Théodore GERBIER1847 - 1911
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 1115
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Identité
Naissance
Décès
Missions
- Pays :
- Inde
- Région missionnaire :
- 1872 - 1911 (Mysore)
Biographie
[1115] GERBIER Théodore-André, originaire de Brignon en Haute-Loire, naît le 12 mai 1847. Il fait ses études au petit séminaire de la Chartreuse où il est préfet de la Congrégation de la Sainte-Vierge. Il entre laïc au Séminaire des MEP le 25 septembre 1868 et reçoit l'ordination sacerdotale le 25 mai 1872. Il part le 19 juin suivant pour la mission du Mysore.
Vicaire puis curé
Il est d'abord vicaire à la paroisse Sainte-Marie de Blackpally à Bangalore, puis à Shimoga (1) dont il devient bientôt le responsable. Il en achève l'église, œuvre commencée par Mgr Kleiner. A la fin de l'année 1873, il est affecté à Settihally (2) dont les chrétiens, quelque peu frondeurs, reçoivent de lui une bonne formation. Il érige sur l'une des collines voisines une chapelle en l'honneur de saint Joseph. En 1888, il reprend de nouveau la direction du district de Shimoga, d'où il passe à Chickka-Ballapour (3). En 1894, il est le théologien que Mgr Kleiner emmène au synode d'Ootacamund.
Supérieur du séminaire et écrivain
Cette même année, il est nommé supérieur du petit séminaire à Bangalore. Près de la ville, il construit pour les élèves et à ses frais une maison de campagne. A ses fonctions de supérieur, il joint celles d'aumônier des vieillards de l'asile des Petites Sœurs des pauvres, où sa connaissance des langues anglaise, tamoule et kannada lui permet de travailler avec fruit. Il publie plusieurs ouvrages en kannada, en français et en anglais. Son ouvrage, ‘‘La vraie pratique de la dévotion au Sacré-Cœur’’ est traduit en italien. Il meurt à l'hôpital Sainte-Marthe à Bangalore le 5 juillet 1911.
Les mots suivants brossent parfaitement son portrait : ‘‘Il sortait rarement du petit séminaire où il vivait comme un ermite au milieu de ses chers enfants. On ne le voyait guère aux fêtes de famille qui de temps en temps réunissaient les missionnaires. Sa chambre était pauvrement meublée ; ses livres, en revanche, y étaient nombreux. Son visage maigre et pâle était empreint d'une sérénité inaltérable ; à peine, de temps en temps, un sourire discret éclairait-il sa physionomie austère. Sa parole était lente et réfléchie, ses gestes peu nombreux. D'une humilité et d'une mortification proverbiales, il ne portait que des habits faits de l'étoffe la plus commune, quoique toujours scrupuleusement propres. Sa piété était très grande, et il sacrifiait plusieurs heures de la nuit à la prière et à la méditation. "
1 – Au nord-ouest de Bangalore, en direction de Goa.
2 – L’un des faubourgs de Bangalore.
3 – Au nord de Bangalore.
Nécrologie
M. GERBIER
MISSIONNAIRE APOSTOLIQUE DE MYSORE
Né le 12 mai 1847
Parti le 19 juin 1872
Mort le 5 juillet 1912
Théodore-André Gerbier naquit le 12 mai 1847, à Brignon, dans je diocèse du Puy. D’une famille très pieuse, qui donna plusieurs prêtres à l’Eglise, il fut élevé dans des habitudes de vie des plus chrétiennes.
Aussi n’étonna-t-il personne en annonçant sa résolution d’entrer au Séminaire. Il s’y montra un excellent élève, pieux, travailleur, estimé de ses maîtres, qui le nommèrent préfet de la Congrégation de la très sainte Vierge. Son directeur, M. Bringer, que l’on dénomma justement « le pourvoyeur des Missions-Étrangères », ayant remarqué dans ce jeune homme des aspirations à la vie apostolique, les développa et orienta M. Gerbier vers la rue du Bac.
Les parents se résignèrent chrétiennement au sacrifice que le bon Dieu leur demandait, et André fit son entrée au Séminaire de Paris le 25 septembre 1868. Comme au Petit Séminaire il fut honoré de la confiance de ses directeurs et fut nommé à la charge d’infirmier. Le siège de Paris, en 1870, vint interrompre ses cours, et il dut se rendre à Meudon où il attendit que l’ordre, succédant à la guerre civile de la Commune, lui permît de reprendre sa vie normale de séminariste.
Ce fut le 25 mai 1872 qu’il fut ordonné prêtre par Mgr Guillemin, préfet apostolique du Kouang-Tong. Le soir même, il recevait sa destination pour le Maïssour. Le 23 juin il s’embarquait à Marseille, et il arrivait à Bangalore le 28 juillet.
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M. Gerbier ne fut pas envoyé aussitôt en district, comme il l’aurait désiré. Il fut attaché en qualité d’infirmier à la personne de Mgr Charbonnaux, qu’il soigna pendant deux mois. Le vénérable Prélat, étant allé à Pondichéry refaire sa santé ébranlée, le jeune Missionnaire fut désigné comme vicaire de M. Gasnier, alors curé de la paroisse Sainte-Marie de Blackpally, à Bangalore. Il se mit ardemment à l’étude de la langue tamoule, qu’il n’eut pas de peine à apprendre. Doué de qualités peu ordinaires d’intelligence, il put bientôt se rendre utile, tant pour le soin des chrétiens que pour l’évangélisation des païens. Le 9 février 1873, il donnait son premier sermon en tamoul sur la sainte Eucharistie.
Nous ne suivrons pas M. Gerbier dans les différents postes qu’il occupa au début de sa carrière apostolique. Il fut surtout employé à soigner différents confrères malades, œuvre de charité pour laquelle il était spécialement doué.
Le 20 septembre 1873, il recevait sa destination pour Shimoga, où il acheva de s’initier au ministère, sous l’habile direction de M. Kleiner, plus tard évêque de Mysore.
Le district de Shimoga était très vaste, et les chrétiens disséminés un peu partout au milieu des forêts. M. Gerbier se mit aussitôt à l’œuvre, et visita, une à une, les différentes stations, pendant que son curé s’occupait de la construction de l’église. M. Kleiner ayant été appelé à diriger la paroisse Sainte-Marie de Bangalore, son vicaire, quoique tout jeune missionnaire, fut choisi pour remplir le poste qu’il laissait vacant.
Comme l’église n’était pas encore achevée, M. Gerbier dut prendre cette œuvre en main et bâtir le clocher. Un jour, en surveillant les travaux, il tomba du sommet des échafaudages et n’échappa à la mort que par une protection spéciale de la Providence. Il ne se blessa même pas : Dieu évidemment le réservait pour de plus grands travaux. En même temps, il ne négligeait point l’administration de ses chrétiens. On le voyait souvent en voyage, allant de tous côtés, portant la bonne parole à tous avec un zèle inlassable et une indomptable énergie.
Un attentat, dont il faillit être victime vers cette époque, mérite d’être cité.
A l’occasion de la fête patronale de l’église, les mahométans, qui étaient très nombreux à Shimoga, résolurent d’arrêter la procession sur la voie publique, sous prétexte que les chrétiens ne devaient pas battre le tambour devant leur mosquée. Il y eut une violente bagarre entre mahométans et catholiques, qui fit des blessés des deux côtés. Quelques chrétiens déterminés entraînèrent promptement M. Gerbier à l’écart et le mirent à l’abri. Les mahométans, furieux, le recherchaient et réclamaient sa tête à grands cris. Après avoir piétiné et brûlé tous le insignes religieux, ils partirent à la poursuite du prêtre, qu’ils juraient de tuer. La police, prévenue, vint à temps pour le secourir. Sur le conseil de ses chrétiens, il se réfugia dans le clocher où il passa la nuit dans l’attente de la mort. Cependant, les autorités purent rétablir la paix. Les principaux meneurs furent saisis et sévèrement punis.
Le 19 décembre 1873, M. Gerbier quittait Shimoga pour administrer la chrétienté de Settihally. Il trouvait, dans ce nouveau poste, un couvent de religieuses indigènes et un hôpital, fondés, l’un et l’autre, par M. Desaint ; ici, son zèle pouvait s’exercer en toute liberté. Il y resta jusqu’en janvier 1888. Il s’appliqua surtout à ramener l’ordre, et à développer le sens chrétien chez ses fidèles, qui avaient l’esprit quelque peu frondeur et turbulent et étaient plutôt enclins à la chicane. Pour atteindre plus sûrement ce but, il érigea, sur l’une des collines les plus élevées des alentours, une chapelle en l’honneur de saint Joseph et mit son troupeau sous la garde du glorieux Patron de nos Missions.
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En 1888, notre Confrère quittait Settihally, pour retourner une seconde fois à Shimoga. Il fut d’abord chargé de l’orphelinat d’Hossur, à quelque distance de la ville. Mais le lieu où l’orphelinat avait été établi étant très malsain, l’établissement fut transporté ailleurs, et M. Gerbier regagna toute sa liberté d’action dans le ministère d’évangélisation. Il donna tous ses soins aux chrétiens de Shimoga. Il reprit les longs voyages d’autrefois à travers les forêts impénétrables, royaume des tigres et de la fièvre paludéenne.
S’il échappa aux tigres, qu’il rencontra quelquefois sur son chemin, il dut payer son tribut à la fièvre. Deux fois il quitta sa paroisse pour refaire sa santé ébranlée par la malaria. Au retour de son second voyage, il fut nommé à Chickballapur, localité située sur un haut plateau, très saine et réunissant toutes les conditions requises pour permettre au Missionnaire de renouveler ses forces à moitié épuisées.
Ce nouveau poste n’était pourtant pas une sinécure. Les chrétiens étaient, il est vrai, peu nombreux ; mais ils étaient dispersés, en plusieurs petits groupes, sur une très grande étendue. Aussi, M. Gerbier dut encore reprendre les longs voyages en charrette à bœufs, auxquels il était d’ailleurs rompu. Son administration à Chickballapur dura trois ans.
En 1894, les Evêques des Indes s’étant réunis en synode à Ootacamund, M. Gerbier fut choisi comme théologien et dut accompagner Mgr Kleiner. A son retour, il fut nommé supérieur du Petit Séminaire, où il a travaillé jusqu’à sa mort, c’est-à-dire pendant dix-sept ans.
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Désormais, nous voyons toutes les qualités de cœur et d’esprit de M. Gerbier briller, dans ce nouveau milieu, de leur plus pur éclat. Homme d’une vertu à toute épreuve et d’une piété solide, il fut constamment un exemple vivant pour les petits séminaristes confiés à ses soins. Il se donna tout entier à leur formation. Rarement il sortait du Petit Séminaire, où il vivait comme un ermite au milieu de ses chers enfants. On ne le voyait guère aux petites fêtes de famille, qui, de temps en temps, réunissaient les Missionnaires. Sa chambre, pauvrement meublée, ressemblait plutôt à la cellule d’un religieux. Les livres, en revanche, y étaient nombreux, car notre Confrère fut toute sa vie un homme d’étude. Son visage maigre et pâle était toujours empreint d’une sérénité inaltérable : à peine, de temps en temps, un sourire discret éclairait-il sa physionomie austère. Sa parole était lente et réfléchie, ses gestes peu nombreux. D’une humilité et d’une mortification proverbiales, il ne portait que des habits faits de l’étoffe la plus commune, quoique toujours scrupuleusement propres ; il évitait la moindre recherche dans sa toilette.
Malgré tous ses soins à cacher sa réelle valeur, on eut tôt fait de reconnaître en lui un véritable homme de Dieu, et tous accouraient à lui dans leurs tribulations pour se faire bénir de sa main et obtenir quelque médaille. Sa piété était très grande, et il sacrifiait plusieurs heures de la nuit à la prière et à la méditation. Il était avant tout un homme de règle ; il avait minutieusement calculé, divisé toutes les heures de sa journée, et jamais il ne se départit du règlement qu’il s’était tracé. Tout en étant sévère pour lui-même, il était patient et doux pour les autres.
Avec de telles qualités, M. Gerbier fut un supérieur modèle. Homme d’une grande science, il s’appliqua à cultiver l’intelligence de ses petits séminaristes. Mais il mit surtout ses soins à faire naître en eux une piété solide et une charité ardente : il y réussit, car il prêchait d’exemple. Sa direction était d’ailleurs ferme et sans faiblesse, et son influence sur ses élèves fut très grande et durable. Tous avaient en lui une confiance illimitée et l’aimaient comme le plus tendre des pères. Il eut le bonheur de voir six de ses dirigés devenir prêtres ; ils affirment, sans exception, qu’après Dieu, ils doivent leur vocation au vénéré M. Gerbier.
Outre ses fonctions de supérieur, il avait encore la charge des vieillards des Petites-Sœurs des Pauvres. Tous les jours, on pouvait le voir sortir du Petit Séminaire, monté sur une bicyclette démodée, rouillée et grinçante, pour se rendre chez ses pauvres vieux. Elle était devenue légendaire, cette bicyclette. Petite, basse, avec des caoutchoucs creux, elle allait cahin-caha, sous les efforts de son pauvre maître. On avait beaucoup ri de cette machine extraordinaire ; on avait souvent raillé son propriétaire ; mais il lui resta fidèle jusqu’à la fin, et ne voulut jamais l’échanger pour une meilleure. Elle suffisait à sa modestie.
Dieu seul sait tout le bien que M. Gerbier a fait à ces déshérités du monde. Le ministère n’est pas aisé parmi ces malheureux. Mais rien ne pouvait rebuter le zèle du bon missionnaire. Il voyait en eux les membres souffrants de Notre-Seigneur, et il leur prêchait fréquemment, tantôt en anglais, tantôt en tamoul, tantôt en canara ; il se mettait à la portée de leur intelligence. Il fut compris d’eux, et il réussit à obtenir des fruits extraordinaires de piété et de patience. Il excellait surtout à les préparer à la mort. Ni les païens, ni les mahométans, ni les protestants ne pouvaient résister à sa parole pressante et persuasive. Disons aussi que ces fruits de conversion furent dus, surtout, à ses prières et aux mortifications qu’il pratiquait en secret.
L’amour qu’il portait à ses élèves du Séminaire, le poussa à acquérir, près de Bangalore, un terrain sur lequel il bâtit, à ses frais, une maison de campagne. Les séminaristes allaient jadis passer leurs vacances dans leurs familles. M. Gerbier craignait pour eux les mauvais exemples du monde ; il résolut de les mettre à l’abri, et, dans ce dessein, il fit construire le bâtiment où ils passent maintenant leurs vacances sous l’œil paternel et vigilant de leur supérieur.
Nous n’aurions pas fait complètement connaître M. Gerbier, si nous ne disions un mot de ses nombreux écrits. Il fut, en effet, un écrivain distingué, en français, en anglais et en canara. Plusieurs de ses ouvrages jouissent d’une réputation bien méritée : tel, par exemple, son Hindu Examiner, ouvrage en anglais, dans lequel il réfute les erreurs de la religion hindoue. C’est un livre très documenté, qui a dû demander à l’auteur un travail considérable, car l’étude de la philosophie hindoue est aussi ardue que déconcertante. Un de ses livres en canara sur la confession : Les Clefs du Ciel, a fait un bien immense, de l’avis de tous les missionnaires. Il écrivit en français, en l’honneur du Sacré-Cœur de Jésus, plusieurs livres qui ont eu l’honneur d’être traduits en plusieurs langues. On voit, par là, quelle somme de tra¬vail a fourni M. Gerbier. Sa vie réglée et une application continuelle lui permirent de s’occuper d’œuvres si nombreuses.
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Rien ne pouvait distraire notre Confrère de ses labeurs, pas même le soin de sa santé qui paraissait d’ailleurs assez bonne. Cependant, son application continuelle à la tâche quotidienne, jointe à des mortifications constantes, finit par ruiner lentement sa constitution. Il souffrit d’abord de maux d’estomac, et perdit l’appétit. Puis survinrent des vomissements fréquents. Il lutta contre le mal, Dieu sait combien de temps ! car il ne flattait pas son corps. Pourtant, il fallut céder et consulter les médecins, qui aussitôt diagnostiquèrent un cancer très avancé de l’estomac. Quand on fit connaître son état à M. Gerbier, il ne s’émut aucunement : il était prêt. Toute sa vie avait été une préparation immédiate à la mort. Il reçut les derniers sacrements en pleine connaissance et attendit la fin avec sérénité.
Elle fut lente à venir, et pendant son séjour de deux mois à l’hôpital Sainte-Marthe, M. Gerbier eut à endurer des souffrances inouïes, que le dévouement et la charité des sœurs du Bon-Pasteur étaient impuissants à soulager. Cependant, rien ne put lui arracher un gémissement ou une plainte. Il conserva jusqu’au bout son calme imperturbable, édifiant tous ceux qui l’approchaient, par sa résignation à la volonté de Dieu et les pieuses oraisons jaculatoires qui s’échappaient de ses lèvres. Il s’endormit dans le Seigneur le 5 juillet 1911.
Ses restes, transportés au Petit Séminaire, furent exposés dans une chapelle ardente, sous la garde des séminaristes. Une foule innombrable vint contempler les traits de celui qu’elle avait vénéré comme un saint. M. Gerbier repose dans le cimetière des Missionnaires, à l’ombre de l’église du Sacré-Cœur de Jésus, qu’il aima toute sa vie avec une tendre dévotion.
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Références
[1115] GERBIER Théodore (1847-1911)
Il a laissé manuscrits les ouvrages dont voici les titres : Souvishashavou, Apostalara Criyegalou (Evangiles et Actes des Apôtres). - Atmada apatougalou (Dangers de l'âme). - Devabaktya Margavou (Chemin de la Piété). - Divya Balarada Jesouvannou Kouritaddou (Sur le divin Enfant Jésus). - Dyanada sadakavou (Pratique de la méditation). - Satprasadada ayattavou (Préparation à la communion). - Mariyalatastavembavala charitre (Histoire de Marie Lataste). - Mariyalatastavembavalou bareda poustaka (Livre écrit par Marie Lataste). - Mouktihondida Margarita Mariavembavala charitre (Histoire de la Bienheureuse Marguerite-Marie).
Bibliographie. - Tous les ouvrages suivants, sauf exceptions que nous indiquons, ont été imprimés à l'imprimerie de la mission, Bangalore.
Paraloka Rajiada Bigada Kei (Clef du ciel). - 1881, in-8, pp. 280.
Jesouvina divya Hroudayada masavou (Mois du Sacré-Cœur de Jésus). - 1885, in-8, pp. 288.
Devara Tayiya masavou (Mois de la divine Mère). - 1885, in-8, pp. 250.
A. M. D. G. The Hindu Examiner of the true religion or dialogues on religious matter's between a catholic priest and a Hindu, by a missionary apostolic. - Printed at the Codialboil press, Mangalore, 1889, in-12, pp. xviii-305 + errata.
Id., 2e édit. - Printed at the catholic mission press, Bangalore, 1898, in-8, pp. iv-369. + iv.
Guerre à Satan, l'éternel ennemi du genre humain, par un missionnaire apostolique. - Librairie catholique de l'œuvre de Saint-Paul, 6, rue Cassette, et 14, rue de Mézières, Paris, 1892, in-8, pp. 531.
Archashista Josephara masavou (Mois de saint Joseph). - Imprimerie Vichara-Darpana, Bangalore, 1897, in-8, pp. 202.
Paralôga tirhavou kôl (Le ciel ouvert par la confession). - Imprimerie de la mission, Pondichéry, 1897, demy in-16, pp. 380.
Dodda Kedou (Le grand mal). - 1899, in-8, pp. 124.
Rachanyada Apatougalou (Les dangers du salut). - 1899, in-8, pp. 108.
Narakavou (L'enfer). - 1899, in-8, pp. 172.
La vraie pratique de la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus. - Librairie Saint-Paul, 6, rue Cassette, Paris, in-16, pp. viii-397 [L'imprimatur est du 10 septembre 1903]. A été traduit en italien.
Id., nouv. édit. revue et augmentée d'une Méthode pour les Exercices du mois du Sacré-Cœur. - Imprimerie de Nazareth, Hong-kong, 1908, in-12, pp. viii-328.
Kirtanegalou (Hymnes). - Caxton press, Bangalore, 1905, in-8, pp. 256.
Atma Sneha (Amour de l'âme) (traduction). - Imprimerie Vijara-Darpana, Bangalore, 1906, in-8, pp. 224.
Recueil d'exemples touchant la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus à l'usage des prédicateurs et des fidèles. - Librairie Saint-Paul, 6, rue Cassette, Paris, 1906, in-16, pp. 614.
Grouhastashramada Voudyanavou (Devoirs de la vie conjugale). - Imprimerie Vijara-Darpana, Bangalore, 1907, in-8, pp. 484.
Dyvia Balarada Jesouvina mele bakti (Dévotion au divin Enfant Jésus). - Imprimerie Vijara-Darpana, Bangalore, 1907, in-32, pp. 30.
Visites au Sacré-Cœur de Jésus-Hostie pour tous les jours du mois. - Imprimerie de Nazareth, Hong-kong, 1908, in-12, pp. 311.
Notes bio-bibliographiques. - C.-R., 1886, p. 135 ; 1890, p. 191 ; 1892, p. 242 ; 1906, p. 243 ; 1909, p. 237 ; 1911, p. 244. - A. M.-E., 1903, p. 241 ; 1906, p. 354. - Sem. rel. Le Puy, 1885-86, p. 390 ; 1910-11, Sa mort, p. 694 ; Ib., p. 708 ; 1912-13, Notice, pp. 361, 378, 393, 413.
Notice nécrologique. - C.-R., 1912, p. 363.