Joseph GAZTELU (de)1852 - 1910
- Status : Prêtre
- Identifier : 1271
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Identity
Birth
Death
Other informations
Missions
- Country :
- China
- Mission area :
- 1876 - 1886 (Yibin [Suifu])
- 1886 - 1910 (Hong Kong)
Biography
[1271]. GAZTELU (DE), Joseph, né le 2 décembre 1852 dans la paroisse Notre-Dame, à Bayonne (Basses-Pyrénées), élève du petit séminaire de Laressore, entré tonsuré au Séminaire des M.-E. le 24 septembre 1872, ordonné prêtre le 10 octobre 1875, partit le 16 décembre de la même année pour le Se-tchoan méridional. Il fut placé à Tie-lou-se, et en 1877 ou 1878 chargé du district de Kia-tin. Il y resta six ans, travaillant avec zèle, remplissant bien les fonctions de procureur qui incombent au missionnaire de ce poste. Chaque jour il lisait au moins une dizaine de pages de chinois usuel, en étudiait les caractères, ce qui lui valut de devenir un bon sinologue. Malade, il passa l'année 1883 au sanatorium de Béthanie, à Hong-kong.
En 1884, il fut nommé dans le district de Kiang-gan hien où il fonda une nouvelle station. En 1886, il prit provisoirement l'administration de Lou tcheou.
La même année, il se rendit à Hong-kong, à la maison de retraite de Nazareth, où il avait accepté d'aider le fondateur M. Rousseille. Outre son travail à l'imprimerie où les ouvrages chinois devaient tous passer sous ses yeux, il s'occupa spécialement et avec beaucoup de charité, des malades ; en même temps il prit soin des familles des ouvriers chrétiens de Nazareth, et construisit pour eux une école et une chapelle. Grâce à sa générosité, M. Rousseille put édifier, au-dessus de la crypte, la chapelle supérieure de la maison de retraite. Il mourut au sanatorium de Béthanie à Hong-kong, le 11 novembre 1910.
Obituary
M. DE GAZTELU
MISSIONNAIRE APOSTOLIQUE DE LA MAISON DE NAZARETH
Né le 2 décembre 1852
Parti le 16 décembre 1875
Mort le 11 novembre 1910
Le vendredi 11 novembre 1910, s’éteignait à Hong-Kong le re¬gretté M. de Gaztelu, assistant du Supérieur de la Maison de Nazareth. Sur les trente-cinq années dont se compose sa carrière apostolique, dix se sont écoulées dans les travaux du ministère au Su-Tchuen Méridional ; les vingt-cinq dernières ont été consacrées aux obscurs, mais importants labeurs qu’exigent les œuvres communes de la Société. Des infirmités supportées avec un grand esprit de foi, une longue et douloureuse maladie avaient achevé de purifier son âme vraiment embrasée de l’amour de Jésus-Christ et l’avaient graduellement préparée à la gloire dont Dieu couronne au Ciel les mérites de ses bons serviteurs d’ici-bas.
Joseph de Gaztelu était né à Bayonne (Basses-Pyrénées), le 2 décembre 1852. Le 24 septembre 1872, il arrivait, tonsuré, au Séminaire de la rue du Bac. Prêtre le 10 octobre 1875, il partait le 16 décembre suivant pour la Mission du Su-Tchuen Méridional.
« Pour moi, tout se réduit désormais au Su-Tchuen, écrivait-il, après avoir reçu sa destination. Au Su-Tchuen Méridional mes affections, mon cœur, et, bientôt, ma vie tout entière ! » Bien qu’il n’ait passé dans sa Mission que le tiers de sa longue carrière, on peut dire, en toute vérité, qu’il est resté fidèle à son programme du premier jour. Malgré une santé toujours très délicate, il a fourni une grande somme de travail et il a passé en faisant le bien, sanctifiant ses chrétiens, édifiant ses confrères par l’exemple des plus belles vertus.
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Dès son arrivée à Tchong-Kin, M. de Gaztelu faillit faire connaissance avec la persécution. La ville était alors en effervescence, et la procure s’attendait à être attaquée. On jugea prudent d’embarquer au plus vite les nouvelles recrues destinées aux Missions voisines. Il parvint sans accident jusqu’à Soui-Fou, où d’autres épreuves l’attendaient. Malgré toute la charité de l’accueil que les supérieurs font toujours à un jeune missionnaire, son âme fut aux prises avec la tristesse : mais il eut bien vite fait de surmonter ces premières tentations d’ennui et de dégoût, qui, du reste, ne revinrent plus jamais.
Tout joyeux et plein d’entrain, il se rendit, quelques jours après, dans une famille de vieux chrétiens, à trois lieues de Soui-Fou, pour y apprendre la langue chinoise. Doué d’une grande facilité et ardent au travail, il fit en quelques mois des progrès si rapides que Mgr Lepley crut pouvoir, dès le mois d’octobre, lui confier un district d’anciens convertis, à mi-chemin entre Soui-Fou et Kia-Tin.
Il n’y resta guère qu’un an, assez pour se faire aimer de ses chrétiens.
En 1877, Mgr Lepley, qui appréciait de plus en plus les rares qualités de M. de Gaztelu, l’appela au poste très important de Kia-Tin. Sur ce nouveau théâtre, où il passa six ans, notre Confrère donna la mesure de son savoir-faire. Tout dévoué à ses chrétiens, il ne négligea rien pour perfectionner leur instruction et corriger les abus qui se glissent si facilement chez de pauvres gens perdus au milieu des païens. Son zèle lui faisait tenir peu de compte de sa santé toujours faible. Seuls, ceux qui l’ont connu plus intimement savent comment il se dépensa dans ses visites d’administration : il se faisait presque un cas de conscience des deux ou trois mois de repos relatif qu’il prenait entre deux tournées apostoliques.
Il souffrait profondément de ne pouvoir faire tout le bien qu’il aurait voulu. Son ministère était pourtant conçu dans un esprit essentiellement pratique. Il parlait fort bien le chinois, et ses instructions étaient aussi solides qu’intéressantes. Afin d’arriver à ce résultat, il s’était imposé de lire, tous les jours, au moins une dizaine de pages de chinois usuel, en étudiant les caractères ; et il resta fidèle à cette résolution, alors même qu’il ne paraissait plus en avoir besoin. C’est à cette étude persévérante qu’il dut de posséder parfaitement une langue aussi difficile, et de devenir, sans avoir eu la pensée ou l’ambition de l’être, un sinologue remarquable.
A Kia-Tin, poste central, et en même temps succursale de la Procure de Soui-Fou, M. de Gaztelu était en relations suivies avec de nombreux Confrères. Malgré des goûts très prononcés pour le silence et la solitude, grande était sa joie quand il se trouvait en compagnie. Il était le plus aimable et le plus serviable procureur qu’on puisse raisonnablement désirer. Charitable, généreux, il avait toujours la main largement ouverte à tous ceux qui avaient besoin de ses secours.
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Les fatigues du ministère achevèrent de délabrer une santé qui avait toujours été très chétive. M. de Gaztelu était à Kia-Tin depuis six ans, quand Mgr Lepley, averti de l’état inquiétant de son Missionnaire, le fit venir près de lui à Soui-Fou (décembre 1882), espérant que le repos et des soins intelligents suffiraient à le remettre. Ces espérances ne furent pas réalisées et le malade allait plutôt en s’affaiblissant, si bien que, en février 1883, on jugea nécessaire un voyage à Hong-Kong. Le traitement qu’il suivit à Béthanie fut efficace, et, en mars 1884, notre Confrère était de retour à Soui-Fou, tout prêt à se remettre au travail.
Mgr Lepley lui confia le district de Iun-Lin, sur les confins du Kouy-Tchéou et du Yun-Nan. A ne considérer que le nombre de chrétiens, c’était un petit district; mais le pays était immense.
M. de Gaztelu se mit courageusement à l’œuvre, s’appliquant avec zèle à la direction des vieux chrétiens, qui avaient un réel besoin de ses prédications ; puis, se lançant à la conquête des païens dispersés au milieu des montagnes, il réussit à fonder chez ces derniers une station qui s’est largement développée depuis cette époque.
Mais la Providence avait d’autres desseins sur l’avenir de M. de Gaztelu. M. Rousseille, supérieur de l’Etablissement de Nazareth, avait jeté les yeux sur lui et désirait se l’associer dans l’œuvre qu’il fondait.
La proposition ne déplut pas au Missionnaire de Iun-Lin ; il voulut prendre le temps de réfléchir avant de s’engager. Pendant toute une année, il étudia cette question, et, la volonté de Dieu se manifestant de plus en plus clairement, il fut convenu avec son Vicaire apostolique qu’il partirait vers le mois de mai 1885.
Il quitta donc son district et se retira à Kiang-Gan, attendant une occasion favorable pour s’embarquer. La guerre du Tonkin battait alors son plein ; les Chinois étaient très surexcités ; les voyages étaient devenus dangereux. Il dut se résigner à attendre. Durant ce repos forcé, il eut la consolation d’assister à ses derniers moments un de ses Confrères, M. Clerc, chargé du district de Lou-Tchéou. Les circonstances voulurent ensuite qu’il prit l’administration du district de Kiang-Gan, devenu vacant par le changement de son titulaire appelé à remplacer M. Clerc. Il y resta jusqu’au mois de novembre 1886, où il lui fut enfin permis de se rendre définiti¬vement à Hong-Kong.
Il lui en coûta beaucoup de quitter sa Mission, mais le sacrifice était accepté depuis longtemps. Il l’accomplit généreusement, non sans laisser une bonne partie de son cœur dans son cher Su-Tchuen Méridional.
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Le changement de milieu n’apporta pas de modification essentielle dans les habitudes de M. de Gaztelu. Il aimait le travail, l’étude, le silence, le recueillement, toutes choses conformes à l’esprit de la règle que M. Rousseille voulait donner à sa fondation. Mais, dans un commerce plus intime et plus fréquent avec Dieu, sa piété s’aviva, son caractère s’imprégna de plus de vie surnaturelle, et il fit de ce que saint François de Sales appelle « la pratique des petites vertus » le thème de ses méditations et l’objet de ses efforts.
« Ceux qui ont été ses contemporains à Paris, écrit de lui un de ses meilleurs amis et collaborateurs dans la même œuvre, ceux qui ont pu le voir en Chine dans sa Mission du Su-Tchuen, ou à Hong-Kong dans notre Maison de Nazareth, se rappellent avec joie ce qu’avaient d’agréable sa conversation foncièrement sacerdotale, d’utile ses conseils, de charitable ses entretiens : il était vrai prêtre, vrai missionnaire et excellent confrère. Nous ne pouvons rien dire de mieux à sa louange et il n’est pas de meilleur moyen de fixer son souvenir que de rattacher à ces trois termes toute la vie apostolique de ce cher et bon M. de Gaztelu : vie une en vérité ; car, ce qu’il fut à Nazareth, n’était, certes, que la continuation de ce qu’il avait été à Paris et dans l’intérieur de la Chine.
« J’aime à me le représenter avec sa démarche un peu lente et un peu lourde, avec sa parole ordonnée, un peu traînante mais in¬téressante et enjouée, aimant à communiquer ce qu’il avait appris, s’ouvrant volontiers, mais seulement selon le ton de la conversation ou l’opportunité des circonstances.
« Il était aussi aimé qu’estimé, et c’est à lui qu’on recourait le plus souvent pour demander un bon conseil ou pour s’éclairer dans une difficulté. Rien de sévère ni d’outré dans ses appréciations et ses jugements : tout respirait la prudence, la sagesse et la raison. Et quand il s’agissait de choses de l’ordre surnaturel, il se montrait l’excellent prêtre et le véritable apôtre que nous avons déjà dit.
« Il avait une manière délicate et fine d’entretenir la conversation et il déployait toutes les ressources de son esprit dans les tête-à-tête de nos repas, nous communiquant les nouvelles chinoises de son journal, discutant agréablement, et non sans une pointe de sel, les informations de source anglaise que produisait M. Rousseille. Il suffit de connaître la monotonie de la vie en communauté pour apprécier à sa juste valeur le prix d’une pareille qualité et les efforts qu’elle demande.
« Il était d’abord facile, accueillant avec bonté et simplicité les visiteurs, missionnaires ou laïques. Soigneux, avant tout, de son travail professionnel, il s’adonnait tout entier à l’ouvrage qui lui était confié : corrections typographiques, composition d’ouvrages chinois, préparation, formation et direction de ses ouvriers.
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« Sa grande charité et condescendance l’avait désigné pour la surveillance et la haute direction de l’infirmerie. Sa délicatesse était extrême ; son dévouement, vraiment admirable : il savait prévenir les désirs des malades, s’inquiétait de leurs besoins, les visitait fréquemment et leur procurait tous les soulagements que lui suggérait sa bonté.
« Cette bienveillance qu’il manifestait tout particulièrement vis-à-vis de ses Confrères, il l’étendait aussi aux ouvriers et aux domestiques que la maladie visitait : c’étaient les mêmes soins dévoués, les mêmes recommandations de prudence. C’est que, élevé lui-même à l’école de la souffrance, il savait compatir de toute son âme aux infirmités de tous. Il nous souvient d’un incident où il se permit de rappeler avec force la nécessité de cette compatissance à un Confrère, qui, n’ayant jamais été malade lui-même, croyait difficilement aux maux du prochain. Il s’agissait d’un ouvrier que le bon M. de Gaztelu dispensait de travail et condamnait au repos, au mécontentement de celui qui l’employait. « Vous êtes bien dur pour les malades, répondit-il, vous ne croyez pas aisément à leur faiblesse et à leurs infirmités. Lorsqu’ils doivent garder la chambre, la chose me regarde seul ! »
« Nous pourrions citer encore de nombreux et très édifiants traits de sa bonté et de sa patience. Il n’est personne qui ne se rappelle toute son indulgente et persévérante condescendance envers un pauvre Chinois, ancien élève de Pinang, phtisique, au caractère hargneux et difficile, et, malgré tout, toujours assuré de toucher, chez son paternel infirmier, la corde sensible, quand il l’abordait avec sa phrase elliptique, stéréotypée, toujours identique : Pater, non bene sentio ! M. de Gaztelu comprenait et prescrivait le repos et quelques remèdes : c’était pour lui le moyen de sauver une âme.
« A ses occupations journalières dans l’intérieur de la Maison de Nazareth, M. de Gaztelu joignit, pendant de nombreuses années, l’administration d’une petite chrétienté chinoise composée principalement des employés de nos établissements, sorte de district extra muros, constitué par Mgr Pozzoni, et englobant Pokfulum et ses environs. Conscient de la responsabilité qu’il acceptait en se chargeant de ce ministère, il y donna ses meilleurs soins : catéchismes, prédications, conseils, réprimandes, tout était mis en œuvre pour communiquer l’esprit chrétien à ce petit troupeau dont il forma un groupe animé d’un excellent esprit. Il voulut construire pour leur usage une chapelle-école, où tous venaient prier et où les enfants recevaient, avec l’instruction, une solide formation mo¬rale. »
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Depuis plusieurs années, M. de Gaztelu souffrait au côté droit, dans la région du foie. Il attribuait ce malaise à un rhumatisme et se contentait d’un traitement sommaire.
Vers le mois d’avril 1909, le mal s’accentua sérieusement et il devint bien vite évident que les jours de notre Confrère étaient comptés. Les médecins redoutaient un abcès. Un jour, les docteurs Muller et Justi lui firent plusieurs ponctions, mais ne découvrirent rien d’alarmant : et pourtant la douleur augmentait toujours. Une opération fut jugée nécessaire.
Le 20 juin 1910, elle fut faite à l’hôpital du Pic : elle dura une heure. Les médecins découvrirent le foie et ne trouvèrent pas d’abcès. Mais ils constatèrent qu’il était couvert de tumeurs, dont deux étaient plus grosses que les autres. Sans vouloir se prononcer sur la nature du mal, sans oser tenter des incisions par crainte d’une hémorragie, ils fermèrent la plaie, déclarant que tout remède était inutile et qu’une issue fatale était inévitable. La plaie se cicatrisa très lentement et ce ne fut qu’au bout d’une quinzaine de jours qu’on put ramener le malade à Nazareth, d’où il ne devait plus sor¬tir que pour aller reposer au cimetière.
M. Marie, dont le dévouement et l’expérience allaient de pair, désira se charger de tous les soins que réclamait l’état de M. de Gaztelu ; il lui procura tous les soulagements qu’il était possible de procurer. Mais le mal continuait toujours ses ravages. Le foie fonctionnant mal, l’hydropisie envahit les vaisseaux. Des ponctions ne donnèrent pas d’amélioration. Le 7 novembre, après un vomissement de sang qui soulagea temporairement la douleur, le Docteur déclara que la mort était prochaine.
Notre Confrère n’avait pas attendu jusqu’à ce dernier moment pour se préparer à paraître devant Dieu. Dans le courant du mois de septembre, il avait appris le verdict porté à son sujet et il l’avait accepté avec son esprit de foi habituel. Il se confessait régulièrement et recevait fréquemment la sainte communion. La mort ne l’effrayait pas. Causant un jour sur les fins dernières, il se demandait, moitié en plaisantant, moitié avec quelque appréhension, si on souffre beaucoup quand l’âme se sépare du corps : mais sa philosophie était empreinte de la résignation la plus absolue.
Le vendredi 4 novembre, se trouvant plus mal, il avait sollicité l’Extrême-Onction, qu’il reçut avec une grande piété, ainsi que l’Indulgence plénière, demandant ensuite pardon aux Confrères présents de la peine qu’il avait pu leur faire. Dès lors, sa vie fut toute de prière et d’union intime avec son Dieu.
L’agonie commença le mercredi suivant ; elle fut extraordinairement longue. M. de Gaztelu expirait le vendredi 11 novembre à 3 heures du matin.
Le corps, revêtu des ornements sacerdotaux, fut porté à la chapelle, où il resta exposé jusqu’au lendemain. Les Confrères, les domestiques et les ouvriers de l’imprimerie, se relevèrent sans discontinuer pour prier auprès de sa dépouille mortelle. Le samedi, après l’office des morts, une messe solennelle fut chantée par M. Boulanger, qui présida les funérailles au milieu d’une assis¬tance nombreuse et recueillie.
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References
[1271] GAZTELU Joseph (de) (1852-1910)
Bibliographie. - Les ouvrages dont l'indication suit ont été imprimés à l'imprimerie de Nazareth, Hong-kong.
Petit dictionnaire chinois-français. - 1906, in-18, pp. 361 + 117.
Petit dictionnaire français-chinois de la langue mandarine. - 1900, in-12, pp. xxi-656 + 418, n. ch. à la fin pour la chronologie ; 2e édit. 1907, in-18, pp. xxi-677.
Notes bio-bibliographiques. - C.-R., 1883, p. 49 ; 1899, p. 290 ; 1902, pp. 336, 391 ; 1911, pp. 296, 364. - A. M.-E., 1909, pp. 36 et suiv. - Bull. rel. Bayonne, 1910, Sa mort, p. 1147.
Notice nécrologique. - C.-R., 1911, p. 296.
Bibliographie:
GAZTELU Joseph de (1852-1910)
Petit dictionnaire français-chinois / par J. Gaztelu, missionnaire apostolique. - Hongkong : Impr. de la Société des Missions Etrangères, 1900. - XXI-656-[8] p. ; 15 cm.
Lexique chinois-français / par J. Gaztelu, missionnaire apostolique. - Hongkong : Impr. de la Société des Missions Etrangères, 1906. - VI-361-117 p. ; 14 cm. Réédition en 1934.
Petit dictionnaire français-chinois / par J. Gaztelu, missionnaire apostolique. - Nouv. éd. - Hongkong : Impr. de Nazareth, 1907. - XXI-677-[6] p. ; 14 cm. Rééd. en 1928.