Étienne MAMET1912 - 1976
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 3611
Identité
Naissance
Décès
Autres informations
Missions
- Pays :
- Chine
- Région missionnaire :
- 1938 - 1947 (Nanning)
- Pays :
- Malaisie - Singapour
- Région missionnaire :
- 1952 - 1964 (Malacca)
- Pays :
- Vietnam
- Région missionnaire :
- 1964 - 1975 (Saigon)
Biographie
[3611] Étienne MAMET a été missionnaire en Chine, en Malaisie et au Vietnam au milieu du XXe siècle.
Il naît le 30 juin 1912 aux Flins, diocèse de Besançon (Doubs). Il fait ses études primaires dans sa paroisse et ses études secondaires à N.D. de Consolation. En 1931, il se dirige vers le Séminaire de Faverney pour y étudier la philosophie. Puis en 1933, il fait sa demande d'entrée aux Missions Étrangères. Il est encouragé dans sa vocation par l'exemple des Saints Cuenot, Gagelin et Marchand originaires du Doubs.
Il arrive au Séminaire de Bièvres le 14 septembre 1933. Ensuite il vient à Paris, au Séminaire de la rue du Bac, pour ses études de théologie. Il est ordonné prêtre le 29 juin 1938. Destiné à la Mission de Nanning, au Guangxi (Kwang-si), il s'embarque à Marseille le 13 septembre 1938.
Chine (1938-1947)
Arrivé en Chine, il reste à l'évêché de Nanning pour y apprendre le dialecte cantonnais, dialecte qui est parlé par les Chinois de cette région. Au bout d'un an, il est envoyé à Paksha, au Petit Séminaire qui comptait 156 séminaristes. C’est l’époque de la guerre sino-japonaise, et il doit se rendre chez le Père Labully pour y soigner les blessés, victimes de la guerre. Il se donna de tout son cœur au soulagement de ces malheureux, aidé d'une vierge chinoise. Une trentaine de blessés demandent le baptême à l'article de la mort. En 1941, le Père Labully meurt et le Père Mamet devient curé du district. Malgré toutes les difficultés de la guerre, il poursuit le travail missionnaire, aidé par les religieuses de la Sainte Famille. Mais il ne dispose pas des catéchistes qu'il voudrait et il se tue à la tâche, si bien que sa santé se détériore et il est obligé de rentrer en France en 1947 pour se soigner.
France (1947-1952)
Ce n'est qu'en 1949 qu'il retrouve assez de forces pour faire un peu de ministère, comme aumônier dans le diocèse de Blois. Mais la nostalgie de la Chine s'empare de lui et il désire retourner à Nanning. Hélas, en Chine, les communistes ont pris le pouvoir et les missionnaires sont expulsés. Connaissant le cantonnais, il est affecté à la Mission de Malaisie, où il se rend, le 7 mars 1952 pour son nouveau champ d'apostolat
Malaisie Singapour (1952-1964)
Après un bref séjour à Kuala Lumpur, il part s'installer à Kajang, une localité au sud de Kuala Lumpur. Là, il trouve une église délabrée, en raison des bombardements japonais, et il se met à la tâche pour la démolir et en construire une nouvelle, qu'il dédie à la Sainte Famille. La nouvelle église est bénie par Mgr Vandergon en 1956.
À cette époque, on a besoin de lui pour aller sur la montagne de Cameron Highlands, à Tanah Rata, pour tenir la maison régionale. Arrivé en 1957 dans cette maison d'altitude, il est également chargé des chrétiens travaillant dans les plantations de thé ou travaillant dans les nombreux jardins aménagés par les Chinois dans les environs.
En 1958, il a l'ordre de regagner Singapour. Il est affecté au service des Procures, et devient l'adjoint du P. Duquet à la Procure de Singapore. Il reste là une dizaine d'années, heureux de pouvoir rendre service également à la paroisse Ste Bernadette dans le quartier. Il ne quitte Singapour que pour un petit séjour à Saïgon, pour remplacer le P. Savel durant son absence pour son congé en France. En 1964, ce dernier est rappelé à Paris, et le Père Mamet part le remplacer à Saïgon comme Procureur.
Vietnam (1964-1975)
Toujours prêt à rendre service, le Père Mamet ne sait pas suffisamment mesurer ses forces, et tombe malade. Toutefois, il ne peut rentrer en France qu'en 1975, alors que les événements politiques et militaires en Indochine forcent les missionnaires à quitter le pays.
France (1975-1976)
Rapatrié en mars 1975, il se retire à Montbeton, et c'est là qu'il meurt le 20 janvier 1976.
En Chine, en Malaisie, au Vietnam, le Père Mamet fut entouré de l'affection de tous. Il fut bon pour tous, tout en étant porteur de joie et de paix. Dans les heures tragiques du Vietnam, pendant les dernières années, combien de confrères arrivant à Saïgon, fatigués, inquiets, parfois angoissés, ont retrouvé le calme après plusieurs heures de conversation avec le Père Mamet, car il était l'homme de l'accueil, et cela dans tous les postes où il est passé.
Nécrologie
Père Etienne MAMET
de l’Administration générale
1912 - 1976
Né le 30 juin 1912 aux Fins (Doubs).
Entré aux Missions Etrangères en 1933.
Prêtre le 29 juin 1938.
En mission à Nanning (Chine) de 1938 à 1947, en Malaisie de 1952 à 1958.
Au service des Procures de 1958 à 1975.
Décédé à Montbeton le 20 janvier 1976.
Enfance et jeunesse
Etienne MAMET naquit le 30 juin 1912 aux Fins, dans le Doubs, au diocèse de Besançon, dans une famille profondément chrétienne et attachée aux traditions.
Dès son enfance, on lui inculqua le sens de la transcendance de Dieu, le sens de l’Eglise et celui de l’engagement au service de la Cité. Sa mère, Marguerite Roland, sous une allure austère, était comme on dit : « la maman », celle à qui l’on confie tout. Son père, Constant Mamet, était exigeant pour lui-même et pour les autres. Il sut transmettre à chacun de ses enfants le sens du devoir et de la famille.
Etienne était le second d’une famille de huit enfants. En lui, rien de particulier, il ressemblait à tous les jeunes garçons de son époque et de son milieu. Montagnard dans l’âme, il savait, dès son jeune âge, braver le froid, la neige et la distance pour aller servir la messe très matinale du curé du village.
Après ses études primaires à l’école de la paroisse, il entra en 1924 au petit séminaire de Consolation. Toute vocation reste en partie mystérieuse. Cependant, il semble qu’Etienne entendit de bonne heure l’appel du Seigneur. Au dire de l’une de ses sœurs, « Etienne semble être né avec la vocation sacerdotale et missionnaire ». Au séminaire de Consolation, il rencontra des difficultés dans ses études : il dut redoubler des classes, mais il ne se découragea jamais. Il fut soutenu dans ses efforts par son oncle Laurent MAMET, curé de Vesoul, puis archiprêtre de Gray.
Ses études secondaires achevées, c’est tout naturellement qu’il se dirigea en 1931 vers le séminaire de philosophie de Faverney. A la fin de ses deux années do philosophie, en 1933, il fit sa demande d’entrée aux Missions Etrangères.
Son désir d’être missionnaire remontait à plusieurs années en arrière. Il note, en effet, dans sa demande d’entrée datée du 5 août 1933 que c’est dès les premières années du petit séminaire qu’il a pensé aux missions, car on en parlait souvent à la maison ; beaucoup de missionnaires des Missions Etrangères sont originaires du diocèse de Besançon. Il a d’ailleurs pour cela une raison toute particulière : il désire suivre les traces d’un membre de sa famille, le Père Alfred Roland, missionnaire au Setchoan et mort en 1875, après seulement quelques années de mission. De plus son père a une sœur religieuse-enseignante au Japon.
Il est également encouragé dans sa vocation par l’exemple et le souvenir des Bienheureux Cuenot, Gagelin et Marchand, originaires du diocèse.
Pour appuyer sa demande, le supérieur de Faverney envoie des notes favorables et ajoute comme remarques : « Quand l’élève aura trempé plus vigoureusement sa volonté et se sera exercé à étudier avec plus de méthode, il sera, avec la grâce de Dieu, un bon missionnaire ».
Aux Missions Etrangères - En Mission en Chine
Etienne Mamet fut donc admis et il entra au séminaire de Bièvres le 14 septembre 1933 pour y faire sa première année de théologie. Celle-ci achevée, il accomplit son service militaire comme infirmier à l’Hôpital de Belfort.
Après quoi, il rentra au séminaire de Paris pour y continuer sa préparation au sacerdoce et aux missions. C’est le 29 juin 1938 qu’il fut ordonné prêtre.
Suivant la coutume de l’époque, il reçut le soir même sa destination pour la mission de Nanning au Kwangsi (Chine du Sud). Et le 13 septembre il s’embarquait avec 18 compagnons destinés comme lui aux missions d’Extrême-Orient. Parmi eux se trouvait le Père Leblanc affecté également à la mission de Nanning.
Cette mission est très dure et les populations, parlent plusieurs dialectes chinois, entre autre le mandarin et le cantonais. Il faut donc « spécialiser » les missionnaires. Le Père Leblanc fut envoyé à Lui-Chow pour étudier le mandarin, tandis que le Père Mamet resta à l’évêché pour se consacrer au cantonais. Toute sa première année se passa à l’étude de ce dialecte. Une fois qu’il fut en possession d’un assez bon bagage de langue, il fut envoyé au petit séminaire de Paksha qui comptait 16 séminaristes ; il devait y rester jusqu’en 1941. C’est une période très troublée par la guerre sino-japonaise...
Tout en se consacrant à l’enseignement des séminaristes, le Père Mamet se livre au ministère pour aider le Père Bacon qui est à la tête de ce district. Au mois de juin 1940 ils administrent le baptême à 74 néophytes préparés par le P. Bacon.
Mais auparavant, au mois de mars, le P. Mamet est allé passer deux mois chez le Père Labully, âgé et fatigué. Pendant cette période il s’est surtout livré au soin des blessés, victimes de la guerre... Ils arrivent en grand nombre à la mission et sont le plus souvent dans un état déplorable. Avec le concours des religieuses de Notre-Dame des Anges et d’une vierge chinoise, il se donne de tout cœur au soulagement de ces malheureux et cela dans des conditions plus que précaires. Les religieuses et lui pansent les blessures tandis que la vierge chinoise instruit et baptise ceux d’entre eux qui sont sur le point de mourir et qui acceptent le baptême... Une trentaine de blessés reçurent ainsi le baptême en un mois...
Ce genre de ministère plaisait beaucoup au Père Mamet, mais il ne pouvait rester plus longtemps auprès du Père Labully. Il lui fallut rejoindre le petit séminaire.
Le P. Labully chargé provisoirement du grand district de Kweilisien réclamait de l’aide... Aussi le P. Mamet lui fut-il envoyé en 1941. D’abord vicaire, il fut bientôt en charge du district car le P. Labully mourut le 23 mai 1941.
Le compte rendu de 1945-1946 note : « A Kweihsien, 167 kilomètres à l’est de Nanning, gros ravages parmi les chrétiens à cause de la guerre. Le P. Mamet espère les ramener dans le droit chemin ; il escompte aussi que va s’affermir le mouvement de conversion qui se dessine dans un secteur de son district. Il est aidé dans son ministère par les religieuses de la Sainte-Famille. Mais elles’ ne peuvent suffire à la tâche, d’autre part, il se plaint de ne pas avoir assez de catéchistes... ses ressources ne lui permettent pas d’en avoir davantage. »
Le travail missionnaire se poursuit malgré toutes les difficultés de la guerre. Le P. Mamet s’y donne à plein cœur, tant et si bien que sa santé n’y résiste pas. Aussi en 1947 est-il obligé de rentrer en France pour se soigner.
Séjour en France
Arrivé en France en novembre 1947, il mit du temps pour se rétablir. Ce n’est qu’en 1949 qu’il prit du ministère comme aumônier dans le diocèse de Blois. Dans une lettre datée de 1950, il se dit en bonne santé et prêt à regagner le Kwangsi. Mais la situation a évolué... Les communistes chinois ont gagné la partie et les missionnaires étrangers sont expulsés. Que va devenir le Père Mamet ?
En mission en Malaisie
Comme il connaît le chinois cantonais, il est affecté à la mission de Malaisie. Il quitte la France le 7 mars 1952 pour son nouveau champ d’apostolat. Il travaille d’abord à Kuala Lumpur, mais bientôt s’installe à Kajang, localité située à quelques kilomètres de Kuala Lumpur ; en même temps, il a la charge de plusieurs postes voisins.
A Kajang, l’église vétuste a été sérieusement secouée par les bombardements lors de la guerre anglo-japonaise : elle menace ruine. Aussi le Père Mamet ne voit d’autre solution que de la démolir pour en reconstruire une autre. Les Anglais se disent prêts à payer les dépenses de cette construction. Le P. Mamet se met donc au travail et construit une église « triangulaire » consacrée à la Sainte Famille. Cette église fut bénite en 1956 par Monseigneur Vendargon, l’évêque du diocèse de Kuala Lumpur.
Mais le Père Mamet ne devait pas jouir longtemps de cette nouvelle église. En 1957, il est envoyé à Cameron Highlands, station d’altitude ; il est en charge des chrétiens de cette localité et des environs ; il est aussi « hôtelier » à la maison régionale située dans cette région fraîche.
Tout le monde louait ses qualités d’accueil et aimait à bénéficier de ses services.
Au service des Procures
Cependant, d’autres urgences se manifestèrent et une fois de plus le P. Mamet fut obligé de déménager... Il fut affecté au service des procures qui manquait de personnel.
En 1958, il regagna Singapore comme adjoint du Père Duquet à la procure de cette ville. Sans rien négliger de son travail à la procure, le P. Mamet était heureux de rendre service à la paroisse Sainte-Bernadette pour divers ministères ; ce qui lui donnait l’occasion d’utiliser son chinois... il devait rester à ha procure de Singapore une dizaine d’années, sauf un petit séjour à Saigon pour remplacer le Père Savel pendant son congé en 1959.
Son congé terminé, le Père Savel reprit ses fonctions à Saigon... Mais, en 1964 il fut rappelé à Paris et c’est le Père Mamet qui le remplaça à Saigon. Tout en assurant le service de la procure et en rendant de multiples services aux confrères des missions de l’intérieur, il aimait aussi faire un peu de ministère auprès des Chinois de Cholon.
Toujours prêt à rendre service, le Père Mamet ne savait pas suffisamment mesurer ses forces, si bien que sa santé s’altéra gravement. Tout en restant à Saigon, il était pratiquement retiré depuis 1972. Il aurait voulu demeurer à Saigon et y mourir, mais en raison des événements d’une part et de son état de santé d’autre part, il dut se résigner à rentrer en France.
Il fut rapatrié en mars 1975. Après un petit séjour en Franche-Comté, il se retire à Montbeton et c’est là qu’il mourut le 20 janvier 1976. Il repose au milieu de ses confrères qui comme lui ont dépensé leur vie au service des missions en Extrême-Orient...
*
* *
Le 14 février 1976, un service fut célébré à sa mémoire dans sa paroisse natale, aux Fins. Le Père Dozance, ancien Supérieur régional au Sud-Vietnam, fit l’homélie. En voici quelques extraits qui caractérisent bien l’homme et le prêtre que fut le Père Mamet :
« Il plongeait profondément ses racines dans ce terroir des Fins et dans sa famille.
« C’est avec amour qu’il nous parlait de son petit village, de sa maison familiale, de celle qui était sur la montagne, la vraie. Cet attachement à la famille, nous l’avons particulièrement ressenti lorsque, il y a quelques années, il reçut une photo de toute la famille rassemblée. Il était fier de nous la montrer et de nous détailler le degré de parenté de chacun. Lorsqu’il apprenait le décès de l’un des siens son chagrin était silencieux, mais profond.
« Cet enracinement dans le sol natal et dans la famille est très important pour le missionnaire ; il sera déterminant dans son action auprès des peuples au milieu desquels il exerce son ministère.
« Cet enracinement a permis au Père Mamet de s’intégrer pleinement au peuple auquel il fut envoyé, lui apportant toutes les qualités de la race.
« Ces peuples d’Asie sont intuitifs : ils sentent intensément les sentiments profonds qu’on a pour eux et ils y répondent en conséquence. L’amour que leur portait le Père Mamet était profond, ils y répondirent par un très grand attachement et un grand dévouement.
« En Chine, en Malaisie ou au Vietnam, le P. Mamet fut entouré de l’affection et de l’estime de tous. Certains même ont abusé de sa grande bonté, sachant qu’il ne leur refuserait aucun service...
« Il était porteur de joie et de paix ; il savait créer une ambiance de joie et ainsi ramener le calme dans les esprits… Dans les heures tragiques que nous avons vécu au Vietnam pendant ces dernières années, combien de confrères arrivant à Saigon fatigués, inquiets, angoissés parfois ont retrouvé le calme après quelques heures de conversation avec le Père Mamet, car il était l’homme de l’accueil et cela dans tous les postes où il est passé.
« Il savait recevoir, il savait écouter et donnait toujours à ses visiteurs l’impression qu’ils étaient attendus et qu’il avait tout son temps pour les écouter et les aider…
« Il aimait tout le monde et s’il savait recevoir des personnes de qualité avec beaucoup de délicatesse, sa préférence allait aux petits et aux faibles.
« A ceux qui ont tout quitté pour l’Evangile, le Seigneur a promis la vie éternelle. Nous ne pouvons pas mettre en doute cette parole.
Le Père Mamet a reçu la récompense éternelle. Là réside notre consolation dans notre chagrin ». (P. Dozance).
De son côté, une de ses nièces a bien voulu nous livrer ses impressions :
« Aux yeux de la famille, il était devenu une autre nature. Il s’était fait Chinois avec les Chinois ».
« Tout ce qui le concernait était tellement discret qu’il donnait l’impression d’en dire plus long par son silence que par ses paroles. En fait, est-il encore possible de parler lorsqu’on communie à la souffrance d’un peuple meurtri et à qui l’on a donné. tout ce que l’on est ?
« La pauvreté du missionnaire, expulsé nous a tous frappés. Est-il possible de vivre avec autant de radicalité cette vertu évangélique sans l’Amour ?
« Etienne n’a-t-il pas, malgré ses faiblesses, à la suite du Christ, observé le plus beau commandement : « Y a-t-il plus grand amour, que de donner sa vie pour ceux que l’on aime ? »
« Il ne lui a pas été accordé la grâce du martyre, mais celle de se renoncer jusqu’au sacrifice de tout lui-même. Dieu sait tout et l’a accueilli comme un fils ».
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Références
[3611] MAMET Étienne (1912-1976)
Références bio-bibliographiques
AME 1938 p. 224. CR 1938 p. 235. 1940 p. 68. 131. 1947 p. 48. 177. 1952 p. 64. 1954 p. 66. 1957 p. 68. 1958 p. 93. 1963 p. 23. 1969 p. 80. 1974-76 p. 261. BME 1933 p. 883. 1937 photo p. 791. 1938 p. 635. 789. 693. 1939 p. 203. 1940 p. 278. 496. 535 (art.). 536. 557. 615. 696. 697. 751. 1941 p. 338. 1948 p. 50. 228. 229. 234. 342. 1949 p. 644. 1950 p. 689. 1952 p. 278. 1953 p. 50. 1954 p. 683. 689. 691. 809. 1955 p. 933. 1000. 1956 p. 909. 1084-1087. 1958 p. 464. 465. 518. 519. 520. 634. 1072. 1959 p. 267. 980. EPI 1962 p. 696. 1963 p. 873. ECM oct/42 p. 154. fév/45 p. 98. oct/45 p. 193. 224. EC1 N° 272. 383. 458. 515. 648. EC2 N° 6/C3 - 10P303 - 15P15 - 16P49. 51 - 17/C2 p. 83 - 26P22 - 38P48 - 50P81 - 57P305. 306 - 61P84 - 85/C2 p. 131 - 86P176 - 90P307 - 91P334 - 94/C2 - 95P112. MEM 1976 p. 9.