osaka)
- 1963 - 1975 (Osaka)
Biographie
[3558] MORA Henri, Marie, Jean, Bertrand, est né le 10 mars 1911 à St Paul-les-Dax, au diocèse de Dax (Landes). Il fit ses études primaires à l'école des Frères à Dax et ses études secondaires au collège N.D. du Sacré Coeur. Le 26 juin 1928, il fit sa demande d'entrée aux Missions Étrangères, et, le 11 novembre il devint aspirant au Grand Séminaire de Bièvres. Il fut ordonné sous-diacre le 2 juillet 1933, diacre le 23 décembre, et reçut l'onction sacerdotale des mains de Mgr. Matthieu, évêque d'Aire et de Dax, le 2 juillet 1934 à Dax même. Son état de santé ne lui permettant pas de partir aussitôt en mission, Mgr. Matthieu lui confia un petit poste dans son diocèse. Au mois de juillet 1936, le Père Mora, s'étant suffisamment rétabli, reçut sa destination pour la mission d'Osaka. Parti le 15 septembre 1936, il arriva à Kobé le 25 octobre.
Après avoir étudié la langue à Takatori pendant deux ans, il fut nommé, en juin 1938, à la paroisse de Sumiyoshi. Puis, en novembre 1939, il fut chargé du poste de Kôri : il y resta durant toute la guerre du Pacifique. Il mit à profit ses loisirs pour écrire une Vie de Notre Seigneur" destinée aux Soeurs de Nevers. La paix revenue, le Père Mora assuma la charge de supérieur du Séminaire d'Osaka, à Sékimé, d'avril 1946 au mois de mars 1948. C'est alors qu'au cours d'un congé en France, le Supérieur général lui demanda de venir compléter, à titre provisoire, le corps professoral au Séminaire de la rue du Bac, et d'y enseigner le Droit Canon et l'Histoire de l'Église. Il profita de son séjour dans la capitale pour suivre des cours à la Sorbonne et pour s'occuper des chrétiens japonais de plus en plus nombreux à Paris.
Au début de l'année 1957, le Père Mora put revenir au Japon. Mais dès son arrivée, le 10 mars, l'internonce lui demanda de prendre la charge de secrétaire de l'Internonciature. Il y resta huit mois. En janvier 1958 il rejoignit Kobé et fut nommé à Nada. Tout en étant curé de cette paroisse, il assura l'aumônerie du groupe des médecins chrétiens. De 1958 à 1961, il assura la charge de supérieur local. Au mois de juillet 1961, le supérieur général fit de nouveau appel au Père Mora pour prendre à Rome la charge d'assistant-procureur. Il ne réussit pas à s'adapter à cette situation et il donna sa démission.
En mars 1963, il revint au Japon et fut nommé curé de la paroisse de Suma. Tout en assurant son ministère, il enseigna, à partir de 1968, la langue et la littérature française à l'Université "Sapientia", et fit partie du Conseil presbytéral d'Osaka. Malheureusement, au cours de l'année 1975, sa santé, qui était toujours demeurée délicate, s'altéra sensiblement. Il quitta Suma pour se retirer chez les Frères de St Jean de Dieu. Il s'endormit dans la paix du Seigneur le 29 décembre 1975.
Nécrologie
Père Henri MORA
Missionnaire au Japon
1911 - 1975
Né le 10 mars 1911 à St-Paul-lès-Dax.
Entré aux Missions Etrangères en novembre 1928.
Prêtre le 2 juillet 1934.
Au Japon de 1936 à 1948.
Professeur à Paris de 1948 à 1956.
Au Japon de 1957 à 1961.
Assistant-Procureur à Rome 1961-1963.
Au Japon de 1963 à 1975.
Décédé à Kôbé le 29 décembre 1975.
Jeunesse et préparation au sacerdoce
Henri MORA naquit le 10 mars 1911 à St-Paul-lès-Dax dans une famille profondément chrétienne. A témoin ce qu’écrivait le Supérieur de N.-D. du Sacré-Cœur le 12 juin 1928 : « Avant-hier au soir, cet enfant (H. Mora) a déclaré son choix de vie à son père et à sa mère, qui, respectueux du droit éminent de la paternité divine, inclinent leur volonté devant elle et acceptent généreusement le sacrifice que Dieu leur demande. Ils ne se reconnaissent pas le droit d’avoir sur leur enfant d’autres desseins que ceux de Dieu lui-même. Ils ont pleuré à cette ouverture, mais au plus profond de leur cœur, ils sont contents ».
Après ses études primaires à Dax, chez les Frères, c’est au collège N.-D. du Sacré-Cœur qu’il entra pour ses études secondaires, comme son frère aîné Pierre-Joseph. Ainsi qu’on vient de le voir, c’est dans ce collège que naquit sa vocation sacerdotale et missionnaire. Aussi pour répondre à l’appel du Seigneur, il fit sa demande d’entrée aux Missions Etrangères le 26 juin 1928. C’est le 11 novembre qu’il entra à Bièvres après avoir passé avec succès, en octobre, son baccalauréat de philosophie universitaire. Comme il avait déjà fait une année de philosophie, il ne reste à Bièvres que deux ans. Il continua ses études à Paris ; mais sa santé, assez déficiente, l’obligea à rentrer en famille quelques mois avant son ordination sacerdotale. C’est pourquoi il ne participe pas le 1er juillet 1934 à l’ordination à Paris avec les confrères de son cours, mais fut ordonné prêtre le 2 juillet par Mgr Mathieu, évêque d’Aire et Dax, dans la chapelle du collège N.-D. du Sacré-Cœur, ce collège où il avait fait ses études. Son état de santé ne lui permettait pas de partir immédiatement en mission. Il reçut les soins voulus clans sa famille et au bout de quelques mois, Mgr Mathieu lui confia un petit poste dans son diocèse. Ainsi tout en consolidant sa santé, il put rendre des services appréciés et s’initier au ministère. Au mois de juillet 1936, le docteur jugea son état satisfaisant. Henri Mora reçut donc sa destination pour la mission d’Osaka, district de Kôbé.
Au Japon
Parti le 15 septembre 1936, il arriva à Kôbé le 25 octobre. Après avoir étudié le japonais à Takatori pendant deux ans, il fut chargé de la paroisse de Kôri. En 1939, nous le trouvons à la paroisse de Sumiyoshi, dans la ville de Kôbé. Souvent dans la suite il parlera de ce poste qu’il a particulièrement aimé. Attention de la Providence : l’abbé Wada, fils du catéchiste de cette paroisse, l’assistera à ses derniers moments. De 1939 à 1946, pendant la guerre, il est curé de la paroisse de Kôri ; il se dévoue au service de ses paroissiens, particulièrement de la jeunesse. Parmi les jeunes gens dont il s’occupa à l’époque, deux deviendront prêtres plus tard, les Pères Ozono et Murata. – Les circonstances imposent parfois des changements. C’est ainsi que, du mois d’avril 1946 jusqu’au mois de mars 1948, il assuma la charge de supérieur du séminaire d’Osaka, à Sekime.
Professorat en France
Le P. Mora était au Japon depuis bientôt 12 ans. Il fut alors autorisé à prendre son premier congé. Il se reposait tranquillement dans sa famille quand les Supérieurs de la Société firent appel à lui pour compléter le corps professoral au séminaire de Paris. Ce ne devait être, en principe, que tout à fait temporaire. Mais ce « provisoire » dura huit ans ! Le P. Mora fut professeur de Droit canonique et d’Histoire de l’Eglise, de novembre 1948 à juin 1956, et cela avec succès. Un confrère qui l’a connu à cette époque écrit : « Je sais que ses élèves étaient contents de lui, le trouvaient intéressant : ce qui, à cette époque déjà, était assez remarquable ». Le Père Mora ne se cantonnait pas dans sa fonction de professeur et de directeur. Il prépara aussi et obtint un certificat d’études générales en Sorbonne, en vue d’une licence. Il ne fit pas cette licence, mais son certificat lui fut utile plus tard pour l’enseignement du français et de la littérature française à l’université diocésaine « Sapientia ». Pendant un certain temps il remplit aussi les fonction de greffier à l’Officialité de Paris.
Aumônerie japonaise
Depuis 1950, un bon nombre de Japonais venaient en France, surtout comme étudiants. Ces Japonais étaient assez désemparés à leur arrivée. C’est pourquoi le P. Mora fut amené à s’occuper d’eux pour les aider à de multiples points de vue. C’est ainsi que peu à peu prit naissance l’Aumônerie japonaise de Paris. Le P. Mora en a relaté toute la genèse dans un article du Bulletin des Missions Etrangères, en janvier 1957.
Retour au Japon
Cette aumônerie qu’il avait fondée, le P. Mora devait la quitter au début de 1957 pour regagner le Japon qu’il portait dans son cœur. Arrivé à Kôbé le 10 mars, jour de son anniversaire, il a tout juste le temps de prendre contact avec la communauté que l’Internonce, Mgr de Furstemberg, le réclame à Tôkyô. Dès le début d’avril il est à son poste de secrétaire. Mais cette collaboration, hautement appréciée, ne devait cependant durer que huit mois. A la mi-janvier 1958, le P. Mora rejoint Kôbé et est mis en charge de la paroisse de Nada. Bien sûr ce fut pour lui une joie. Mais les roses ne vont pas sans épines. C’est au mois de mars 1958, en effet, qu’il eut la douleur de perdre son père. – Les paroisses au Japon, ne comptent pas, hélas ! un bien grand nombre de chrétiens ; de plus elles sont relativement proches les unes des autres et les moyens de communication très développés. Aussi un curé de paroisse peut-il confier temporairement ses ouailles à un confrère et s’absenter pour quelques semaines. C’est ce que fit le P. Mora pour aller en Corée. Depuis quelques années, des prêtres d’Europe et même des évêques acceptent volontiers d’aller animer des retraites en Extrême-Orient. A cette époque, il n’en allait pas de même. On cherchait quelqu’un « dans les environs ». C’est ainsi que le P. Mora fut invité à « donner les exercices de la retraite » aux confrères de Corée. Ses instructions furent appréciées, si l’on en croit le chroniqueur de l’époque, et il n’y a aucune raison de ne pas ajouter foi à ce que rapporte la chronique. C’est aussi en cette année 1958 qu’eut lieu la bénédiction de l’église de Nada.
Chaque mois les missionnaires de Kôbé, et en général dans la plupart des missions, ont l’habitude de se réunir pour un temps de détente et de « ressourcement » spirituel et pastoral. C’est à l’occasion de ces réunions mensuelles que le P. Mora, bien au fait des questions canoniques, fit toute une série de conférences sur le mariage : ce qui permit aux confrères de renouveler ou de préciser leurs connaissances en cette matière fort complexe tant au point de vue du droit canonique que de la législation civile. – C’est aussi dans ces mêmes temps, de 1958 à 1961, qu’il prit la charge d’aumônier du groupe de médecins catholiques d’Osaka. C’est encore dans ces années, de 1959 à 1961 qu’il fut supérieur local de la communauté de Kôbé.
Rome
Tout allait pour le mieux. Le P. Mora, malgré une santé médiocre, s’était bien réacclimaté au Japon. Son apostolat était varié et fructueux. Il vivait avec joie sa vie missionnaire quand, au mois de juillet 1961, il fut rappelé en Europe afin de prendre à Rome la fonction d’assistant procureur. Arrivé en France en octobre, il était à pied d’œuvre à Rome en novembre 1961. Cet « intérim » dans sa vie missionnaire ne devait durer que jusqu’au mois de janvier 1963. Il ne réussit pas à s’adapter à cette nouvelle situation. Aussi donna-t-il sa démission et les supérieurs de l’époque jugèrent nécessaire de l’accepter.
De nouveau au Japon
Tout heureux il rentra au Japon au mois de mars 1963. C’est alors qu’il prit en charge la paroisse de Suma qui comptait 184 catholiques. C’était peu pour occuper son homme. Aussi le P. Mora s’intéressa-t-il au mouvement œcuménique et cela de tout cœur et avec succès comme on le verra tout à l’heure. – Un des instruments efficaces de l’apostolat en Extrême-Orient est la Légion de Marie. Le P. Mora s’en occupe attentive¬ment à Suma et en 1967 il devint aumônier de la « Curia legionis » de Kôbé. – La paroisse de Suma, grâce au zèle de son pasteur se développe peu à peu. Elle compte, en 1970, 247 chrétiens ; 8 adultes ont reçu le baptême et 14 catéchumènes poursuivent leur préparation. – Il faut ajouter aux occupations pastorales du P. Mora : depuis 1968, il enseigne la langue et la littérature française à l’université Sapientia. Sur le plan ecclésiastique, il fait partie du conseil presbytéral diocésain d’Osaka et apporte à cet organisme un concours précieux.
Sa santé toujours délicate s’altéra sensiblement au cours de l’année 1973. Il quitta alors la paroisse de Suma et se retira chez les Frères de St-Jean-de-Dieu. Les deux dernières années de sa vie furent marquées par une souffrance qui alla en augmentant. Humain dans la souffrance, il laissait parfois sentir que l’épreuve était lourde, mais il l’offrait en sacrifice pour la cause de l’œcuménisme qui lui tenait à cœur.
Il est mort à Kôbé le 29 décembre 1975, quelques jours après le « Noël œcuménique » au succès duquel il s’intéressa jusqu’au bout sur son lit l’hôpital.
L’Homme – Le Prêtre – Le Missionnaire
Ce bref « curriculum vitae » nous montre déjà quelle fut la vie missionnaire du P. Mora, dans sa diversité. Ajoutons cependant quelques « notations » pour mieux dégager sa personnalité et son travail sacerdotal.
Le P. Mora était un homme doux, aimable, mais pas de tempérament mou. Il savait ce qu’il voulait et savait le dire avec une fermeté mêlée « d’urbanité » et d’une grande courtoisie qui transparaissait dans tout son comportement. Le Cardinal de Furstemberg sut l’apprécier lors de son bref séjour à l’Internonciature de Tôkyô. Quelques temps après la mort du P. Mora, il écrivait à son frère : « Sans vouloir décrire ses qualités, j’ai toujours admiré sa foi vive, sa distinction, sa grande droiture, sa charité, sa modestie. C’était un homme accompli et un prêtre dans toute la force du terme ». A cette appréciation qui a son poids, il faut ajouter chez le P. Mora une grande délicatesse. Il a le souci de ceux qui l’entourent, des plus pauvres que lui. Mais il ne veut pas « faire l’aumône », tant il a peur de gêner ceux qu’il peut aider. C’est toujours par personne interposée, après s’être renseigné, qu’il apporte son aide. Dieu seul sait combien de gens (et de pasteurs) il a ainsi secourus. Encore quelques jours avant sa mort, il s’inquiète des uns et des autres et confie à ses amis ses derniers désirs, ses dernières consignes pour soulager telle ou telle famille.
Un homme de travail
Il profite des moments libres, souvent imposés par les circonstances, pour travailler, s’enrichir et cela afin d’en faire profiter ses confrères, ses chrétiens et les communautés religieuses qu’il visite. Pendant la guerre, dans la paroisse de Kôri, les loisirs ne lui manquent pas. Il les met à profit pour écrire une « Vie de Notre Seigneur » en suivant la synopse de Lavergne et autres documents à sa disposition. Ce travail était destiné aux Sœurs de Nevers qui ont une grande école sur la paroisse de Kôri.
Passionné d’histoire, il se documente sérieusement sur l’histoire du Japon, sur les autres religions, spécialement le bouddhisme. Pendant de nombreuses années, il va visiter presque chaque semaine l’un ou l’autre temple surtout à Kyôto ou à Nara, mais il n’y va pas en touriste. C’est dans le but de parfaire sa culture et de pénétrer davantage dans l’âme japonaise. Plus que l’architecture des temples, ce qui l’intéresse, c’est l’histoire, la pensée, la philosophie. Aussi à l’occasion de ces visites, il entre en contact avec les bonzes pour élargir son information. – Pendant son temps de professorat à Paris, il a déjà acquis une sérieuse connaissance de l’histoire de l’Eglise. Rentré au Japon, il va continuer cette étude et orienter ses recherches vers le protestantisme et les diverses « églises chrétiennes » qui existent au Japon.
Apostolat œcuménique
S’il oriente ainsi ses études, c’est qu’il est fortement et de plus en plus animé par un « esprit œcuménique ». Les diverses « églises chrétiennes », issues du protestantisme ne manquent pas au Japon et cette division des chrétiens fait intensément souffrir le P. Mora. Il veut faire quelque chose. Ce souci œcuménique, il désire le faire partager aux autres. Il multiplie les contacts avec ses confrères des Missions Etrangères ; il en parle aux prêtres japonais ; il écrit des articles à ce sujet dans la revue diocésaine. Il intéresse les communautés religieuses à ce mouvement. Patiemment il noue des contacts avec les chrétiens des autres confessions, avec les pasteurs principalement. Payant largement de sa personne, il rend visite aux uns et aux autres, non pour convertir, mais pour converser, écouter, s’efforcer de dissiper l’ignorance et faire tomber le mur des préjugés. Il devient rapidement la cheville ouvrière du comité responsable des activités œcuméniques dans la ville de Kobé. Pendant 12 ans et jusqu’à sa mort, il a investi toutes ses énergies dans cet apostolat. Dans son entourage, parmi ses confrères, on ne le soutient pas toujours suffisamment mais il est équipé pour faire face au découragement et venir à bout des résistances. C’est toujours avec la plus grande délicatesse qu’il abordait les « frères séparés ». Aussi ne cessait-il de répéter : « Pour aider les pasteurs et les chrétiens des autres confessions, il faut les aimer ». Même pendant ses congés en France, il reste soucieux de ce mouvement œcuménique. Ainsi en 1971, lors de son dernier congé, il se documente, noue des relations au cours de visites à des églises protestantes aussi bien en France qu’en Suisse. Et tout cela afin d’acquérir une connaissance plus profonde de tout le mouvement œcuménique et animer davantage encore son apostolat au Japon. Et c’est à cet apostolat qu’il usera les dernières forces de sa vie ici-bas.
Aussi bien ses obsèques, le 30 décembre 1975, à l’église de Nakayamate à Kôbé furent-elles une véritable manifestation œcuménique. Ce fut l’adieu de ses amis à un ami : une centaine de prêtres représentant toutes les nationalités, de nombreuses religieuses, de très nombreux pasteurs protestants, 400 chrétiens de diverses paroisses, tous réunis autour de lui pour une prière commune et pour lui témoigner leur amitié : la fraternité chrétienne qu’il avait voulue durant sa vie, une image de l’Eglise qu’il avait entrevue et désirée. Ses confrères et amis comptent maintenant sur son intercession dans le ciel pour que cette unité arrive un jour à sa perfection.
d’après les notes des PP. Berhault et Bayzelon
et autres documents.
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Références
[3558] MORA Henri (1911-1975)
Références biographiques
AME 1936 p. 238. photo p. 284. CR 1936 p. 233. 1939 p. 17. 1949 p. 149. 1951 p. 115. 1957 p. 17. 87. 1961 p. 29. 1962 p. 38. 1963 p. 48. 1964 p. 20. 1965 p. 35. 36. 1966 p. 36. 37. 1967 p. 29sq. 1968 p. 122. 1969 p. 21sq. 1974-76 p. 28. 34. BME 1936 p. 688. 922. 923. 1937 p. 36. photo p. 41. 1938 p. 456. 601. 1940 p. 39. 40. 1948 p. 377. 1949 p. 33. 103. 355. 1950 p. 444. 1952 p. 199. 1956 p. 575. 640. 1957 p. 16. 451. 452. 535. 1958 p. 248. 352. 353. 447. 449. 534. 535. 640. 738. 743sq. 1959 p. 63. 278. 523. 524. 552. 643. 722. 852. 854. 856. 857. 1960 p. 76. 78. 161. 249sq. 352. 452. 629. 630. 713. 928. 1961 p. 66sq. 139. 215. 216. 299. 564. 666. 851. 920. 697. EPI 1962 p. 98. 200. 1963 p. 584. 850. 1965 p. 102. 245. 699. 1966 p. 261. 1967 p. 119. 121. MDA 1948 p. 38 (art.). photo p. 37. 1950 p. 60 (art.). 1951 p. 45 (art.). 1954 p. 182 (art.). R.MEP n°118 p. 45. 123 p. 48. 127 p. 48. 141 p. 53. Enc. PdM. 1P2. EC1 N° 158. 340. 462. 465. 467. 482. 500. 512. 598. 613. 654. 660. 700. 706. 726. NS. 4P110. 8P235. 42/C2. 47/C2. 93/C2. MEM 1975 p. 88.