Germain GROS1879 - 1936
- Status : Prêtre
- Identifier : 2647
Identity
Birth
Death
Other informations
Missions
- Country :
- China
- Mission area :
- 1902 - 1936
Biography
[2647] GROS Germain est né le 23 avril 1879 à Ruffieux, diocèse de Chambéry (Savoie). Quand il atteignit ses 13 ans, son père mourut, et à cette époque un oncle d'Amérique lui proposa de l'emmener en Argentine et de lui léguer son héritage. Germain refusa, car il préférait prendre une autre voie. Il entra au Petit Séminaire de Chambéry pour ses études secondaires et, le 16 septembre 1897, il entra aux Missions Étrangères de Paris. Il fut ordonné prêtre le 22 juin 1902. Il reçut sa destination pour la Chine et partit le 30 juillet 1902 pour le Kouy-tchéou.
On était au mois de septembre quand il arriva à Shanghai. Là, il continua à apprendre le chinois. À cette époque, les eaux grossies du Fleuve Bleu empêchaient un voyage vers l'intérieur. Le nouveau missionnaire dut attendre la décrue des eaux pour prendre un bateau anglais à destination de Kan'kéou. Puis nouveau départ sur un vaisseau américain qui le conduisit à Itcang. Là, il fut reçu par les Franciscains belges. Enfin, il fallut voyager en barque chinoise, pour remonter à la voile ou à la corde le cours terrible du Yang Tse Kiang. Au bout de 24 jours, il atteignit Chungking. Après trois jours de repos à la Mission Catholique, il reprit le chemin avec un compagnon et désormais ce fut en palanquin qu'il dut voyager. Le dimanche de Gaudete, en décembre 1902, le clocher de la cathédrale de Kweiyang apparut enfin, et les arrivants tombèrent entre les bras paternels de Mgr. Guichard.
Le Père Gros se mit aussitôt à l'étude de la langue chinoise, et dès le 19 mars, c'est-à-dire trois mois après son arrivée, il donna son premier sermon dans la cathédrale de Kweiyang. Il fut alors nommé vicaire du Père Palissier à Suyang, au nord de la mission. Bientôt il dut mettre une sourdine à son ardeur et à son zèle. Il commença à vomir du sang. Son évêque, Mgr. Guichard, lui conseilla d'aller à Hongkong. On le soigna et il put revenir dans sa mission en automne 1905. Il fut alors nommé à Kweiyang à l'École Probatoire et en même temps chargé de la paroisse St Étienne. Là, il vit le nombre de ses chrétiens augmenter. Il reconstruisit la chapelle en la rendant plus spacieuse. Quant aux bâtiments de l'École Probatoire devenus trop étroits, il voulut les agrandir. La chose était compliquée, parce que, d'un côté il y avait une pagode et, de l'autre côté un temple des ancêtres. Il fallut négocier, et grâce aux prières des enfants et à l'aide d'un ami influent, il réussit à acquérir le terrain convoité. Devant le nouveau bâtiment, il organisa une belle cour avec perspectives sur de riantes montagnes.
Beaucoup d'élèves, après leurs études, se dirigèrent vers le Petit Séminaire, et aujourd'hui un certain nombre de prêtres chinois doivent à M. Gros leur première formation.
Après 15 ans de professorat, M. Gros fut nommé Procureur de la mission. Il fit construire un bâtiment destiné à recevoir les confrères de la mission. Également, il fit reconstruire l'hôpital des miséreux, où se donnent chaque année un bon nombre de baptêmes in articulo mortis.
En 1931, il prit son congé en France, où il se soigna et se reposa dans sa famille en Savoie. Puis, revenu à Kweiyang, il retrouva son travail de Procure, et on lui confia encore la charge de l'aumônerie du Couvent Notre Dame des Anges et des Soeurs chinoises du Sacré Coeur.
En 1934, il fit le voyage de Hongkong pour consulter un spécialiste, qui diagnostiqua la tuberculose des reins. Le Père Gros revint à Kweiyang et malheureusement les crises devinrent de plus en plus fréquentes. Il ne se plaignait jamais et allait dire la messe quotidienne au couvent des Soeurs.
Mais un jour vint où il dut s'aliter, et au bout de trois jours, il demanda l'Extrême Onction et l'Indulgence Plénière. Il expira le 9 juin 1936 et fut enterré dans le cimetière de la mission.
Obituary
M. GROS
M. GROS (Germain), né le 23 avril 1879, à Ruffieux (Chambéry, Savoie). Entré laïque au Séminaire des Missions-Etrangères, le 16 septembre 1897. Prêtre le 22 juin 1902. Parti pour le Kouy-tcheou, le 30 juillet 1902. Mort à Kweiyang, le 9 juin 1936.
M. Germain Gros naquit le 23 avril 1879 à Ruffieux en Savoie. Il était le troisième fils d’une famille vraiment chrétienne. Son frère Pierre, l’aîné, déjà grand à la naissance de Germain devint sacristain de la paroisse. Le second frère, Claudius, d’une piété angélique, fut, grâce à la générosité de la famille de Maîstre, place dans une maison d’éducation en Normandie. A 13 ans il désirait être prêtre ; mais Dieu voulut cueillir pour Lui cette belle fleur de la terre, pour la transplanter dans les jardins célestes. Le père, qui exerçait le métier de charpentier mourut vers la même épo¬que, laissant la mère seule chargée du soin de deux enfants. Dieu n’abandonne pas ses fidèles serviteurs. La famille de Maîstre, en effet, après la mort de Claudius, porta son affection sur Germain qui montrait déjà de bonnes dispositions et l’envoya au séminaire de Chambéry. A cette époque, Germain se vit sollicité de suivre une autre voie. Un oncle d’Amérique, riche et sans enfant, voulut l’adopter et le conduire vers ce pays de cocagne pour lui procurer un brillant avenir. Germain aurait pu devenir lui-même un riche planteur de l’Argentine, et cela sans beaucoup de peine ; il n’au¬rait eu qu’à se laisser guider par l’oncle qui lui proposait de l’éle¬ver et de lui léguer sa fortune. La tentation était forte, mais l’ap¬pel de Dieu l’emporta et Germain resta au petit séminaire, laissant à d’autres les séductions du monde et de ses plaisirs.
Sur sa vie de collège, nous savons peu de chose. Il était intel¬ligent et sérieux, mais un peu distrait. Esprit ouvert, il ne se cantonnait pas uniquement dans les seules études classiques ; il avait aussi un goût marqué pour la musique et le chant ; aussi, à la fanfare du collège il tenait sa place de premier baryton, et au Séminaire de Paris ses confrères n’ont pas oublié sa belle voix de basse qui contribuait avantageusement à la bonne exécution des chants de la chorale.
Une autre vocation se dessinait dans l’âme généreuse du jeune séminariste. Celui que les attraits d’une vie facile et heureuse selon le monde n’avaient pu attirer vers la riche Amérique, ne se lais¬sait pas davantage captiver par le cadre des sites enchanteurs du beau pays de Savoie. Son imagination, son cœur surtout portait ses désirs bien au-delà des cimes élevées des montagnes alpestres. Il fallait à son zèle un champ plus vaste : il sera missionnaire. Après sa rhétorique, en 1897, il vint donc frapper à la porte du Séminaire des Missions-Etrangères, pépinière d’apôtres intrépides et d’illustres martyrs. Et qui sait ? lui-même ne versera-t-il pas son sang pour le salut des âmes, quelle belle perspective !
Au Séminaire des Missions-Etrangères, M. Gros se trouva dans son élément, donnant libre cours à sa franche gaieté, à sa nature exubérante et communicative. Aux heures de récréation il se fai¬sait remarquer par son entrain aux jeux auxquels il se livrait tout entier. Mais au premier son de cloche qui mettait fin à la récréa¬tion, il se montrait l’homme de la règle, studieux, et d’une piété de bon aloi. Le 22 juin 1902, M. Gros était ordonné prêtre, et rece¬vait avec un autre de ses confrères sa destination pour la Mission du Kwei-chow.
Après les adieux à la famille, le plus grand sacrifice dans la vie du missionnaire, vint le départ. L’« Océanien » partit de Mar¬seille le 3 août 1902, emportant nos 24 jeunes prédicateurs de l’Evangile vers les lointains rivages : voyage à jamais mémorable, plein de gaieté, mais gaieté tempérée, hélas, par l’affreux mal de mer. Trente-cinq jours plus tard, le grand vaisseau atteignait Shanghai. Voilà la Chine, enfin, ce pays d’adoption, et M. Gros pouvait contempler à son aise des Chinois authentiques, si majes¬tueux avec leur longue robe et la natte flottant au vent. On était au mois de septembre, époque où les eaux grossies du Fleuve-Bleu offraient de réels obstacles à un voyage vers l’intérieur. Il fallut attendre à Shanghai la décrue des eaux, et ce temps fut mis à profit pour un repos bien mérité.
Enfin notre confrère et ses compagnons destinés aux provinces de l’intérieur, purent prendre place sur un bateau anglais à des¬tination de Hank’eou. Trois jours après, ils atteignaient cette grande ville. Là, un nouvel arrêt à la Procure des Franciscains italiens. Le lendemain, nouveau départ sur un vaisseau américain qui les conduisit à Itchang, où ils furent reçus par les Fran¬ciscains de la Mission belge. Mgr Veraghen vint lui-même à leur rencontre pour les conduire à sa résidence. Quelques années après nous apprenions le massacre du jeune et sympathique évê¬que. Ensuite le voyage changea d’aspect ! le petit groupe s’em¬barquait sur deux barques chinoises pour remonter à la voile ou à la corde le cours terrible du Yangtsekiang jusqu’à la ville de Tchongkin. Au petit groupe de missionnaires réduit depuis Shanghai au nombre de 7, s’étaient joints quatre frères maristes se dirigeant vers leurs Missions. Nos voyageurs purent à loisir contempler la beauté des gorges de Itchang. Le moins intéressant n’était pas l’étude du caractère et des mœurs de la race chinoise. Tous les jours une messe était célébrée à bord avant le départ, c’était pour tous une très grande consolation. Durant les longues heures de la journée, une part était faite à l’étude de la théologie ; et parfois, pour se dégourdir les jambes on descendait à terre et on faisait quelques kilomètres à pied. Le petit groupe ne s’en¬nuyait pas. Il fallait à ces fragiles embarcations 24 jours pour atteindre Tchongkin. Aujourd’hui, sur bateau à vapeur, le voyage se fait en six jours ; mais il a beaucoup perdu de ses charmes et de sa poésie.
Nous sommes à Tchongkin. Avant de sauter à terre, les jeunes missionnaires ont l’agréable surprise de se voir fêtés à bord d’une canonnière française commandée par le sympathique commandant Hourst. Les nouveaux arrivants surent apprécier à sa juste valeur les délicates attentions des officiers français. Bientôt ils étaient aimablement reçus à la Mission catholique par Mgr Chouvellon, Vicaire apostolique de Tchongkin. Après trois jours de repos, les deux missionnaires du Kweichow firent leurs adieux à leurs compa¬gnons de voyage, et entreprirent par voie de terre le voyage de 15 jours qui devait les amener à Kweiyang. Adieu, le fleuve Bleu et ses barques à voiles ! deux palanquins de la vieille Chine trans¬portèrent les deux jeunes missionnaires. La caravane atteignit, au bout de quelques jours, les limites du Kweichow. Prestement les deux voyageurs descendent de leurs palanquins, et religieusement baisent cette terre bénie, le but de leurs aspirations et qui va deve¬nir la part de leur héritage. M. Gros était tout à la joie, et la manifestait bruyamment. Par monts et par vaux, par des routes impossibles à décrire, et après bien des chutes, les deux voya¬geurs avancent lentement et péniblement. Les difficultés de la route sont incapables d’assombrir la joie qui fait vibrer le cœur. Bientôt ce sera le port ! Le dimanche de « Gaudete », en décembre 1902, le clocher de la cathédrale de Kweiyang apparaissait enfin ; et quelques instants après les arrivants tombaient entre les bras paternels de leur bon évêque, Mgr Guichard. C’était un des plus beaux jours de leur vie ! Les cloches sonnaient pour annon¬cer leur arrivée et les chrétiens de la paroisse Saint-Joseph accou¬raient pour recevoir la première bénédiction des jeunes mission¬naires. Enfin ! c’était le port ! c’était la terre promise après la tra¬versée du désert ! cette terre indiquée sur la carte du Séminaire le 22 juin de la même année ! c’était la joie sans mélange. M. Gros fut largement mis à contribution pour exécuter les plus beaux chants de son répertoire.
N’était-il pas raisonnable de se reposer quelques jours après un si long voyage, et ne fallait-il pas, aussi écrire à sa famille pour la consoler et lui faire oublier, si possible, les déchirements du départ.
Puis, ce fut l’étude de la langue chinoise et de ses caractères bizarres. Notre confrère, doué d’une heureuse mémoire fit de ra¬pides progrès. En effet, le 19 mars, c’est-à-dire trois mois après son arrivée, il monta dans la chaire de la cathédrale pour donner son premier sermon. Nous ne dirons pas que ce fut du Bossuet ou du Lacondaire ; ce fut au moins un acte de courage accompli avec une belle crânerie. Puis eut lieu la retraite des missionnaires à la fin de laquelle les deux nouveaux reçurent leur première destina¬tion. M. Gros fut nommé vicaire de M. Palissier, à Suyang, dans le nord de la Mission. Il partit donc avec son mentor, plein d’en¬thousiasme et d’optimisme, tout à la joie de faire l’apprentissage de l’apostolat sous la direction d’un missionnaire aussi expéri¬menté. A cette époque les conversions étaient nombreuses et le jeune missionnaire bâtissait de beaux châteaux en Espagne. Son étude de la langue n’étant que rudimentaire, il lui fallut d’abord la parfaire : c’est à cela que furent employés les débuts de son apostolat à Suyang. Hélas ! une rude épreuve vint bientôt mettre une sourdine à son ardeur enthousiaste. Un an ne s’était pas en¬core écoulé qu’il éprouva des crachements de sang. Mgr Guichard, voulant arrêter le mal à ses débuts, ordonna un voyage à Hong¬kong. Le malade rétabli regagna sa Mission en automne 1905. Pour éviter une rechute, une nouvelle destination fut donnée à notre confrère : il fut nommé supérieur de l’école Probatoire nou¬vellement réorganisée. Il se donna tout entier à cette tâche. En plus de l’éducation des jeunes élèves, il devait administrer la paroisse Saint-Etienne. Là aussi il déploya tout son zèle ; et, sous son administration, on vit le nombre des chrétiens augmen¬ter sensiblement. La chapelle primitive était par trop insuffisante ; il la reconstruisit considérablement plus grande, et la dédia aux Bienheureux Martyrs du Kweichow. En bon administrateur, il y créa des revenus pour assurer son entretien. Les murs de l’école Probatoire étaient par trop resserrés : les locaux et la cour n’étaient pas assez spacieux : M. Gros eût voulu les agrandir, mais la chose n’était pas facile. D’un côté, une pagode, de l’autre un temple des ancêtres. Tout le monde sait combien l’achat de tels immeubles est difficile en Chine. Il ne se laissa pas rebuter pour si peu : il lui fallait les deux pagodes ! le supérieur fit prier ses enfants et mit à contribution un de ses amis pour mener à bien les négociations. Toutes les difficultés furent vaincues, l’achat exécuté et le contrat de vente rédigé en bonne et due forme. Les bouddhas furent sommés de déménager et de laisser la place aux jeunes séminaristes. Bientôt l’horizon s’élargit, l’école posséda une belle cour avec perspective sur de riantes montagnes, les locaux furent agrandis ; les élèves pouvaient enfin respirer. Les études terminées, beaucoup d’élèves furent dirigés vers le petit séminaire ; et aujourd’hui un certain nombre de prêtres chinois doivent à M. Gros leur première formation. Ce dévoué confrère n’avait perdu ni son temps, ni ses efforts pendant les quinze années qu’il fut professeur.
En 1921, M. Gros fut nommé procureur de la Mission en rem¬placement de M. Palissier, âgé et malade. Il prit son travail à cœur, et on put bientôt constater qu’il remplissait parfaitemnent sa nouvelle charge. Il éleva une belle construction destinée à rece¬voir les confrères à l’époque de la retraite annuelle. Il reconstrui¬sit aussi l’hôpital des miséreux qui procure chaque année un bon nombre de baptêmes d’adultes in articulo mortis.
En 1931, M. Gros prit son congé régulier en France où il revit son frère et ses neveux revenus d’Amérique et établis à Aix-les-Bains. Ce pays enchanteur, son lac, le lac de Lamartine, ses belles montagnes, ne le retinrent pas longtemps : après quelques mois passés au pays natal, il regagna Kweiyang et la procure. A son retour lui fut confiée par surérogation l’aumônerie du couvent de Notre-Dame des Anges et des Sœurs Chinoises du Sacré-Cœur. Peu de temps après son arrivée il se sentit fatigué, et, en 1934, il se vit obligé d’aller consulter un spécialiste à Hongkong. Celui-ci eut vite fait de diagnostiquer le mal et d’en deviner la gravité. Il s’agissait de la tuberculose des reins ; et la science s’avouait impuissante à procurer la guérison. Le Procureur de Hongkong fut seul à connaître la nature du mal. M. Gros, déçu, emporta une très mauvaise opinion du médecin de Hongkong qui, disait-il, n’avait rien compris à sa maladie. Cette fois, il était bien décidé à mourir au Kweichow. Cependant le mal faisait de rapides pro¬grès, et le missionnaire souffrait atrocement pendant les crises qui devenaient de plus en plus fréquentes. Mgr Seguin crut néces¬saire de décharger M. Gros de la procure, tout en lui laissant l’aumônerie du couvent. La souffrance l’avait réduit à l’état squelettique ; mais jamais, malgré ses douleurs, on ne l’entendait se plaindre, il continuait à faire ses exercices spirituels auxquels il était toujours demeuré fidèle. Tous les jours il se rendait au cou¬vent pour célébrer la sainte Messe ; bientôt ce bonheur lui fut refusé. Il avait voulu encore monter à l’autel le jour de la Pente¬côte, mais ayant éprouvé une très grande fatigue, il dut se rési¬gner à ne plus quitter sa chambre.
Le malade ne s’alita que les deux ou trois derniers jours avant sa mort. On ne le quitta plus : ses confrères se relayèrent à son chevet. Il garda sa pleine connaissance jusqu’au bout, et c’est lui-même qui demanda l’Extrême-Onction et l’Indul¬gence plénière : il les reçut dans des dispositions excellentes qui firent l’édification de tous. M. Darris, son condisciple du Séminaire de Paris, accouru à son chevet, reçut son dernier soupir et lui ferma les yeux. La dépouille mortelle du cher défunt fut conduite solennellement au cimetière de la Mission accompagnée par un grand nombre de chrétiens, par les séminaristes, les élèves des écoles et tous les missionnaires de Kweiyang.
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References
[2647] GROS Germain (1879-1936)
Références biographiques
AME 1902 p. 327. 1923 p. 14. 1926 p. 229. 1936 p. 190. CR 1902 p. 302. 1905 p. 98. 1906 p. 115. 1920 p. 35. 1922 p. 65. 66. 1932 p. 115. 1935 p. 300. 1936 p. 84. 234. 312. 1937 p. 82. 1939 p. 287. 290. BME 1922 p. 29. 1923 photo p. 399. 1924 p. 48. 498. 1926 p. 183. 570. 1927 p. 442. photo p. 457. 1928 photo p. 65. 1931 p. 750. 1932 p. 291. 372sq. 465. 1933 p. 83. 288. photo p. 775. 1934 p. 642. 712. 787. 1935 p. 592. 1936 p. 448. 538. 585. 660. 1940 p. 121. EC1 N° 244. 254. 255. 338.