Odilon MALAVAL1873 - 1964
- Statut : Prêtre
- Identifiant : 2455
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Identité
Naissance
Décès
Missions
- Pays :
- Laos
- Région missionnaire :
- 1899 - 1961
Biographie
[2455] MALAVAL Odilon, Marius, Joseph, est né le 15 février 1873 à Saint Georges de Lévéjac (Lozère), au diocèse de Mende. Il fait ses études secondaires au Petit Séminaire de Mende. Il entre au Séminaire des Missions Etrangères le 14 septembre 1894, et est ordonné prêtre le 25 juin 1899. Il part le 2 août suivant pour la Mission du Laos avec les Pères Figuet et Mercier.
Il s'initie à la langue, aux coutumes et à la mentalité Lao auprès du Père Guégo à Siengvang. En 1903, le Père Malaval est chargé d'administrer tout un groupe de petits postes fondés par le Père Guégo. Il s'installe à Dong Mak Ba, y bâtit une belle église ; ce qu'il fit également dans son annexe de Pongkiu. Pendant la grande guerre, le Père Malaval assurera en plus les fonctions de procureur. Il ne sera déchargé de Dong Mak Ba qu'en 1919, avant de recevoir la charge de provicaire : pendant la maladie de Mgr. Prodhomme, le Père Malaval fait fonction de Supérieur de Mission. C'est sous son supériorat que sera achevée la Cathédrale de Nongseng, et fondée l'école des catéchistes-instituteurs. Déchargé de son poste de provicaire quand Mgr. Gouin est nommé vicaire apostolique, il reste procureur de la Mission à la satisfaction de ses confrères, tout en s'occupant un certain temps de la petite chrétienté de KhamKeum, à l'Ouest de Nongseng.
En 1931, il quitte la procure et retrouve Dong Mak Ba, mais sa santé n'est plus ce qu'elle était. En 1933, il doit donc se soigner et se reposer à Hong-Kong. De retour au Laos, il retrouve sa procure. Le 29 novembre 1940, il est, comme tous ses confrères, chassé de Thaïlande et évacué sur Vinh. Revenu courant 1941, il va prêter main forte au Père Alazard dans l'île de Dône Done. Après le coup de force des Japonais en mars 1945, il va se réfugier en Thaïlande : il va assurer l'aumônerie de la communauté des Soeurs de Thakhek, elles aussi réfugiées à Nakhon Phanom. Au cours de 1946, le Père Malaval retourne à Thakhek. En 1944, il est en semi-retraite à Ban Simang et y fête ses Noces d'or. Il se retire enfin à Thakhek où, en 1959, il fêtera son jubilé de diamant. L'avancée des Pathet-Lao en avril 1961 le force à se réfugier une fois de plus en Thaïlande d'où il part pour la France et se retire à Montbeton. A partir de 1963, ses forces déclinent : il décède le 25 janvier 1964, après une agonie de deux ou trois jours, à l'âge de 91 ans, et après près de 65 ans de prêtrise.
Nécrologie
IN MEMORIAM
LE PÈRE ODILON MALA VAL
1873 - 1964
missionnaire du Laos
Odilon MALAVAL est né le 15 février 1873 à Saint-Georges-de-Lévejac, dans le diocèse de Mende. Enfant de cultivateurs des causses lozériennes, sa principale occupation fut de mener paître les brebis. Il garda un fervent et impérissable souvenir de ces années où promenant son troupeau à travers les plateaux calcaires avoisinant les gorges du Tarn il aimait à rêver et à méditer. C’est sans doute là qu’il apprit à goûter la solitude et qu’il songea à être un jour missionnaire. Après ses études primaires à Saint-Georges, il entra au petit séminaire de Mende, puis de là passa au séminaire des Missions Etrangères de Paris, où il fut admis le 14 septembre 1894. Il fut ordonné prêtre le 25 juin 1899 et affecté à une mission qui venait d’être créée cette même année, celle du Laos.
La mission du Laos, encore assez mal délimitée, comprenait alors la vallée du moyen Mékong, entre le Cambodge au sud et le Yunnan au nord, des deux côtés du fleuve.. Elle était donc distincte du Laos proprement dit qui est surtout situé sur la rive gauche du Mékong. Mgr MICHE, vicaire apostolique du Cambodge, avait essayé par deux fois d’envoyer des missionnaires remonter la vallée du Mékong ; mais les deux essais avaient échoué : les deux groupes de missionnaires qui tentèrent l’aventure furent décimés par la maladie et la mort avant même d’avoir pénétré au Laos. En 1881, Mgr VEY, vicaire apostolique du Siam, essaya à son tour ; il envoya deux jeunes apôtres, les PP. PRODHOMME et GUECO travailler à l’évangélisation des Lao qui se trouvaient sur la rive droite du Mékong. Ceux-ci réussirent à s’y maintenir malgré des difficultés de toutes sortes. Une des plus sérieuses était celle de la liaison de cette équipe missionnaire avec son évêque et avec Bangkok. Pendant quinze ans cette liaison ne put se faire que par un convoi de charrettes à bœufs qui, une fois l’an, après la saison des pluies, partait pour Bangkok ; c’était un voyage de trois mois. Ce convoi ramenait quelquefois un nouveau missionnaire ou un prêtre siamois, des catéchistes ou des sœurs, et toujours l’indispensable approvisionnement de farine, de vin de messe, d’objets du culte, de médicaments et enfin le viatique des missionnaires et leur courrier. Cette liaison s’améliora à partir de 1895, lorsqu’elle put se faire par les bateaux qui, vers cette époque, commencèrent à sillonner le Mékong. Elle n’eut même plus de raison d’être en 1899 lorsque fut créé le vicariat apostolique du Laos. Tous les missionnaires se réjouirent de cette création, dont la nécessité s’imposait de plus en plus. Et le séminaire de Paris se montra généreux pour le premier envoi de personnel dans cette nouvelle mission ; trois jeunes partants lui furent destinés : les PP. MALAVAL, FIGUET et MERCIER, qui s’embarquèrent à Marseille le 2 août 1899. Ils arrivèrent à destination en remontant le Mékong depuis Saïgon jusqu’à Nonseng, village situé sur la rive droite du fleuve, au nord de la ville de Nakhon Phanom. Ce village devint cette année même le siège de la mission du Laos, lorsque fut nommé son premier vicaire apostolique, Mgr CUAZ.
Le jeune Père MALAVAL s’initia tant au ministère qu’à la langue, aux coutumes et à la mentalité des Lao près du fameux P. GUEGO, à Siengvang, sur la rive gauche du fleuve. Il était à bonne école auprès d’un missionnaire incomparable ; aussi s’adapta-t-il parfaitement au pays. Il était le premier vicaire qu’eut le P. GUEGO ; et tous les deux s’entendaient à merveille, ayant à peu près le même tempérament. Son curé l’appelait familièrement le « Père Fouchtra » ; c’était l’antienne habituelle qui précédait la conversation ; et celle-ci finissait toujours par un accord parfait.
Quand il fut à même de se tirer d’affaire tout seul, en 1903, le P. MALAVAL fut chargé d’administrer et de développer les petites chrétientés que le P. GUEGO avait fondées à une vingtaine de kilomètres à l’est de Siengvang. La population de ces chrétientés était formée d’Indonésiens, de la tribu des Sos. Parmi ces peuplades primitives, le travail missionnaire était très dur et assez décevant ; mais la patience du Père était à toute épreuve et les pires conditions de vie ne pouvaient le décourager. Il installa sa résidence à Dongmakba ; il y construisit une belle église, dans le style de l’époque, dont le plus bel ornement consistait en de grosses et massives colonnes de bois dur ; il construisit aussi une autre église dans sa principale annexe, à Pongkiu. Il sut surtout conquérir le cœur de ses Sos, et ceux-ci lui vouèrent une vénération qui ne se démentit jamais. On était toujours le bienvenu autour de sa table, frugale comme il convient, avec des pousses de bambou, fraîches ou salées et, au dessert, des pamplemousses très acides qui faisaient dresser les orteils dans les souliers.
La guerre de 1914 éclaircit beaucoup le groupe des missionnaires ; 21 d’entre eux partirent. Les 14 présents durent s’occuper des postes des absents. Ainsi le P. MALAVAL tout en gardant la charge de son district de la rive gauche dut-il prendre celle de la Procure, sur la rive droite. Aussi ses petites chrétientés ne furent-elles pas visitées très régulièrement. Il ne fut déchargé de Dong-makba qu’en 1919 ; mais une charge encore plus lourde ne tarda pas à peser sur ses épaules, celle de provicaire ; d’autant plus lourde que l’activité du vicaire apostolique, Mgr PRODHOMME, était paralysée par la maladie. Pendant près de trois ans, il fit fonction de supérieur de la Mission. C’est sous son supériorat que fut achevée la cathédrale de Nongseng, qui était une merveille pour le Laos, et que fut ouverte l’école des catéchistes instituteurs, dont l’importance et l’opportunité furent capitales pour la mission, surtout pour la partie siamoise, car peu de temps après le gouverne¬ment siamois décrétait l’instruction obligatoire.
Mgr Ange GOUIN fut nommé vicaire apostolique en 1922 et fut sacré en novembre dans sa cathédrale de Nongseng. Le P. MALAVAL fut déchargé de son poste de provicaire, mais garda la charge de procureur pour la grande satisfaction de tous les confrères. En effet le même soin et le même dévouement qu’il avait apportés à sa tâche de missionnaire dans la brousse marquaient aussi sa fonction de procureur. Et pourtant c’était une lourde et difficile tâche que celle de la procure de cette mission du Laos à cette époque là. Le Père devait ravitailler les missionnaires, qui étaient très dispersés depuis Vientiane au nord jusqu’à Oubon et Paksé au sud, en toutes sortes de marchandises : vin de messe, farine, café, sucre, conserves, médicaments, chaux, ciment, pointes, etc.... Une ou deux fois par semaine, il passait le Mékong pour aller s’approvisionner à Thakhek, ville située à 5 kilomètres en aval sur la rive gauche, et qui était alors l’une des plus importantes du Laos. Pour faciliter ses traversées du fleuve, il avait acheté un moteur de hors-bord qu’il avait adapté à une pirogue laotienne ; il était fier de la voir foncer à belle allure, mais parfois sa fierté se changeait en détresse quand son moteur tombait en panne au beau milieu du Mékong.
Il était d’une serviabilité et d’une patience à toute épreuve. Son calme imperturbable le mettait à même de réussir dans tout ce qu’il entreprenait. C’était un homme très doux et très bon ; il ne savait pas se fâcher ; sa plus grande colère consistait à dire au coupable, sur un ton plutôt débonnaire : « Je ne suis pas content » ; et encore cela lui arrivait-il bien rarement. Admirant tous les autres missionnaires, il ne se prévalait en rien des services rendus, et était toujours à la disposition de tous. D’une piété exemplaire, il se levait toujours de grand matin et faisait une longue méditation avant de célébrer la messe. D’une grande humilité, il se laissait aborder par tous sans exception, même les plus petits. Comme diversion à son travail de procureur, il s’occupa pendant un certain temps de la petite chrétienté de Khamkeum, située à quelques kilomètres à l’ouest de Nongseng.
En 1924, il rentra en France pour soigner sa santé ; mais à son retour il retrouva la procure. En 1931 une occasion propice lui permit de s’en retirer pour retourner vers ses premiers chrétiens de Dongmakba. Ce fut une grande joie de part et d’autre ; mais elle fut de courte durée. Il n’était plus aussi résistant que dans sa verte jeunesse ; au bout de quelques mois, les privations, dont il se souciait trop peu, eurent raison de sa santé. En 1933 il dut partir pour Hongkong afin de soigner une anémie dont il eut désormais à souffrir tout le reste de sa vie. Revenu au Laos au bout de sept mois, il fut réaffecté à la procure et y retrouva son travail paisible. Cependant un jour il fut victime d’un attentat. Des hommes étant venus chez lui pour demander des médicaments, l’un d’eux lança autour du cou du Père une corde avec nœud coulant. Le P. MALAVAL réagit rapidement et vigoureusement ; il tira de toutes ses forces sur la corde et empêcha le nœud coulant de se refermer. Cela suffit à faire fuir ceux qui l’avaient attaqué.
Il était encore à l’évêché-procure de Nongseng le jeudi 28 novembre 1940, lorsqu’au début de l’après-midi les gendarmes siamois vinrent occuper la maison, ne permettant pas à l’évêque ni au procureur de communiquer entre eux. Le lendemain, de grand matin, sans qu’ils aient pu prendre grand-chose, Mgr GOUIN, les PP. MALAVAL et FRAIX et la sœur URSULE furent amenés à la gendarmerie de Nakhon, et de là expulsés de ce royaume de Siam, qui venait de prendre le nom de Thaïlande. Ils passèrent le Mékong et s’en vinrent à Thakhek. Mgr GOUIN s’y installa ; quant au P. MALAVAL, il fut évacué sur Vinh avec neuf ou dix autres Pères expulsés. Dans le courant de 1941, il revint au Laos et alla s’établir avec le P. ALA¬ZARD dans l’île de Dondon.
Après que NN. SS. GOUIN et THOMINE et le P. THIBAUD eurent été fusillés par les Japonais, le 21 mars 1945, le P. SINUEN, prêtre thaïlandais, vicaire délégué pour la partie siamoise du vicariat, comprit que la vie des Pères français de la province de Thakhek était en danger. Il se mit en relation avec le gouverneur de Nakhon, qui ne fit aucune opposition pour laisser venir ces Pères chercher asile et protection en Thaïlande. Les PP. MALAVAL, ALAZARD, FIGUET et MARCHI purent ainsi se cacher des Japonais dans le pays qui les avait expulsés quelques années plus tôt.
En novembre 1945, le P. BAYET, supérieur de la Mission, put faire la visite de la partie thaïlandaise du vicariat. Il trouva dans les bâtiments de l’aérodrome de Nakhon, que les autorités locales avaient mis gracieusement à sa disposition, toute la communauté des sœurs de Thakhek, évacuées en septembre parce qu’elles n’étaient plus en sécurité dans cette ville en effervescence. Quoique logeant à moins d’un kilomètre de Nongseng, elles ne pouvaient s’y rendre à cause de l’hostilité des Vietnamiens, établis assez nombreux dans cette région et qui nourrissaient des sentiments agressifs contre tout ce qui était français.. Le P. BAYET demanda alors au P. MALAVAL, qui se trouvait dans la grosse chrétienté de Tharé, de venir habiter dans un local de l’aérodrome, afin d’assurer le service religieux de la communauté. Dès que l’arrivée du Père fut connue, les Vietnamiens de Nongseng organisèrent une réception en l’honneur de celui qui, dans le passé, leur avait témoigné tant d’amour et les avait tant aidés. Ils vinrent avec des bananes et des fleurs et, en le saluant, lui dirent : « Père, soyez le bienvenu parmi nous ; en ce qui vous concerne, vous n’aurez jamais rien à craindre de notre part ; venez à Nongseng quand vous voudrez, comme vous voudrez ; vous y êtes chez vous ».
Lorsque tout fut revenu à l’état normal, le P. MALAVAL revint à Thakhek dans le courant de l’année 1946. En 1947, il se trouvait en demi-retraite dans la petite chrétienté de Ban Simang, à 5 kilo¬mètres au sud de Thakhek. Il la connaissait bien pour l’avoir desservie pendant plusieurs années, et c’était lui qui avait fait construire sa petite église en briques, qui fut inaugurée en 1931. Il était très étroitement logé dans la petite sacristie de son église et sa nourriture était bien maigre ; mais la frugalité et le dénuement avaient toujours fait partie de l’idéal du P. MALAVAL. C’est dans cette petite chrétienté qu’il fêta son jubilé d’or sacerdotal. Quand les troupes vietminh entrèrent à Thakhek le 23 décembre 1953, le P. MALAVAL dut une fois de plus quitter son poste et se réfugia dans le sud de la Mission. Mais dès que les Vietminh furent obligés de quitter Thakhek, il y revint. Vu son grand âge et ses infirmités, il songea alors à prendre sa retraite à l’ombre de la cathédrale, dans une petite maison que Mgr GOUIN avait fait construire vers 1933 pour servir d’infirmerie aux missionnaires malades, mais qui en fait servit d’évêché et de procure de 1940 à 1952.
En 1959, la Mission fit grande fête au P. MALAVAL pour son jubilé de diamant. Ce fut une grande consolation missionnaire pour lui de voir que cette Mission du Laos, créée l’année même de son arrivée, avait prospéré malgré les tourmentes subies, et qu’elle s’était développée au point de former cinq missions indépendantes : Vientiane, Tharé, Oubon, Oudon et Savannakhet. Aussi toutes les Missions du Laos envoyèrent-elles des Pères pour les représenter à cette fête de famille. Le P. MALAVAL ne les avait-il pas tontes servies quand elles ne formaient encore qu’une seule mission ? Aussi chacun s’ingénia-t-il à lui témoigner les sentiments de sympathie et d’affection que tout le monde nourrissait pour celui qu’on appelait volontiers le bon Père MALAVAL, le saint Père MALAVAL..
En avril 1961, l’invasion du Pathet-Lao pro-Communiste, qui causa la perte des PP. TENAUD et DENIS, força le P. MALAVAL à se réfugier en Thaïlande. De là il partit pour la France ; c’était son deuxième congé en soixante ans de mission. Il aurait certainement préféré finir sa vie au Laos ; les circonstances en décidèrent autrement. Il se retira à Montbeton et à 89 ans il fut dès le premier jour le doyen de la maison. Il jouissait encore d’une bonne constitution physique ; sa santé morale n’était pas moins solide : il cheminait à l’aise sur les sommets de toutes les vertus chrétiennes et apostoliques ; la contemplation lui semblait naturelle. Il avait pour maîtres et modèles le curé d’Ars et sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus, dont il se plaisait à faire remarquer qu’elle était née la même année que lui.
En 1963, il fut repris de cette dépression nerveuse qu’il avait éprouvée jadis à la suite du paludisme. Il avait des visions apocalyptiques ; ces rêveries l’épuisaient, mais lui procuraient de bons moments en lui faisant revivre, amplifiés, ses exploits d’autrefois. Il avait retrouvé des cantiques en patois de sa jeunesse lozérienne, et il les chantait avec enthousiasme à l’un de ses confrères, lozérien comme lui.
Peu à peu ses forces déclinèrent. Il reçut le sacrement des malades avant de sombrer dans l’inconscience. Puis, après une agonie de deux ou trois jours, à 91 ans, le 25 janvier 1964, il rendit sa belle âme à Dieu. « Conscrit de sainte Thérèse », il dut être accueilli par elle en Paradis.
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Références
[2455] MALAVAL Odilon (1873-1964)
Références biographiques
AME 1899 p. 232. 1900 p. 96. 111. 1919-20 p. 358. 1928 p. 126. CR 1899 p. 295. 1905 p. 237. 1909 p. 222. 1910 p. 251. 1914 p. 120. 1915 p. 137. 1916 p. 158. 1918 p. 109. 1919 p. 104 sq. 1920 p. 70 sq. 1921 p. 105. 118 sq. 1922 p. 138. 141. 1924 p. 118. 1926 p. 227. 1932 p. 265. 1933 p. 224. 1934 p. 202. 1940 p. 103. 1947 p. 282. 283. 1960 p. 62. 1961 p. 61. 96. 1962 p. 108. BME 1922 p. 699. 1925 p. 58. 249. 710. 778. 1926 p. 258. 259. 1928 photo p. 257. 1931 photo p. 235. 1932 p. 396. 634. 718. 957. 1933 p. 256. 559. 1934 p. 505. 1936 p. 762. 1937 photo p. 244. 1938 p. 276. 411. 554. 1939 photo p. 296.1940 p. 66. 1941 p. 52. 60. 63. 195. 1948 p. 359. 363. 1950 p. 575. 1953 p. 204. 1955 p. 53. 54. 355. 356. 1959 p. 277. 1960 p. 176. 1961 p. 596. 682. Echos. Miss. juillet 1941 p. 25. ECM 1945 p. 254. 1946 p. 88. 124. EC RBac N° 55. 56. 68. 78. 87. 95. 653. 678. 697. 739.
Bibliographie
Une Lumière s'est levée" pp. 93-94. 126-127. 155. 170.
Notice nécrologique
Epiphanie mai 1965 pp. 409-414.