Jules LEROUX1905 - 1978
- Status : Prêtre
- Identifier : 3426
Identity
Birth
Death
Other informations
Missions
- Country :
- China
- Mission area :
- 1931 - 1951 (Kangding [Tatsienlu])
Biography
[3426] Jules, François, Alexandre LEROUX (Etat civil : LEROU) naquit le 1 septembre 1905, à Siran, diocèse de Saint-Flour, département du Cantal. Il était l'ainé d'une famille de cinq enfants, quatre garçons et une fille. Son frère Victor partit pour la mission de Ningyuanfu (Sichang), le 14 septembre 1937. Après ses études primaires à Siran, Jules Leroux parcourut le cycle de l'enseignement secondaire à l'Institution St.Eugène à Aurillac. Puis, en octobre 1924, il se dirigea vers le grand séminaire de Saint-Flour.
Le 18 septembre 1925, il entra laïque, au séminaire des Missions Etrangères. Ordonné prêtre le 20 décembre 1930, il reçut sa destination, le 15 février 1931, pour le Vicariat Apostolique de Tatsienlou (Kangting/Thibet) qu'il partit rejoindre le 20 avril 1931. Il s'embarqua à Marseille le 23 avril 1931, débarqua à Haiphong, gagna Hanoï, atteignit Yunnanfu le 3 juin 1931, passa par le Kientchang, resta une huitaine de jours à Ningyuanfu, et arriva enfin à Tatsienlou le 6 août 1931.
Passant à Chapa, Jules Leroux y déposa ses bagages, fit un court séjour à l'évêché de Tatsienlou, puis retourna à Chapa auprès de M. Louis Baptiste Valour pour y apprendre la langue mandarine, la comptabilité agricole et faire sa formation missionnaire. En août 1932, succédant à M. Joseph Ménard, il fut nommé à Tatsienlou, supérieur du petit séminaire dont l'effectif était d'environ une quinzaine de latinistes. Tout en étudiant le chinois, il fut chargé des classes de 4ème et 3ème réunies en un seul cours. A cette charge s'ajouta celle d'aide-procureur de la mission.
Le 26 mai 1935, le séminaire ayant été licencié en raison de l'approche des troupes communistes, M. Jules .Leroux se réfugia à Tchang-kia-chan. Le 16 août 1935, il passa à M. Le Corre, la direction du petit séminaire et le sceau de la Procure; accompagné de M. Louis Valour, il entra le 20 août 1935, dans son nouveau poste de Lentsi (Lengtsih) sur les bords du fleuve Tonghô, au sud de Chapa, où la mission possédait des rizières dont il avait à assurer l'administration. Le 19 mars 1938, il reçut la visite de son frère Victor, nouveau missionnaire au Kien-tchang, et qu'il raccompagna jusqu'à Ningyuanfu.
Le 1er juillet 1938, M. Jules Leroux fut nommé au poste de Tsunghwa, village mi chinois mi thibétain, situé au nord-est de Tatsienlou et à six jours de l'évêché. Retenu par des affaires épineuses à Tsunghwa, il ne put participer du 23 au 30 juillet 1939, à la retraite annuelle des missionnaires à Tatsienlou. En 1941, il fut réduit à fermer son école pour raison de troubles et par manque d'élèves.
En 1945, M. Leroux fut chargé du district de Taofu, poste à 3.000 mètres d'altitude, au nord-ouest de Tatsienlou, et à cinq étapes de l'évêché; sa population uniquement thibétaine comptait environ deux cents chrétiens, vers 1950. En novembre 1950, alors qu'à Kangting les étrangers avaient été invités à remplir des questionnaires, et à présenter passeports et permis de séjour, M. Leroux pouvait encore circuler librement. Mais le 3 octobre 1951, expulsé de Chine, il arriva à Hong-Kong. Le 21 novembre 1951, l'Athos II le débarqua à Marseille.
En septembre 1952, M. Jules Leroux fut nommé assistant-procureur à Marseille, en remplacement de M.Bonhomme autorisé à prendre sa retraite. Parfait socius", d'un grand dévouement au service des confrères de passage, il travailla dans cette maison, jusqu'à sa fermeture le 13 juillet 1967. Pendant 15 ans, il assura la messe quotiidienne chez les Religieuses du Bon-Secours de Troyes, et aida, dans leur ministère, les Pères du Saint Sacrement. Il occupa ses temps libres à se cultiver surtout en histoire et en littérature; il laissait transparaitre son caractère jovial et son humour à travers des réparties spirituelles et des jeux de mots.
Le 13 juillet 1967, il gagna la maison de Lauris; vers le début d'octobre 1967, il prit le poste de chapelain des Religieuses Bénédictines qui venaient de faire une fondation à Pey-sur-Durance, près de Jouques, non loin de Lauris. Pour raison de santé, le 11 février 1977, accompagné par un confrère de Lauris, il quitta le Monastère pour se rendre directement à Montbeton.
Le 31 mars 1978, il fut frappé d'hémiplégie. Soigné immédiatement, il récupéra assez bien les mouvements du bras et de la jambe paralysés. Le 13 juillet 1978, au retour d'une promenade dans le parc, à quelques pas de la maison, il mourut subitement terrassé par une nouvelle attaque. Ses obsèques eurent lieu à Montbeton le 15 juillet 1978.
Août 2000
Obituary
Le Père Jules LEROUX
Missionnaire de Kangtin (Thibet)
1905 - 1978
Né le 1er septembre 1905 à Siran (Cantal), diocèse de Saint-Flour
Entré aux Missions Etrangères le 18 septembre 1925
Prêtre le 20 décembre 1930
Parti le 20 avril 1931 pour Tatsienlu (Kangtin)
En mission de 1931 à 1951
En France e 1951 à 1978
Décédé à Montbeton le 13 juillet 1978
Enfance et jeunesse
Jules LEROUX naquit le 1er septembre 1905 à Siran, dans le Cantal, au diocèse de Saint-Flour. Il était l’aîné d’une famille de cinq enfants, quatre garçons et une fille, la benjamine, longtemps attendue. Elle mourut peu de temps après et le papa ne tarda pas à la suivre dans la tombe : ce qui fit dire que la mort de sa fille l’avait tué. La mère se trouva donc veuve avec quatre enfants, quatre garçons ; elle dut travailler dur pour faire valoir le petit domaine familial et élever ses enfants.
Jules Leroux fréquenta l’école communale située à quatre kilomètres ; il n’y avait pas d’école libre dans cette paroisse. L’instituteur n’était pas très favorable ; bien sûr, il ne pensait pas aux vocations sacerdotales ; il avait plutôt pour objectif — et cela se comprend — de recruter des instituteurs.
Il eut semblé normal que Jules, l’aîné, reste à la ferme et prenne la place du père. Mais dans son cœur il nourrissait d’autres projets. L’exemple et l’influence de deux prêtres originaires de la paroisse sont peut-être à l’origine de l’appel que sentit le jeune Jules Leroux. Par ailleurs, il avait les qualités morales et intellectuelles nécessaires. Qui lui suggéra d’aller au petit séminaire ? Nous n’avons pas de détails sur ce point. En tout cas, il entra au petit séminaire Saint-Eugène à Aurillac et y fit ses études secondaires. Après quoi, poursuivant dans la même ligne, il entra pour un an au grand séminaire de Saint-Flour (1924-1925). Nous ne savons pas non plus comment lui vint le désir de se consacrer à l’apostolat lointain. Ce que nous savons c’est qu’au petit séminaire d’Aurillac, les directeurs parlaient volontiers des « Missions ». De plus les noms de quelques missionnaires originaires soit d’un village voisin, soit du diocèse, étaient connus et cités : tels Mgr Castanier, le P. Maury, le P. Delbos, etc. N’oublions pas non plus les visites régulières que faisait le P. Depierre à travers la France et qui ont fait certainement naître de nombreuses vocations pour les missions. Quoi qu’il en soit, Jules Leroux fit sa demande et compte tenu des bons renseignements donnés sur son compte, il fut admis et il entra à Bièvres le 18 septembre 1925, pour y poursuivre ses études. Ordonné prêtre le 20 décembre 1930, il reçut sa destination pour la mission de Tatsienlu, la mission du Thibet, actuellement appelée mission de Kangtin, nouveau nom de la capitale provinciale...
En mission
Après un séjour en famille, Jules Leroux s’embarqua le 20 avril 1931. Gagner le Thibet était encore à cette époque une véritable expédition ! En paquebot jusqu’à Haiphong ; de là il remonta à Hanoi puis à Kunming (capitale du Yunnan) en chemin de fer. Mais le plus dur restait à faire : trente étapes à cheval pour atteindre le centre de la Mission : Tatsienlu. C’est le 6 août 1931 qu’il arriva au terme de ce long voyage. Il fut chaleureusement accueilli par les PP. Louis Valour et Pasteur.
Il s’agissait maintenant pour le jeune P. Leroux de s’attaquer à l’étude du chinois ! La politique parfois employée par l’évêque était de placer d’abord les nouveaux missionnaires près de lui, puis au fur et à mesure qu’ils acquéraient de l’expérience, il les destinait à des postes plus éloignés et plus durs. C’est ce qui explique que le P. Leroux fut d’abord nommé au petit séminaire de Tatsienlu, situé en face de l’évêché. Tout en étudiant le chinois, il fut chargé des classes de 4e et 3e réunies en un seul cours. Il était même théoriquement supérieur, mais Mgr Valentin, alors coadjuteur, supervisait sérieusement le jeune supérieur.
Trois ans plus tard, en 1935, il est envoyé à Lentzi, à deux jours de l’évêché. C’est un village peuplé de Chinois, à 1.500 m d’altitude. Il jouit d’un climat relativement chaud et on y cultive le riz. La mission du Thibet y possédait des rizières. Le missionnaire, tout en s’occupant de ses ouailles, devait collecter le riz des fermages : ce qui ne se faisait pas sans peine, car les intéressés avaient toujours de bonnes raisons pour chicaner sur le nombre de boisseaux à fournir !
En 1938, le P. Jules Leroux est transféré au poste de Tsunghwa. Ce village, moitié chinois, moitié thibétain, est à six jours de l’évêché, mais avec l’avantage d’avoir à proximité (relative) deux confrères. Il devait rester sept ans dans ce poste.
C’est donc en 1945 qu’il reçoit son changement pour Tao-Fu, à cinq étapes de l’évêché, à travers des montagnes et des plateaux désertiques. La population est uniquement thibétaine, dominée par une puissante lamaserie (grand monastère bouddhique). Le poste compte quelque deux cents chrétiens. C’est une sorte de Tamanrasset gelé, à 3.000 m d’altitude. C’est de là qu’il fut expulsé par les communistes. Il quitta la Chine le 3 octobre 1951 et arriva en France le 21 novembre.
En France
Au cours de l’été 1952 il fut nommé assistant-procureur à Marseille en remplacement du P. Bonhomme, obligé de quitter ce poste pour raison de santé. Il devait y rester quinze ans, c’est-à-dire jusqu’à la fermeture de cette maison le 13 juillet 1967. Bien que n’ayant pas sans doute de vocation spéciale pour ce genre de travail, il s’y est trouvé tout de suite à l’aise et a su s’y rendre utile par un grand dévouement aux confrères de passage. Sa tranquillité coutumière, ses jeux de mots, ses réparties spirituelles rendaient sa compagnie agréable. Il a toujours été un parfait « socius ». Le temps libre ne lui manquait pas ; aussi s’adonnait-il à la lecture pour se cultiver en toutes sortes de domaines, mais plus particulièrement l’histoire et la littérature. Dans ce but il s’était abonné à une bibliothèque tournante qui lui fournissait régulièrement les revues de son goût. Les sciences et la philosophie l’attiraient moins que la littérature et l’histoire. Mais il ne négligeait pas pour autant ses devoirs spirituels, bien au contraire. Il était d’une fidélité exemplaire et d’une piété profonde nourrie des bons auteurs. Il aimait assister aux adorations nocturnes des « Hommes du Sacré-Cœur », dans la chapelle des Pères du Saint-Sacrement, aidant pour les confessions, assurant parfois la messe de la nuit. Souvent il faisait avec eux la retraite à Chabeuil ou autres lieux. Pendant son long séjour à Marseille, il a assuré la messe matinale chez les Religieuses du Bon-Secours de Troyes qui appréciaient sa régularité et sa discrétion.
Le 13 juillet 1967, il gagnait la maison de Lauris. L’inaction de la retraite lui pèsera vite. Avant la fin de l’année, il trouva un petit ministère comme chapelain des Religieuses bénédictines qui venaient de faire une fondation non loin de Lauris, à Jouques.
Ces religieuses ont bien voulu apporter leur témoignage sur le P. Leroux et dire ce qu’il fut pour elles pendant près de dix ans. Voici ce témoignage : « Le P. Leroux est arrivé à Jouques tout au début de notre fondation en Provence, donc vers le début d’octobre 1967. Il a connu notre installation précaire à la ferme où nous avions installé la chapelle dans un ancien pressoir... en attendant la construction du monastère actuel.
Il s’amusait beaucoup en pensant à la surprise de ses confrères quand ils apprendraient qu’il était devenu aumônier des moniales bénédictines de Jouques “car je suis celui qui chante le plus faux de toute la Société des M.E.P.” nous disait-il avec son bon rire ! Il fut malgré cela un aumônier exemplaire, précieux, que tous appréciaient : il fut toujours très réservé et discret, cherchant à rendre service, ramassant les amandes ; il venait aux vendanges et demandait de l’épluchage quand il n’y avait pas de travail aux champs. Et il faisait tout avec une grande charité silencieuse.
Il nous a laissé l’exemple d’un saint prêtre : fidèle à son bréviaire (qu’il a toujours voulu réciter en latin), fidèle à la récitation du chapelet, fidèle à la messe. Même lorsqu’en 1976 son cœur défaillait, il continuait à dire sa messe, étant assis et au prix d’un gros effort ! Un jour le médecin et la Sœur infirmière lui conseillèrent d’aller en clinique pour faire un bilan médical indispensable : “Ça ! jamais, fut sa réponse, où pourrais-je dire ma messe ?” Puis après quelques instants de réflexion, il ajouta : “Ce sera comme vous voudrez.” Dieu récompensa son obéissance. Il séjourna à la clinique à Aix pendant une semaine et il retrouva ainsi pour quelque temps un vrai mieux.
Vers 1975, sa vue s’affaiblit et on s’aperçut qu’il avait le diabète, ce dont il n’avait jamais voulu parler... car il aimait les bonnes choses... et il voulait éviter le régime ! Devant le danger il s’y soumit (en y faisant de temps en temps quelques infractions).
Sa vie ici était austère, mais il lisait beaucoup, tapait à la machine des documents pour la Communauté jusqu’au jour où il se sentit devenir aveugle ! Avec une grande résignation pleine de foi il disait : “Ce sera comme le Bon Dieu voudra !”
Nous le regardions comme faisant partie de notre fondation ! Il le savait et nous pensions le garder jusqu’à la fin de son existence terrestre. Mais un jour il nous dit qu’il avait pris sa décision : il partirait pour Montbeton. Il ne voulait pas être à charge et cela pouvait arriver très vite, même subitement ! Il est donc parti le 11 février 1977, en ambulance, accompagné par un Père de Lauris.
Très attaché au monastère, il a continué à nous écrire régulièrement et nous lui envoyions la petite chronique de la Maison qu’il aimait recevoir. Il avait de son côté le nom de chacune des moniales avec la date de leur fête. A chaque entrée de nouvelles vocations, il demandait leur nom afin de prier pour elles le jour de leur fête et à l’occasion de nos fêtes, il nous envoyait à chacune un charmant billet de souhaits, plein d’humour.
Sous un aspect un peu rude, il cachait un cœur sensible et fidèle, aimant toujours la plaisanterie. Voici par exemple la fin d’une de ses lettres du 27 mars 1978 :
“Blagues pour Mère Savine : Avoir un portefeuille imperméable pour mettre l’argent liquide.”
Pour vous et celles qui font les piqûres : Docteur, faites-moi une piqûre anti-britannique. — Vous voulez rire ! C’est antitétanique. Non ? — Mais non, anti-britannique, car je me suis blessé avec une clé anglaise !!”
Un confrère qui l’a bien connu au Thibet caractérise ainsi le P. Jules Leroux : « C’est dans son dernier poste de Tao-Fu que le P. Leroux a montré ses qualités et ses aptitudes de “broussard”. Pour vivre dans ce village perdu au climat très dur, il fallait un grand courage, une force d’âme extraordinaire ainsi que l’amour de la solitude, le tout nourri par une vie spirituelle profonde. Le caractère du P. Leroux l’aida dans ce genre de vie solitaire et personnelle. Mais le “secret” est ailleurs : c’est dans sa vie eucharistique très profonde, vie qui s’exprimait non seulement par la célébration fidèle et pieuse du saint sacrifice de la messe, mais aussi par de longues adorations devant le tabernacle. C’est là avant tout qu’il prenait la force de “tenir” dans ces postes très durs du Thibet. » Comme on l’a vu plus haut, ce fut également sa vie à Marseille et à Jouques ! Le P. Jules Leroux : un prêtre de l’Eucharistie ! Aussi accueillit-il la maladie et la souffrance avec son courage habituel et son esprit de foi. Il était prêt à répondre à l’appel du Seigneur pour aller voir face à face celui qu’il avait contemplé, aimé et fait aimer dans les montagnes du Thibet !
Terminons en citant quelques mots du Père Supérieur de Montbeton : « Le P. Leroux nous est arrivé au mois de février (1978) déjà bien malade. Il avait cependant conservé son caractère jovial, tel qu’on l’avait connu quant il était autrefois “aspirant” à la rue du Bac. Il était avec cela d’une piété remarquable. Le 31 mars, il fut frappé d’hémiplégie. Soigné aussitôt et transporté en clinique, il put récupérer assez bien les mouvements du bras et de la jambe paralysés ; malheureusement il resta bien handicapé au point de vue mental. Sur bien des points il raisonnait comme un enfant... et se conduisait aussi comme tel. Alors qu’il aurait dû se reposer, il était sorti dans le parc. Au retour, à quelques pas de la maison, il a été terrassé par une nouvelle attaque. La mort a été instantanée. » C’était le 13 juillet 1978.
Ses obsèques eurent lieu à Montbeton où il repose avec les confrères dont plusieurs, ont appartenu, comme lui, à la Mission du Thibet.
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References
[3426] LEROUX Jules (1905-1978)
Notes Bio-bibliographiques :
Chanoine E.ROLAND "L'épopée missionnaire du diocèse de Saint-Flour"
Aurillac - Editions GERBERT 1948, p.335-337
(3426) LEROUX Jules, François, Alexandre
Notices biogaphiques. - AME 1931 p. 91, 138-40 ph. 1935 p. 232. 1938 p. 57. - CR p. 1931 p. 275. 1933 p. 72, 297. 1934 p. 62. 1951 p. 225. 1952 p. 292. 1967 p. 153. - BME 1925 p. 582. 1931 p. 465 ph ,595-7, 673, 746-8. 1932 p. 853. 1933 p. 54, 535, 774. 1934 p. 268, 340 ph ,785. 1935 p. 426, 587, 685 ph , 733, 800-48-53,1936 p. 195-7. 1937 p. 122-96, 352, 428, 510, 720-95. 1938 p. 40, 179, 254, 396-98, 466-8-10. 1939 p. 196. 1940 p. 801-2. 1941 p. 67 ph , 1942 p. 260. 1948 p. 168-9, 298-9, 300. 1949 p. 174, 564. 1950 p. 333. 1951 p. 51, 120, 707. 1952 p. 51, 60, 647. EC1 n° 89, 216, 320, 506-8-23, 710. - EC2 n° 71 p. 46. 88 p. 242. 94C2. 122C3. - MEM n° 78 p. 32.
Mémorial LEROUX Jules, François, Alexandre page 2
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